685 résultats pour "commentaires philo 8 seul"
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Pas de religions sans Eglises ?
Pas de religions sans Eglises ? « Les croyances proprement religieuses sont toujours communes à une collectivité déterminée qui fait profession d'y adhérer et de pratiquer les rites qui en sont solidaires. Elles ne sont pas seulement admises, à titre individuel, par tous les membres de cette collectivité ; mais elles sont la chose du groupe et elles en font l'unité. Les individus qui la composent se sentent liés les uns aux autres, par cela seul qu'ils ont une foi commune. Une société dont les m...
- Hobbes: L'État résulte-t-il d'un compromis social ?
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Évolution technique et défense de l'environnement sont-elles compatibles ?
Préparation aux épreuves Rédaction Sujets de concours commentés Sujet 8 Évolution technique et défense de l’environnement sont-elles compatibles ? Qu’en pensez-vous ? Justifiez à l’aide d’exemples votre opinion. Commentaires S’il est un « sujet bateau », c’est bien celui-ci. Les médias ne cessent de nous resservir à tout propos le problème qu’il évoque. Il est l’objet d’un enjeu politique et, dans la plupart des pays, des partis « verts » se sont créés pour essayer de le résoudre au mieux. Car...
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KANT: L'agréable, le beau, le bon et le plaisir
« L'agréable, le beau, le bon désignent [...] trois relations différentes des représentations au sentiment de plaisir et de peine, en fonction duquel nous distinguons les uns des autres les objets ou les modes de représentation. Aussi bien les expressions adéquates pour désigner leur agrément propre ne sont pas identiques. Chacun appelle agréable ce qui lui FAIT PLAISIR, beau ce qui lui PLAÎT simplement ; bon ce qu'il ESTIME, approuve, c'est-à-dire ce à quoi il attribue une valeur objectiv...
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Nietzsche: La volonté de puissance comme essence de la vie
La règle de conduite commune aux individus est la réciprocité, à la condition qu'ils appartiennent au même corps social, avec les mêmes valeurs et les mêmes critères. Chacun considère ainsi la volonté d'autrui comme égale à la sienne, s'abstient par conséquent de commettre des actes de violence, d'offenser ou de voler, afin qu'il ne lui soit pas fait de même. Nous vivons d'ordinaire sous l'impératif de la moralité évangélique : "Ne fais pas à autrui ce que tu ne voudrais pas qu'il te fasse...
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« L'obéissance à la loi qu'on s'est prescrite est liberté ». Que pensez-vous de cette affirmation?
DIRECTIONS DE RECHERCHE • Position de Spinoza. — Lettre 58 à Schuller : « J'appelle libre une chose qui est agie par la seule nécessité de sa nature, contrainte celle qui est déterminée par une autre à exister et à agir. » — « Éthique » I. Selon Spinoza tous les modes, tous les accidents sont reliés à la substance par une nécessité rationnelle; tout ce qui est possible est. L'homme, mode fini parmi les autres, n'a de sens que par cette totalité; l'idée qu'il s'en fait à l'occasion de ses sensati...
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La beauté est-elle la fin de l'art ?
Le beau peut se définir comme ce qui, dans un être ou un objet, est susceptible de procurer un sentiment de plaisir à celui qui le contemple. Lorsque nous nous interrogeons sur le but de quelque chose ou de quelqu'un, nous nous interrogeons sur l'objet qu'il vise, sur ce qu'il cherche à atteindre au travers de son activité. Le but est donc la chose vers laquelle tend l'action, l'industrie ou la pensée d'un être, ce dont il est actuellement sépare mais qu'il cherche à atteindre au moyen de ses e...
- Les mathématiques pourraient-elle remplacer la philosophie ?
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Henry: Le travail est-il uniquement un concept économique ?
Les deux caractéristiques qui définissent en premier lieu le travail, c'est qu'il est à la fois pénible et inévitable, qu'il est une triste nécessité. Tout au plus peut-on parfois parler d'un plaisir ou d'une joie dans le travail, mais il semble souvent que les deux éléments restent étrangers l'un à l'autre, et que la joie dans le travail ne soit pas toujours une joie du travail, mais uniquement la satisfaction liée à ce qu'il procure. Comment articuler ce qui relève des nécessités de la survie...
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DESCARTES: tous les arts ne sauraient être appris en même temps par le même homme
Les hommes ont l'habitude, chaque fois qu'ils découvrent une ressemblance entre deux choses, de leur attribuer à l'une et à l'autre, même en ce qui les distingue, ce qu'ils ont reconnu vrai de l'une d'elles. Ainsi, faisant une comparaison fausse entre les sciences, qui résident tout entières dans la connaissance qu'a l'esprit, et les arts, qui requièrent un certain exercice et une certaine disposition du corps, et voyant, par ailleurs, que tous les arts ne sauraient être appris en même temp...
