38 résultats pour "schopenhauer"
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Arthur SCHOPENHAUER: Bonheur et souffrance
Nous avons affaire ici à un des textes les plus connus du philosophe allemand Arthur Schopenhauer. La thèse défendue dans ce court extrait lui a valu le qualificatif de pessimiste. Le philosophe ici tend à montrer que l'homme n'est pas caractérisé par son intellect mais bien par la volonté. Ce fait amène l'homme à un désir perpétuel et à une souffrance incessante. Le but de Schopenhauer est bien ici de dénoncer l'illusion du bonheur et de rétablir la vraie nature de l'homme. Pour ce faire, il fa...
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Arthur SCHOPENHAUER: Homme, animal métaphysique
Si on situe généralement la naissance de la philosophie dans l'antiquité, à travers l'existence de Socrate et de Platon, l'origine même du sentiment philosophique reste un problème. On reconnaît certes que l'homme est un être qui fait exception dans la nature, de par sa conscience. Il est vrai que seuls, les hommes ont réellement bâti des civilisations et la philosophie apparaît souvent comme une haute forme de culture. Pourtant, qu'est-ce qui nous pousse à philosopher ? Schopenhauer, dans...
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Schopenhauer: l'homme, cet "animal métaphysique" (Commentaire de texte)
Schopenhauer: l'homme, cet "animal métaphysique" (Commentaire de texte) Selon Schopenhauer, bien que, comme tout être, l'Homme meurt, cet « animal métaphysique » est particulier, car il ne peut s'empêcher de s'étonner de son existence, et se poser la question de la Création. L'étonnement, c'est là la base de la philosophie. Ayant accédé à la conscience de soi, doué d'intelligence, et conscient de sa finitude, l'Homme voudrait comprendre pourquoi il existe. Il est ainsi différent de tous le...
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Examinez cette définition de SCHOPENHAUER: « Par métaphysique j'entends tout ce qui a la prétention d'être une connaissance dépassant l'expérience, c'est-à-dire les phénomènes donnés, et qui tend à expliquer par quoi la nature est conditionnée dans un se
Le terme de métaphysique est apparu très tôt dans l'histoire pour désigner notamment les livres d'Aristote. Schopenhauer insiste d'ailleurs de manière classique sur ce fait : on a nommé en effet métaphysique les quatorze livres qui suivent la physique d'Aristote. L'étymologie de ce mot peut alors nous donner deux significations différentes du terme. En grec, le mot meta désigne ce qui est au-delà et phusikè renvoie à la physique. On peut alors penser que quand Andronicos de Rhodes donne ce nom a...
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Texte du Monde comme volonté et comme représentation de Schopenhauer
Si la morale ne considère que l'action juste ou injuste, si tout son rôle est de tracer nettement à quiconque a résolu de ne pas faire d'injustice, les bornes où se doit contenir son activité, il en est tout autrement de la théorie de l'État. La science de l'État, la science de la législation n'a en vue que la victime de l'injustice ; quant à l'auteur, elle n'en aurait cure, s'il n'était le corrélatif forcé de la victime ; l'acte injuste, pour elle, n'est que l'adversaire à rencontre de qui elle...
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Le désir - le bonheur : texte de Schopenhauer extrait du Monde comme volonté et comme représentation
Le désir – le bonheur : texte de Schopenhauer extrait du Monde comme volonté et comme représentation Introduction Si l'un de nos désirs les plus fondamentaux est celui d'être heureux, nous avons tendance à penser spontanément que le bonheur réside dans la satisfaction du plus grand nombre de nos désirs, sinon de tous. Pourtant cela ne nous conduit-il pas à vouloir satisfaire sans cesse de nouveaux désirs et à éloigner par là toute perspective de bonheur ? Tel est le problème que Schopenhauer env...
