984 résultats pour "dissertations philo vie"
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MARC AURÈLE (121-180)
Dusses-tu vivre trois mille ans et autant de fois dix mille ans, souviens-toi pourtant que personne ne perd une autre vie que celle qu'il vit, et qu'il n'en vit pas d'autre que celle qu'il perd. Donc le plus long et le plus court reviennent au même. Car le présent est égal pour tous ; est donc égal aussi ce qui périt ; et la perte apparaît ainsi comme instantanée ; car on ne peut perdre ni le passé ni l'avenir ; comment en effet pourrait-on vous enlever ce que vous ne possédez pas ? Il faut donc...
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L'illusion rend-elle heureux ?
Introduction Ce qu'on désigne habituellement par le fait de vivre dans l'illusion, c'est de prendre ses désirs pour des réalités. L'illusion se présente comme un rapport perverti au réel : nous le percevons, non pas tel qu'il est, mais tel que nous le souhaitons. L'illusion semble donc être un principe de bonheur : celui qui se berce de douces illusions se croit heureux. Pourtant, il ne l'est pas vraiment, puisque les raisons qu'il a d'être heureux n'existent pas vraiment. Mais au nom de quoi pe...
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La religion nous est-elle essentielle ?
La religion est un concept ambigu puisque même son étymologie n'est pas certaine. En effet, le terme pourrait venir, d'après Cicéron, de « relegere » (recueillir, rassembler), ou encore selon Lucrèce, de « religare » (relier). La définition la plus simple que nous pourrions donner à la religion serait le fait de vouer un culte à une divinité, par des doctrines ou des pratiques constituant le rapport entre Dieu et l'homme. En fait c'est la religion qui donnerait à l'homme le sentiment de dépendre...
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KANT
[Introduction] Les débats renaissent périodiquement pour savoir si nous sommes libres ou si nous n'en avons que l'impression. Kant propose ici un critère simple permettant de vérifier que la liberté est bien présente en nous : il suffit d'examiner la conscience du devoir et ce qu'elle nous révèle. [I. On suspend aisément un penchant] a. Le premier exemple esquissé par Kant indique que le plaisir ne constitue pas pour l'homme une obligation véritable : un homme qui affirme ne pouvoir y résister s...
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DESCARTES: honnête homme et lecture
Un honnête homme n'est pas obligé d'avoir vu tous les livres, ni d'avoir appris soigneusement tout ce qui s'enseigne dans les écoles : et même ce serait une espèce de défaut en son éducation, s'il avait trop employé de temps en l'exercice des lettres. Il y a beaucoup d'autres choses à faire pendant sa vie, le cours de laquelle doit être si bien mesuré, qu'il lui en reste la meilleure partie pour pratiquer les bonnes actions, qui lui devraient être enseignées par sa propre raison, s'il n'ap...
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Rousseau et l’homme de la nature
Rousseau et l'homme de la nature La pensée de Rousseau se rattache-t-elle vraiment à la philo sophie des Lumières? Une longue tradition de notre histoire littéraire voit plutôt dans l'auteur des Confessions un précurseur du romantisme. Mais ne trouve-t-on pas du préromantisme dans I' œuvre de Diderot et faudrait-il pour autant exclure le directeur de 1 'Encyclopédie du rationalisme des Lumières?Les thèmes de la nature, du sentiment, du génie lui appartiennent tout autant qu'à la pensée...
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DESCARTES: ouvrir les yeux et philosophie
C'est proprement avoir les yeux fermés, sans tâcher jamais de les ouvrir, que de vivre sans philosopher; et le plaisir de voir toutes les choses que notre vue découvre n'est point comparable à la satisfaction que donne la connaissance de celles qu'on trouve par la philosophie; et enfin, cette étude est plus nécessaire pour régler nos moeurs et nous conduire en cette vie, que n'est l'usage de nos yeux pour guider nos pas. Les bêtes brutes, qui n'ont que leur corps à conserver, s'occupent co...