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Antiochus
Antiochus (c.130-68 BC) For most of his career the Greek philosopher Antiochus of Ascalon, a pupil of Philo of Larissa, was an orthodox ‘sceptical' Academic. He then changed his philosophy: some called him a Stoic, but he himself claimed to be returning to the Old Academy of Plato and his immediate successors. He took a generous view of his new home, urging that the Peripatetics and the Stoics were not new schools of thought but mere modifications of Platonism, and the philosophical position whi...
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En quoi peut-on dire que parler est le propre de l'homme ?
introduction Critiquant les vues de Montaigne et de Charron qui avançaient « qu'il y a plus de différences d'homme à homme, que d'homme à bête », Descartes observait : « il est fort remarquable que la parole ne convient qu'à l'homme seul » (Lettre au marquis de Newcastle, Lettres, P.U.F., p. 161). Le langage serait le propre de l'homme et un critère objectif de différenciation de ce dernier d'avec l'animal. Mais ne constatons-nous pas que les animaux eux aussi communiquent entre eux, qu'ils...
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DESCARTES: droit et devoir
Il est des devoirs qui ne découlent pas du droit d'autrui, par exemple le devoir de bienfaisance. Le malheureux n'a, pour ce qui est de lui, de droits sur ma bourse que dans la mesure où il suppose que c'est moi qui me ferais un devoir d'assister les malheureux; quant à moi, mon devoir ne se fonde pas sur son droit : son droit à la vie, à la santé, etc., ne concerne pas des individus mais l'humanité en général (le droit de l'enfant à la vie concerne les parents) et ce droit impose à l'État,...
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Merleau-Ponty
PRESENTATION DE LA "PHENOMENOLOGIE DE LA PERCEPTION" DE MERLEAU-PONTY Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) est le représentant, avec Sartre et Levinas, d'une phénoménologie française qui a su s'approprier de manière originale la volonté de Husserl de décrire les expériences et les opérations fondamentales de la conscience. Intégrant à l'inspiration phénoménologique les résultats des sciences de son temps, Merleau-Ponty construit son discours en réfutant les thèses qui lui semblent désormais factice...
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Merleau-Ponty: Perception et Connaissance.
PRESENTATION DE LA "PHENOMENOLOGIE DE LA PERCEPTION" DE MERLEAU-PONTY Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) est le représentant, avec Sartre et Levinas, d'une phénoménologie française qui a su s'approprier de manière originale la volonté de Husserl de décrire les expériences et les opérations fondamentales de la conscience. Intégrant à l'inspiration phénoménologique les résultats des sciences de son temps, Merleau-Ponty construit son discours en réfutant les thèses qui lui semblent désormais factice...
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Aristote
"[...] L'instant qui paraît délimiter le passé et le futur, est-ce qu'il subsiste un et identique, ou est-il toujours nouveau? Ce n'est pas facile à voir. En effet, s'il est toujours différent, comme aucune partie d'une succession temporelle ne coexiste avec aucune autre [...], et comme ce qui actuellement n'est pas, mais a été auparavant, doit forcément avoir été détruit à un moment, de même aussi les instants ne coexisteront pas les uns avec les autres, et celui qui précède sera forcément touj...
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Texte de Descartes : Lettre au marquis de Newcastle du 23 novembre 1646 (Langage et Pensée)
Texte de Descartes : Lettre au marquis de Newcastle du 23 novembre 1646 (Langage et Pensée) INTRODUCTION PROBLÉMATIQUE Si le bon sens interdit de nier que certains animaux possèdent une aptitude à communiquer, y a-t-il lieu pour autant d'assimiler communication et langage, autrement dit d'octroyer à toute communication un statut linguistique ? Descartes dans sa Lettre au Marquis de Newcastle du 23 novembre 1646 distingue radicalement les performances verbales des pies, perroquets et autres...
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Analyse du Candide de VOLTAIRE .
Analyse des thèmes présents dans Candide de Voltaire: 1 La vie au château. Tout est au mieux dans le meilleur des mondes :présentation de la philosophie optimiste de Pangloss 2 Candide est enrôlé de force dans l'armée bulgare. Recrutement forcé des soldats 3 Candide découvre les horreurs de la guerre, déserte et est recueilli par un anabaptiste, Jacques. La guerre 4 Pangloss a été affreusement mutilé par la vérole. Il lui raconte la destruction du château et le viol et la mort de Cunégonde. Le v...
