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commentaire texte de Schopenhauer

Publié le 17/03/2022

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schopenhauer

« Commentaire texte de Schopenhauer : Dans ce texte de Schopenhauer, la question que l’on se pose est : est-ce que le fait de combler nos désirs peut nous donner accès à la jouissance ? Une question à laquelle je répondrais rationnellement oui.

Mais si l’on réfléchit bien combler nos désirs correspond à satisfaire un manque.

Or une fois ce manque comblé, que reste-t-il ? Atteignons-nous la jouissance ? C’est ce que nous allons voir.

Suite à cela on démontrera que la plus heureuse des vies n’est pas accessible a tout le monde. I.

Le désir est souffrance Dans la première partie du texte, Schopenhauer résume la vie humaine à des désirs qui se traduisent par un manque.

La satisfaction de ce manque implique l’assouvissement du plaisir.

Ce désir qui nécessite la possession de quelque chose, révèle l’incapacité de l’être humain à avoir un rapport non-utilitaire à l’objet.

Mais suite ce sentiment de satisfaction ? Le désir se renouvelle sous la forme d’un nouveau manque qui ne demande qu’à être assouvit à son tour.

C’est un cercle vicieux qui n’en finit jamais.

Voyons le désir comme un but, un objectif.

Le fait de l’accomplir donne satisfaction mais celle-ci est éprouvé sur une courte durée.

On vient à se poser la question suivante : le but n’était-il pas illusoire ? La satisfaction met fin au désir ; mais pour un seul d’entre eux qui est satisfait, dix au moins sont contrariés.

Le désir est long et ses exigences tendent à l’infini.

Il nous porte vers une réalité que l’on se représente comme une source de satisfaction.

Au final ce souhait est-il rationnel ? Sachant qu’il n’apporte qu’insatisfaction est donc souffrance.

Comme le dit Schopenhauer peut-être que « quand le désir est satisfaction se suivent à des intervalles qui ne sont ni trop longs, ni trop courts, la souffrance résultats commun de l’un et l’autre, descend à son minium ; et c’est là la plus heureuse vie.

». II.

Les spectateurs désintéressés Selon Schopenhauer, il existe un groupe de personnes dont les artistes et philosophes qui auraient accès à des joies qu’on appellerait les plus pures.

Ces joies inaccessibles à la grande majorité des hommes sont du à une intelligence supérieur.

Mais comment arrivent-ils a accéder à ce bonheur ? La différence est dans la perception des choses.

Il ne faut pas se réduire au simple vouloir mais contempler le plaisir de la connaissance désintéressée. Apprécier la connaissance pure, la jouissance du beau, le vrai plaisir artistique.

Parlons de l’art, en effet il nous donne une connaissance.

L’artiste nous fait accéder a une beauté irréaliste que seul peuvent contempler les spectateurs désintéressés de ce monde.

On pourrait imaginer que cette beauté se trouve derrière la porte qui mène au bonheur ultime.

Et seul ceux en capacité de prendre du recul sur le monde pourrait ouvrir celle-ci.

Mais alors ce monde irréel, est-il « parfait » pour autant ou ne se réduit-il pas a un rêve ? En effet ces Hommes privilégié de par leurs aptitudes bien rares ressentent ces joies tel des rêves qui passent et qui mènent à bien des douleurs inconnues comme la solitude.

Que ressentiriezvous si vous étiez le seul a ressentir le plaisir en y trouvant aucun intérêt ? Sûrement comme un solitaire au milieu d’une foule toute différente de vous.

Alors on pourrait dire que cette. »

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