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Platon
"Vois-tu, bienheureux Simmias, il est à craindre que ce ne soit pas là, par rapport à la vertu, le mode correct d'échange : celui qui consiste à échanger des plaisirs contre des plaisirs, des peines contre des peines, une peur contre une peur, une plus grande quantité contre une plus petite, comme si c'était de la monnaie ! que cette monnaie ne soit seule de bon aloi et contre quoi doivent s'échanger toutes ces choses : (b) la pensée ! que ce soit là ce que, toutes, elles valent, et le prix dont...
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Cours de philosophie: L'ART ?
Il semble difficile de donner une définition stricte du concept d'art, et de ce fait le souci de certains critiques d'établir une hiérarchie entre les différentes formes d'art apparaît c o m m e fort contestable. Il est vrai que la philosophie en rendant compte d e l'art à travers des oppositions métaphysiques c o m m e sensible-intelligible, forme-contenu, surface-profondeur, apparence-réalité, a établi un m o d e d e pensée qui a gommé ce qui ne pouvait faire l'objet d'analyses abstraites. Heg...
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BERGSON: CIVILISATION ET SOCIETE
Explication de texte En vain on essaie de se représenter un individu dégagé de toute vie sociale. Même matériellement, Robinson dans son île reste en contact avec les autres hommes, car les objets fabriqués qu'il a sauvé du naufrage, et sans lesquels il ne se tirerait pas d'affaire, le maintiennent dans la civilisation et par conséquent dans la société. Mais un contact moral lui est plus nécessaire encore, car il se découragerait vite s'il ne pouvait opposer à des difficultés sans cesse renaiss...
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DESCARTES: L'éducation d'un honnête homme.
Un honnête homme n'est pas obligé d'avoir vu tous les livres, ni d'avoir appris soigneusement tout ce qui s'enseigne dans les écoles : et même ce serait une espèce de défaut en son éducation, s'il avait trop employé de temps en l'exercice des lettres. Il y a beaucoup d'autres choses à faire pendant sa vie, le cours de laquelle doit être si bien mesuré, qu'il lui en reste la meilleure partie pour pratiquer les bonnes actions, qui lui devraient être enseignées par sa propre raison, s'il n'apprenai...
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Y a-t-il un sens à désirer ce qui est impossible ?
Demande d'échange de corrigé de Clément Emilie ([email protected]). Sujet déposé : Y a-t-il un sens à désirer ce qui est impossible ? Analyse des termes du sujet : « absurde » peut signifier quelque chose d'irréel, quelque chose qui n'a aucun sens ou quelque chose qui choque. Introduction (rédigée) : L'homme par sa société d e consommation est amené à vouloir et à consommer toujours plus. En effet ses désirs peuvent devenir immodérés et par le biais des médias on voit se répandre d e plus en plu...
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Bergson
« L'art suffirait donc à nous montrer qu'une extension des facultés de percevoir est possible. Mais comment s'opère-t-elle? Remarquons que l'artiste a toujours passé pour un "idéaliste". On entend par là qu'il est moins préoccupé que nous du côté positif et matériel de la vie. C'est, au sens propre du mot, un "distrait". Pourquoi, étant plus détaché de la réalité, arrive-t-il à y voir plus de choses ? On ne le comprendrait pas, si la vision que nous avons ordinairement des objets extérieurs et d...
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Sciences naturelles et sciences de l'homme ?
Demande d'échange de corrigé de b C ([email protected]). Sujet déposé : sciences naturelles et sciences de l\'homme I. Introduction Le pluriel du concept de science et diversité des domaines Le pluriel du mot « sciences » est ici important, puisque la science se divise en plusieurs domaines scientifiques, comme les sciences de la nature et de l'homme. - les sciences de la nature regroupent : physique, chimie, biologie, anatomie, génétique, généalogie et l'étude du corps et des mécani...