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Arendt et la « nécessité de subsister »
Commentaire : Ce texte d’Hannah Arendt, extrait de son ouvrage La condition de l’homme moderne, traite du travail et de sa nature à travers un jeu d’oppositions et d’assimilations. En effet, Arendt assimile d’abord le travail et la consommation dans un même cycle ; en somme, on travaille pour manger et l’on mange pour travailler. Cependant, cette assimilation a pour contrepoids l’opposition du travail à l’œuvre : « par opposition à l’œuvre qui… ». Arendt nous suggère donc une analyse même...
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Jules Dumont d'Urville
Jules Dumont d'Urville Rien ne semblait prédestiner un héritier des grands baillis de Condé-sur-Noireau, de vieille souche terrienne, à devenir le rival attardé de Cook et le véritable découvreur d'une Antarctique encore mystérieuse. Pourtant, au cours d'un troisième voyage en Océanie, après deux incursions vers le pôle austral, Dumont d'Urville écrivait à son ministre : "Ces pensées seules m'avaient poussé dans la carrière maritime, depuis ma plus tendre enfance." Cette vocation précoce s'expl...
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KANT: MAXIME ET LOI DE LA RAISON
Haut du formulaire Commentaire de texte Emmanuel Kant Qu'est-ce que s'orienter dans la pensée? Texte « Troisièmement la liberté de penser signifie aussi que la raison ne se soumette à aucune autre loi qu'à celle qu'elle se donne elle-même ; et son contraire est la maxime d'un usage sans loi de la raison (afin, comme le génie en a l'illusion, de voir plus loin qu'en restant dans les limites de ses lois). La conséquence en est naturellement celle-ci : si la raison ne veut pas être soumise à la lo...
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Rousseau: Education et sanction
«Je reviens à la pratique. J'ai déjà dit que votre enfant ne doit rien obtenir parce qu'il le demande, mais parce qu'il en a besoin, ni rien faire par obéissance, mais seulement par nécessité. Ainsi les mots d'obéir et de commander seront proscrits de son dictionnaire, encore plus ceux de devoir et d'obligation ; mais ceux de force, de nécessité, d'impuissance et de contrainte y doivent tenir une grande place. Avant l'âge de raison, l'on ne saurait avoir aucune idée des êtres moraux ni des relat...
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ARISTOTE : LA VERTU COMME JUSTE MILIEU (Éthique à Nicomaque, II, 6)
ARISTOTE : LA VERTU COMME JUSTE MILIEU (Éthique à Nicomaque, II, 6) PRESENTATION DE L' "ETHIQUE A NICOMAQUE" DE ARISTOTE Au regard de la tripartition du savoir classique dans l'Antiquité (logique, physique et éthique), l'Éthique à Nicomaque constitue l'oeuvre la plus aboutie de la partie éthique. En délimitant le champ des affaires humaines par exclusion de la nature et du divin, elle constitue le premier effort pour penser l'action humaine de manière immanente et autonome et lui reconnaî...
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Aristote: L'homme est-il par nature un animal politique ?
"Il est donc évident que la cité est du nombre des choses qui sont dans la nature, que l'homme est naturellement un animal politique, destiné à vivre en société et que celui qui, par sa nature et non par l'effet de quelque circonstance, ne fait partie d'aucune cité, est une créature dégradée ou supérieure à l'homme. Il mérite, comme dit Homère, le reproche sanglant d'être sans famille, sans lois, sans foyers ; car celui qui a une telle nature est avide de combats et, comme les oiseaux de p...
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DESCARTES: machine et corps
Enfin il n’y a aucune de nos actions extérieures qui puisse assurer ceux qui les examinent que notre corps n’est pas seulement une machine qui se remue de soi-même, mais qu’il y a aussi en lui une âme qui a des pensées, excepté les paroles, ou autres signes faits à propos des sujets qui se présentent, sans se rapporter à aucune passion. Je dis les paroles, ou autres signes, parce que les muets se servent de signes en mêmes façon que nous de la voix ; et que ces signes soient à propos, pour...
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Aristote: La main est-elle un outil ?
Ce n'est pas parce qu'il a des mains que l'homme est le plus intelligent des êtres, mais c'est parce qu'il est le plus intelligent qu'il a des mains. En effet, l'être le plus intelligent est celui qui est capable de bien utiliser le plus grand nombre d'outils : or, la main semble bien être non pas un outil, mais plusieurs. Car elle est pour ainsi dire un outil qui tient lieu des autres. C'est donc à l'être capable d'acquérir le plus grand nombre de techniques que la nature a donné l'outil...