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Commenter les réflexions suivantes de Schopenhauer, et en définir la portée : « Les animaux vivent uniquement dans le présent. L'homme vit de plus, et en même temps, dans l'avenir et le passé... Leur sort, à eux, c'est d'être entièrement sous l'impressio
Commenter les réflexions suivantes de Schopenhauer, et en définir la portée : « Les animaux vivent uniquement dans le présent. L'homme vit de plus, et en même temps, dans l'avenir et le passé... Leur sort, à eux, c'est d'être entièrement sous l'impression de l'instant, et sous l'action du motif directement perçu; lui, se détermine par des concepts abstraits, indépendamment du présent. » (Le Monde comme Volonté et représentation, livre 1 paragraphe 8). Schopenhauer, contrairement à l'esprit de la...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
Schopenhauer, « La volonté est l'essence du monde » « La volonté, que nous trouvons au-dedans de nous, ne résulte pas avant tout, comme l'admettait jusqu'ici la philosophie, de la connaissance, elle n'en est même pas une pure modification, c'est-à-dire un élément secondaire dérivé et régi par le cerveau comme la connaissance elle-même; mais elle est le Prius de la connaissance, le noyau de notre être et cette propre force originelle qui crée et entretient le corps animal, en en remplissant toute...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
Avec la mort, la vie s'éteint, mais non avec elle le principe de la vie qui se manifestait en elle... On se souvient de Socrate qui, au moment de boire la ciguë, ne craint point la mort qu'il assimile à une libération. Philosopher, ne cesse-t-il de répéter, c'est apprendre à mourir. Socrate est prêt, il s'est préparé depuis longtemps. C'est que, comme le souligne Platon, dans le Phédon, on peut espérer en l'immortalité de l'âme puisqu'elle ressemble aux Idées qui sont indubitablement immortelle...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
Si on situe généralement la naissance de la philosophie dans l’antiquité, à travers l’existence de Socrate et de Platon, l’origine même du sentiment philosophique reste un problème. On reconnaît certes que l’homme est un être qui fait exception dans la nature, de par sa conscience. Il est vrai que seuls, les hommes ont réellement bâti des civilisations et la philosophie apparaît souvent comme une haute forme de culture. Pourtant, qu’est-ce qui nous pousse à philosopher ? Schopenhauer, dans ce te...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
" L’histoire nous enseigne qu’à chaque moment il a existé autre chose ; la philosophie s’efforce au contraire de nous élever à cette idée que tout le temps la même chose a été, est et sera. En réalité l’essence de la vie humaine comme de la nature est tout entière présence en tout lieu, à tout moment, et n’a besoin, pour être reconnue jusque dans sa source, que d’une certaine profondeur d’esprit. Mais l’histoire espère suppléer à la profondeur par la largeur et l’étendue : tout fait présent n’es...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
" L'État, ce chef-d'oeuvre de l'égoïsme intelligent et raisonné, ce total de tous les égoïsmes individuels, a remis les droits de chacun aux mains d'un pouvoir infiniment supérieur au pouvoir de l'individu, et qui le force à respecter le droit des autres. C'est ainsi que sont rejetés dans l'ombre l'égoïsme démesuré de presque tous, la méchanceté de beaucoup, la férocité de quelques-uns : la contrainte les tient enchaînés, il en résulte une apparence trompeuse. Mais que le pouvoir protecteur de l...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
« La philosophie en tant que science n'a absolument rien à faire avec ce qui doit ou peut être cru ; mais seulement avec ce qu'on peut savoir. Si maintenant ce savoir devait être également tout autre chose que ce que l'on doit croire, ce ne serait pas un inconvénient pour la foi elle-même : elle est foi parce qu'elle enseigne ce qu'on ne peut savoir. Si l'on pouvait le savoir, la foi s'en trouverait inutile et ridicule, comme si en quelque sorte une doctrine de la foi était établie dans le domai...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
SCHOPENHAUER : LA SOCIÉTÉ BRIDE L'INDIVIDU Toute société est faite d'êtres qui sont unis par des liens déterminés. Ces liens ne sont pas sans effet sur les individus qui composent une collectivité donnée. Schopenhauer développe ici l'idée que plus un individu a de valeur, moins il supporte la vie sociale qui limite sa liberté et bride son développement. « Et tout d'abord toute société exige nécessairement un accommodement réciproque, une volonté d'harmonie : aussi, plus elle est nombreuse, plus...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
Avoir l'esprit philosophique, c'est être capable de s'étonner des événements habituels et des choses de tous les jours, de se poser comme sujet d'étude ce qu'il y a de plus général et de plus ordinaire... A une époque où la philosophie abstraite de Hegel domine, Schopenhauer lui oppose une philosophie de la vie pathétique, concrète, colorée, que l'on pourrait qualifier, avec Jaspers, de prophétique. Garder vivace la capacité de s'émerveiller, telle est sa préoccupation, et dans Le Monde comme V...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