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ROUSSEAU: Le droit de propriété
Le droit de propriété n'étant que de convention et d'institution humaine, tout homme peut à son gré disposer de ce qu'il possède : mais il n'en est pas de même des dons essentiels de la Nature, tels que la vie et la liberté, dont il est permis à chacun de jouir et dont il est au moins douteux qu'on ait droit de se dépouiller : en s'ôtant l'une on dégrade son être ; en s'ôtant l'autre on l'anéantit autant qu'il est en soi ; et comme nul bien temporel ne peut dédommager de l'une et de l'autre, ce...
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Aristote
Admettons donc que l'on doive voir la fin et attendre ce moment pour déclarer un homme heureux, non pas comme étant actuellement heureux, mais parce qu'il l'était dans un temps antérieur : comment n'y aurait-il pas une absurdité dans le fait que, au moment même où cet homme est heureux, on refusera de lui attribuer avec vérité ce qui lui appartient, sous prétexte que nous ne voulons pas appeler heureux les hommes qui sont encore vivants, en raison des caprices de la fortune et de ce que nous avo...
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MONTESQUIEU et la politique
Dans les gouvernements despotiques, où, comme nous avons dit, on n'est déterminé à agir que par l'espérance des commodités de la vie, le prince qui récompense n'a que de l'argent à donner. Dans une monarchie, où l'honneur règne seul, le prince ne récompenserait que par des distinctions, si les distinctions que l'honneur établit n'étaient jointes à un luxe qui donne nécessairement des besoins: le prince y récompense donc par des honneurs qui mènent à la fortune. Mais, dans une république, où la v...
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Blaise PASCAL
« La vie humaine n'est qu'une illusion perpétuelle ; on ne fait que s'entre-tromper et s'entre-flatter. Personne ne parle de nous en notre présence comme il en parle en notre absence. L'union qui est entre les hommes n'est fondée que sur cette mutuelle tromperie ; et peu d'amitiés subsisteraient, si chacun savait ce que son ami dit de lui lorsqu'il n'y est pas, quoiqu'il en parle alors sincèrement et sans passion. L'homme n'est donc que déguisement, que mensonge et hypocrisie, et en soi-même et...
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Antiochus
Antiochus (c.130-68 BC) For most of his career the Greek philosopher Antiochus of Ascalon, a pupil of Philo of Larissa, was an orthodox ‘sceptical' Academic. He then changed his philosophy: some called him a Stoic, but he himself claimed to be returning to the Old Academy of Plato and his immediate successors. He took a generous view of his new home, urging that the Peripatetics and the Stoics were not new schools of thought but mere modifications of Platonism, and the philosophical position whi...
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Nietzsche
« Tu vois maintenant une erreur dans cette chose que tu aimas autrefois comme vraie ou comme probable : tu la rejettes loin de toi et tu te figures que ta raison vient de remporter une victoire. Mais peut-être cette erreur, jadis, alors que tu étais un autre –on ne cesse jamais d’être un autre- t’était-elle aussi nécessaire que tes « vérités » d’aujourd’hui ; c’était une sorte de peau qui te cachait, te voilait bien des choses que tu n’avais pas encore le droit de voir- c’est ta nouvelle vie, ce...
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Toutes les Leçons en philosophie - Tronc commun: cours rédigés et méthodologie
INTRODUCTION A LA PHILOSOPHIE I. Qu’est-ce que la philosophie ? E La question qu’est-ce que la philosophie est sans doute une des questions les plus redoutables que l’on puisse adresser à un philosophe ; au point qu’un célèbre professeur français Jules Lachelier disait qu’il était plus sage de répondre « je ne sais rien ». L’embarras dans lequel nous plonge une telle question est révélateur de la complexité d’une telle discipline. En effet, la philosophie se présente surtout comm...