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Karl Heinrich MARX (1818-1883)
... En ce qui concerne l'art on sait que certaines époques de floraison artistique ne sont nullement en rapport avec l'évolution générale de la société, ni donc avec le développement de la base matérielle qui est comme l'ossature de son organisation. Par exemple les Grecs comparés aux modernes, ou encore Shakespeare. Pour certaines formes de l'art, l'épopée par exemple, on va jusqu'à reconnaître qu'elles ne peuvent jamais être produites dans la forme classique où elles font époque. Dès que la pr...
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Les romantiques voyaient dans l'affectivité le facteur essentiel du travail créateur. Pourtant, Diderot nous dit : « Les grands poètes, les grands acteurs, et peut-être en général tous les grands imitateurs de la nature sont les êtres les moins sensibles
Les romantiques voyaient dans l'affectivité le facteur essentiel du travail créateur. Pourtant, Diderot nous dit : « Les grands poètes, les grands acteurs, et peut-être en général tous les grands imitateurs de la nature sont les êtres les moins sensibles. » Que pensez-vous de cette opposition ? CONSEILS PRELIMINAIRES 1. Le sujet exige une certaine culture, une connaissance assez approfondie des théories esthétiques du XVIIIe et du XIXe siècles, connaissance qui d'ailleurs ne dépasse pas les poss...
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ROUSSEAU: N'allons pas surtout conclure avec Hobbes...
N'allons pas surtout conclure avec Hobbes que pour n'avoir aucune idée de la bonté, l'homme soit naturellement méchant, qu'il soit vicieux parce qu'il ne connaît pas la vertu, qu'il refuse toujours à ses semblables des services qu'il ne croit pas leur devoir, ni qu'en vertu du droit qu'il s'attribue avec raison aux choses dont il a besoin, il s'imagine follement être le seul propriétaire de tout l'Univers. Hobbes a très bien vu le défaut de toutes les définitions modernes du droit Naturel : mais...
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Dictée terminale Au bout du petit matin
Niveau 1reA1 / 1er trimestre Au bout du petit matin Au bout du petit matin, une autre petite maison qui sent très mauvais dans une rue très étroite, une maison minuscule qui abrite en ses entrailles de bois pourris des dizaines de rats et la turbulence de mes six frères et sœurs, une petite maison cruelle dont l’intransigeance affole nos fins de mois et mon père fantastique grignoté d’une seule misère, je n’ai jamais su laquelle, qu’une imprévisible sorcellerie assoupit en mélancolique t...
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MARC AURELE et le mal
Commentaire de Marc Aurèle, Pensées pour moi-même 1. Marc Aurèle fait partie du courant de pensée appelé stoïcisme duquel fait partie aussi Epictète et Sénèque. Il reprend dans ce texte une doctrine courante de cette école, à savoir que le bonheur est moins à chercher dans le monde extérieur qui ne dépend de nous qu'à l'intérieur de nous-mêmes et dans l'ordonnance de nos passions. - Marc Aurèle commence par mettre en évidence la pratique commune des hommes qui cherchent toujours les meilleurs e...
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Aristote: La main est-elle un outil ?
Ce n'est pas parce qu'il a des mains que l'homme est le plus intelligent des êtres, mais c'est parce qu'il est le plus intelligent qu'il a des mains. En effet, l'être le plus intelligent est celui qui est capable de bien utiliser le plus grand nombre d'outils : or, la main semble bien être non pas un outil, mais plusieurs. Car elle est pour ainsi dire un outil qui tient lieu des autres. C'est donc à l'être capable d'acquérir le plus grand nombre de techniques que la nature a donné l'outil...
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La Vérité (cours complet de philosophie)
Séquence n°5 – La vérité Depuis Thomas d’Aquin au XIIIe siècle, tout le monde semble s’accorder pour définir la vérité comme correspondance ou adéquation entre ce qui est conçu par l’intelligence/l’esprit et la réalité. En d’autres termes, la proposition « Il pleut » est vraie si et seulement s’il pleut dans les faits. Cette définition comporte une conséquence importante : la vérité serait une propriété du langage et non du réel. « Vrai » et « faux » sont donc des qualificatifs qui s’appl...
- L’HISTOIRE DE LA COUR ROYALE D’ABENGOUROU
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Hier, aujourd’hui, les Lumières : entre tradition et modernité
Hier, aujourd’hui, les Lumières : entre tradition et modernité Hubert Robert, ci-dessus, Vue imaginaire de la Grande Galerie du Louvre en ruines, et en haut, Projet d'aménagement de la Grande Galerie du Louvre en 1796