"Un peuple composé uniquement de paysans découvrirait et inventerait peu de choses ; au contraire, les mains oisives font les têtes actives. Les arts et les sciences sont eux-mêmes enfants du luxe, et ils lui paient leur dette. Leur oeuvre est ce perfectionnement de la technologie, dans toutes ses branches, mécaniques, chimiques et physiques, qui, de nos jours, a porté le machinisme à une hauteur qu'on n'aurait jamais soupçonnée, et qui, notamment par la vapeur et l'électricité, accomplit des me...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
" La vraie philosophie de l'histoire revient à voir que sous tous ces changements infinis, et au milieu de tout ce chaos, on n'a jamais devant soi que le même être, identique et immuable, occupé aujourd'hui des mêmes intrigues qu'hier et que de tout temps : elle doit donc reconnaître le fond identique de tous ces faits anciens ou modernes, survenus en Orient comme en Occident ; elle doit découvrir partout la même humanité, en dépit de la diversité des circonstances, des costumes et des moeurs. C...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
" Par métaphysique, j'entends tout ce qui a la prétention d'être une connaissance dépassant l'expérience, c'est-à-dire les phénomènes donnés, et qui tend à expliquer par quoi la nature est conditionnée dans un sens ou dans l'autre, ou, pour parler vulgairement, à montrer ce qu'il y a derrière la nature et qui la rend possible. Or, la grande diversité originelle des intelligences, à laquelle s'ajoute encore la différence des éducations, qui exigent tant de loisirs, tout cela distingue si profondé...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
« Par métaphysique, j'entends tout ce qui a la prétention d'être une connaissance dépassant l'expérience... par là que par leur nationalité ou leur gouvernement.» SCHOPENHAUER Approche générale La métaphysique a d'abord pris le sens de « philosophie première », c'est-à-dire d'un type de démarche et de construction intellectuelle visant les principes les plus fondamentaux de l'être, de la connaissance, et de l'action. C'est ce sens que lui donne Aristote, mais aussi Descartes dont les Méditations...
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Vie et oeuvre d'Arthur SCHOPENHAUER
— I — Vie. Né à Dantzig en 1788, d'une famille bourgeoise, Arthur Schopenhauer a eu une existence simple de célibataire retiré du monde, marquée par une période d'enseignement (Berlin 1820-1833) et par des publications qui ne connurent pas le succès à leur époque. Après sa thèse La quadruple racine du principe de raison suffisante (1813), il publia en 1818 son œuvre la plus marquante : Die Welt als Wille und Vorstellung (Le Monde comme "Volonté et comme Représentation). D'autres traités suiviren...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
Seule l'histoire ne peut vraiment pas prendre rang au milieu des autres sciences, car elle ne peut pas se prévaloir du même avantage que les autres : ce qui lui manque en effet, c'est le caractère fondamental de la science, la subordination des faits connus dont elle ne peut nous offrir que la simple coordination. Il n'y a donc pas de système en histoire, comme dans toute autre science. L'histoire est une connaissance, sans être une science, car nulle part elle ne connaît le particulier par le m...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
Toute inclination amoureuse [...] pour éthérée que soient ses allures, prend racine uniquement dans l'instinct sexuel... La passion amoureuse est le thème éternel des romanciers, des poètes, elle joue dans la vie de l'homme un rôle primordial. Pourtant les philosophes, à l'exception de Platon dans Le Banquet et Phèdre, semblent, pendant longtemps, ne s'être guère préoccupés de la question. S'il est vrai que Kant évoque, dans Doctrine de la vertu, la tendance à ce plaisir qui s'appelle amour de...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
La satisfaction, le bonheur, comme l'appellent les hommes, n'est au propre et dans son essence rien que de négatif ; en elle, rien de positif. Il n'y a pas de satisfaction qui, d'elle-même et comme de son propre mouvement, vienne à nous ; il faut qu'elle soit la satisfaction d'un désir. Le désir, en effet, la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. Or, avec la satisfaction cesse le désir, et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement, ne saura...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
La vie n'admet point de félicité vraie, elle est foncièrement une souffrance aux aspects divers, un état de malheur radical... La célébrité tardive et posthume de Schopenhauer est due non à l'armature théorique de son système philosophique, mais à son fameux pessimisme, qui s'exprime dans Le Monde comme Volonté et comme Représentation (1818 et 1844, trad. A. Burdeau, revue et corrigée par R. Roos, PUF, 1966) à travers ses propos sur l'art et surtout sur l'éthique et qu'on ne saurait mieux carac...