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LE BONHEUR ET L'ÊTRE CHEZ ARISTOTE
LE BONHEUR ET L'ÊTRE Si tous les hommes recherchent le bonheur, ils ne l'entendent pas pour autant de la même manière. Il semble donc qu'il n'y a pas un Souverain Bien mais plusieurs (plaisir, honneur, richesse, vertu). Aristote en déduit que le Bien n'est pas universel et qu'on ne peut donc pas en faire la science. Le Bien ne transcende pas le monde humain comme s'il siégeait "au delà de l'être". Il va s'agir alors de définir un Bien "praticable" proprement humain. "Tous les hommes aspir...
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Cicéron et les devoirs
Introduction : - Thème (ce dont il est question) : Il s'agit ici d'un extrait d'un texte de Cicéron dans lequel l'auteur mène à la fois une analyse morale et politique du comportement de comportement de l'homme juste envers autrui. - Problème (ce qui fait question) : Cicéron pose la question de savoir si le fait de se comporter conformément à des principes universels suffit à être juste, ou si au contraire, il ne faut pas en plus s'occuper d'autrui, surtout si il est en position de faiblesse. -...
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Expliquez et appréciez cette opinion de Beaumarchais : « Que me font à moi, paisible sujet d'un état monarchique, les révolutions de Rome et d'Athènes, le meurtre d'un tyran du Péloponèse, l'immolation d'une jeune personne en Aulide ? Il n'y a rien là po
Expliquez et appréciez cette opinion de Beaumarchais : « Que me font à moi, paisible sujet d'un état monarchique, les révolutions de Rome et d'Athènes, le meurtre d'un tyran du Pélopo-nèse, l'immolation d'une jeune personne en Aulide ? Il n'y a rien là pour moi, aucune moralité qui ne convienne. » PLAN Début. — Beaumarchais conteste l'intérêt de la tragédie classique. 1. La décadence de la tragédie au XVIII0 siècle explique cette opinion. Vains essais de rajeunissement de Crébillon et Voltaire....
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Descartes: La technique peut-elle
nous rendre maîtres et possesseurs de la nature ?
PRESENTATION DE L'OUVRAGE "DISCOURS DE LA METHODE DE DESCARTES Premier texte philosophique paru en langue française, préfaçant les Essais scientifiques, le Discours de la méthode retrace le parcours intellectuel de son auteur, depuis l'incertitude de l'école et de ses livres jusqu'à la fondation inébranlable du cogito et des fruits qui en découlent. Descartes (1596-1650) prend ses distances avec le long héritage aristotélicien véhiculé par la philosophie scolastique : cela se lit aussi bien dans...
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De quelles sciences l’Homme peut-il être l’objet?
De quelles sciences l’Homme peut-il être l’objet? Introduction: 1. Les sciences humaines et l’idée d’un questionnement indirect sur l’Homme Question qu’est ce que l’homme était celle vers laquelle toutes les réflexions philosophiques convergeaient. Aborder la question de l’homme à partir des pb autour de la science humaine. Versant épistémologiques (réflexion philo qui porte sur la connaissance scientifique) → Pourquoi et sous quelle forme sciences humaines obligent-elles à se questio...
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Y a-t-il une morale ou des morales ?
Y a-t-il une morale ou des morales ? Toute tentative de définition de la morale aboutit à poser ce problème préliminaire et c'est le premier problème que rencontre la réflexion philosophique, la première question qui agite l'esprit des adolescents lorsque leur discernement critique commence le procès des valeurs admises. D'une part en effet nous constatons que la morale, c'est-à-dire l'ensemble des règles et des valeurs qui s'imposent à la conduite humaine, varie selon les groupes, les milieux,...
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FREUD et la tendance à l'agression
PRESENTATION DU "MALAISE DANS LA CIVILISATION" DE FREUD Freud (1856-1939) propose ici une réflexion sur la dimension tragique de la condition humaine. Pour cerner l'origine du « malaise » de l'homme civilisé, il s'appuie sur l'hypothèse, introduite dans Au-delà du principe de plaisir (1920), d'un dualisme fondamental du psychisme humain, divisé entre les pulsions de vie (pulsions sexuelles et d'autoconservation) et les pulsions de mort (pulsions d'autodestruction et d'agressivité). L'inter...
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Nietzsche
Il est impossible de vivre sans oublier. Ou plus simplement encore, il y a un degré d'insomnie, de rumination, de sens historique qui nuit au vivant et qui finit par le détruire, qu'il s'agisse d'un homme, d'une nation ou d'une civilisation. Pour définir le degré et fixer la limite où il faut absolument oublier le passé, faute de quoi il deviendrait le fossoyeur du présent, il faudrait connaître la mesure exacte de la force plastique d'un homme, d'une nation, d'une civilisation, je veux dire la...
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Alexis de Tocqueville
A lexis C harles Henri Maurice C lérel de Tocqueville est né en 1805 et mort en 1849. Ecrivain politique et homme d'Etat français, dont l'ouvrage sur le système politique des Etats-Unis est devenu un classique, Tocqueville est né le 29 juillet 1805 à V erneuil et a étudié le droit à P aris. Avec le spécialiste de droit public international Gustave A uguste de Beaumont de la Bonninière (1802-1866), il s'est rendu aux Etats-Unis en 1831 pour y étudier le droit pénal de ce pays. Les deux hommes con...
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Communication sociale pour la promotion des manifestations culturelles en Côte d'Ivoire : cas du mory-sawarila de Marabadjassa
UNIVERSITÉ ALASSANE OUATTARA DE BOUAKÉ UFR : Communication, Milieu et Société Département des sciences du langage et de la communication MÉMOIRE DE MASTER 2 MENTION : Sciences de la communication OPTION : Communication pour le développement SUJET : COMMUNICATION SOCIALE POUR LA PROMOTION DES MANIFESTATIONS CULTURELLES EN CÔTE D’IVOIRE : CAS DU MORI-SABARILA DE MARABADJASSA Présenté par : M. SANGARÉ Souleymane Encadré par : M. KAUL Guy (Maître de conférences) Sous la di...
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Désirer me rend-il heureux ?
Demande d'échange de corrigé de Magne Charles ([email protected]). Sujet déposé : Désirer me rend-il heureux ? Désirer est consubstantiel à l'homme et correspond à la recherche de la réduction d'une tension issue d'un sentiment de manque. Le désir est une tendance devenue consciente d'elle-même et qui est à distinguer du besoin et de la nécessité, qui sont impersonnels. D'ailleurs, si quelque chose me rend heureux, me fait passer à un état de bonheur, cela implique bien un aspect subjecti...
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Du rôle de l'habitude et de l'effort dans la formation de la personnalité.
Du rôle de l'habitude et de l'effort dans la formation de la personnalité. La conscience, telle qu'elle nous apparaît à l'état adulte, distingue nettement le moi de tout ce qui n'est pas lui. Le moi est ainsi le noyau, l'axe de tous les événements intérieurs. Tous les états qui constituent ma vie intérieure, si nombreux et si variés qu'ils soient, ne restent pas éparpillés autour de ma pensée, ils ne circulent pas à côté de ma conscience comme font les planètes autour du soleil. Ils sont liés en...
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Nietzsche
Sujet 2081 Quelle est la fonction de l'art ? "L'art doit avant tout embellir la vie, donc nous rendre nousmêmes tolérables aux autres et agréables si possible : ayant cette tâche en vue, il modère et nous tient en brides, crée des formes de civilité, lie ceux dont l'éducation n'est pas faite à des lois de convenance, de propreté, de politesse, leur apprend à parler et à se taire au bon moment. De plus, l'art doit dissimuler ou réinterpréter tout ce qui est laid, ces choses pénibles, épouvantabl...