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Arthur SCHOPENHAUER :La vie n'admet point de felicite vraie
La vie n'admet point de félicité vraie, elle est foncièrement une souffrance aux aspects divers, un état de malheur radical... La célébrité tardive et posthume de Schopenhauer est due non à l'armature théorique de son système philosophique, mais à son fameux pessimisme, qui s'exprime dans Le Monde comme Volonté et comme Représentation (1818 et 1844, trad. A. Burdeau, revue et corrigée par R. Roos, PUF, 1966) à travers ses propos sur l'art et surtout sur l'éthique et qu'on ne saurait mieux carac...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
L'histoire est pour l'espèce humaine ce que la raison est pour l'individu. Grâce à sa raison, l'homme n'est pas renfermé comme l'animal dans les limites étroites du présent visible; il connaît encore le passé infiniment plus étendu, source du présent qui s'y rattache : c'est cette connaissance seule qui lui procure une intelligence plus nette du présent et lui permet même de formuler des inductions pour l'avenir'. L'animal, au contraire, dont la connaissance sans réflexion est bornée à l'intuiti...
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Schopenhauer et l'Histoire
La vraie philosophie de l'histoire revient à voir que sous tous ces changements infinis, et au milieu de tout ce chaos, on n'a jamais devant soi que le même être, identique et immuable, occupé aujourd'hui des mêmes intrigues qu'hier et que de tout temps : elle doit donc reconnaître le fond identique de tous ces faits anciens ou modernes, survenus en Orient comme en Occident ; elle doit découvrir partout la même humanité, en dépit de la diversité des circonstances, des costumes et des mœurs. Cet...
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commentaire texte de Schopenhauer
Commentaire texte de Schopenhauer : Dans ce texte de Schopenhauer, la question que l’on se pose est : est-ce que le fait de combler nos désirs peut nous donner accès à la jouissance ? Une question à laquelle je répondrais rationnellement oui. Mais si l’on réfléchit bien combler nos désirs correspond à satisfaire un manque. Or une fois ce manque comblé, que reste-t-il ? Atteignons-nous la jouissance ? C’est ce que nous allons voir. Suite à cela on démontrera que la plus heureuse des vies...
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Schopenhauer, « La volonté est l'essence du monde »
Thème 255 Schopenhauer, « La volonté est l'essence du monde » Indications générales Schopenhauer (1788-1860), admirateur de Kant*, lui reprend l'idée que nous ne pouvons connaître du monde que la représentation humaine que nous pouvons nous en former. Pour lui, toute représentation est donc une illusion. Mais nous pouvons aussi directement connaître ce qui fait le coeur de la réalité, et que nous trouvons en nous-mêmes: la volonté. Citation «La volonté, que nous trouvons au-dedans de nous, ne ré...
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Schopenhauer, « La volonté est l'essence du monde »
Thème 255 Schopenhauer, « La volonté est l'essence du monde » Indications générales Schopenhauer (1788-1860), admirateur de Kant*, lui reprend l'idée que nous ne pouvons connaître du monde que la représentation humaine que nous pouvons nous en former. Pour lui, toute représentation est donc une illusion. Mais nous pouvons aussi directement connaître ce qui fait le coeur de la réalité, et que nous trouvons en nousmêmes: la volonté. Citation «La volonté, que nous trouvons au-dedans de nous, ne rés...
- Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
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BONHEUR et CONNAISSANCE DE SOI chez Schopenhauer
1/ Quelles sont, selon Schopenhauer les trois éléments constitutifs du bonheur et pourquoi le premier est-il le plus important ? Dans Eudémonologie, Schopenhauer nous décrits trois éléments essentiels qui constituent selon lui le bonheur. Ces éléments sont comme conditions pour atteindre le bonheur. En premier lieu, ce qu’est quelqu’un, du point de vue à la fois physique la santé, la force, la beauté, et moral, ce qui se passe à l’intérieur de l’homme, son bien-être intérieur, qui est le...
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Arthur SCHOPENHAUER , Aphorismes sur la sagesse dans la vie
Corrigé envoyé par Milena (1ière année HEC) La cité idéale Le but politique de Platon est de donner les caractéristiques de la cité idéale, la cité bien gouvernée. Pour ce faire, il la décrit dans la République et il en donne la législation dans les Lois. En premier lieu, il convient de définir ce qui est considéré comme une société parfaite chez Platon. Le législateur, qui prend dans la République, ouvrage fondamental, la figure de Socrate, va déduire les spécificités de la cité réellement bonn...
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Explication d'un extrait d'Essai sur le libre arbitre de Schopenhauer
Explication de texte philosophie N°2 Schopenhauer, Essai sur le libre arbitre (1838) Spinoza, philosophe néerlandais écrit en 1674 dans sa Lettre LVIII à Schuller « Telle est cette liberté humaine que tous se vantent de posséder et qui consiste en cela seul que les hommes ont conscience de leurs appétits et ignorent les causes qui les déterminent ». En cela, Spinoza affirme que tout évènement est déterminé par les causes qui le précèdent, la volonté ne fait pas exception à cette règle....
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Expliquer ce mot de Schopenhauer : « Le devoir, c'est ce qui est contraire à la nature. »
Expliquer ce mot de Schopenhauer : « Le devoir, c'est ce qui est contraire à la nature ». La vie morale constitue un ordre de choses supérieur à la nature, et comme un quatrième règne au-dessus des trois autres. La nature est étrangère, indifférente à la moralité. Elle suit ses lois, qui sont fatales ; elle est gouvernée par un mécanisme inconscient ; dans l'ordre cosmique, bien et mal sont des termes dépourvus de sens. Écoutons la nature parler par la bouche du poète : Elle me dit : « Je suis l...
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NIETZSCHE ET LA PHILOSOPHIE TRAGIQUE
NIETZSCHE ET LA PHILOSOPHIE TRAGIQUE Vie et Œuvres Nietzsche est né, près de Leipzig, le 15 octobre 1844. Fils de pasteur (je suis, dira-t-il plus tard, « un être humain né dans un presbytère ») il fut un enfant modèle et un écolier docile. A l'Université de Bonn — puis de Leipzig — il est enthousiasmé par les cours du philologue Ritschl. Il renonce alors à devenir pasteur à son tour. Grâce à l'appui de Ritschl qui le tient pour un « génie », il est nommé (sans thèse de doctorat ! ) à vingt-quat...
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Schopenhauer: La volonté comme essence secrète et dissimulée de la vie
En 1818, dans son ouvrage Le Monde comme volonté et comme représentation, Schopenhauer expose les grandes lignes de sa philosophie. L'essence du monde est la volonté, soit une force irrationnelle, active, agissante, dynamique, de la même nature que celle que nous sentons à la racine de notre être. Cette volonté s'objectivant produit le monde, du minéral inerte aux formes les plus élevées de la conscience. Quels que soient les domaines physiques, chimiques, biologiques, physiologiques ou même vol...
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Schopenhauer: La volonté comme essence secrète et dissimulée de la vie
En 1818, dans son ouvrage Le Monde comme volonté et comme représentation, Schopenhauer expose les grandes lignes de sa philosophie. L'essence du monde est la volonté, soit une force irrationnelle, active, agissante, dynamique, de la même nature que celle que nous sentons à la racine de notre être. Cette volonté s'objectivant produit le monde, du minéral inerte aux formes les plus élevées de la conscience. Quels que soient les domaines physiques, chimiques, biologiques, physiologiques ou même vol...