33 résultats pour "biologiste"
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La finalité en biologie
Il semble y avoir une contradiction dans les termes quand on rapproche le mot positif qui caractérise habituellement la science et la notion de finalité qui appartient habituellement à la métaphysique. La science est positive dans la mesure où elle se limite aux faits. Elle établit entre eux des relations de cause à effet qui, lorsqu'elles sont constantes, prennent le nom de lois. Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. La notion de finalité au contraire comporte l'intervention d'...
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La biologie nous dit-elle ce qu'est la vie ?
Termes du sujet: BIOLOGIE (n. f.) Terme créé par LAMARCK et TREVIRANUS au début du XIXe siècle et désignant la science des phénomènes vitaux, qui considère unitairement les règnes animal et végétal. JACOB distingue la biologie intégriste (ou évolutionniste) qui explique le vivant à la fois par ses structures moléculaires, et par son appartenance à un système englobant toute la terre, de la biologie réductionniste pour laquelle l'organisme est un système, dont l'explication relève des seules prop...
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La biologie est-elle une science impossible ?
Termes du sujet: BIOLOGIE (n. f.) Terme créé par LAMARCK et TREVIRANUS au début du XIXe siècle et désignant la science des phénomènes vitaux, qui considère unitairement les règnes animal et végétal. JACOB distingue la biologie intégriste (ou évolutionniste) qui explique le vivant à la fois par ses structures moléculaires, et par son appartenance à un système englobant toute la terre, de la biologie réductionniste pour laquelle l'organisme est un système, dont l'explication relève des seules prop...
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La finalité en biologie ?
Il semble y avoir une contradiction dans les termes quand on rapproche le mot positif qui caractérise habituellement la science et la notion de finalité qui appartient habituellement à la métaphysique. La science est positive dans la mesure où elle se limite aux faits. Elle établit entre eux des relations de cause à effet qui, lorsqu'elles sont constantes, prennent le nom de lois. Les mêmes causes produisent toujours les mêmes effets. La notion de finalité au contraire comporte l'intervention d'...
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Notes de cours: LA CONNAISSANCE DU VIVANT (2).
Les phénomènes biologiques sont-ils analysables, réductibles à des éléments à partir desquels ils pourraient être compris? Il semble au contraire que, dans le domaine de la vie, le tout soit premier par rapport à ses parties, et les explique. Chaque élément n'est pas uni à d'autres en une synthèse de hasard: tous paraissent concourir à une unité qui les dépasse, et contient la raison de leur rencontre. Il n'y a de "faits" biologiques qu'en des "êtres vivants". Ici, transparaît un ordre qui n'est...
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La biologie constitue-t-elle un modèle pour les sciences de l'esprit ?
Introduction : L'esprit et la vie ont souvent été confondus : dans diverses cultures ils sont indifféremment assimilés à un même souffle qui traverse la matière et qui l'anime. Mais l'approche scientifique de ces phénomènes les a séparés : la biologie est la science du vivant et la psychologie est la science de l'esprit. Ces sciences semblent bien distinctes, cependant lorsque l'étude d'une lésion au cerveau permet d'expliquer les causes de l'aphasie, on peut se demander si la psychologie ne gag...
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Les sciences de l'après-guerre
Les sciences de l'après-guerre Une plongée de "l'infiniment petit" à "l'infiniment grand". Pendant la seconde moitié du XXe siècle, percer les secrets des particules élémentaires de la biologie, de la physique et de la chimie a été l'un des buts principaux des scientifiques. Parmi les différents champs des sciences, la biologie a connu une véritable révolution. Le résultat le plus surprenant est, sans conteste, la naissance de "Dolly", annoncée officiellement le 27 février 1997 dans un article...
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TEXTE Claude BERNARD, Introduction à l'étude de la Médecine expérimentales
Claude BERNARD, Introduction à l'étude de la Médecine expérimentale. S'il fallait définir la vie d'un seul mot, qui, en exprimant bien ma pensée, mit en relief le seul caractère qui, suivant moi, distingue nettement la science biologique, je dirais: la vie, c'est la création. En effet, l'organisme créé est une machine qui fonctionne nécessairement en vertu des propriétés physico-chimiques de ses éléments constituants. Nous distinguons aujourd'hui trois ordres de propriétés manifestées dans les p...
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Quelle est la différence entre les sciences physiques et les sciences biologiques ?
Quelle est la différence entre les sciences physiques et les sciences biologiques? Ces deux ordres de sciences diffèrent : 1° par leur objet, 2° par leur but, 3° par leur méthode. A. — Différence d'objet. — Les sciences physiques (sciences analytiques, abstraites-concrètes) ont pour objet les phénomènes, abstraction faite des êtres où ils se passent. Les sciences biologiques (sciences descriptives, concrètes) étudient les êtres vivants, dans leur constitution essentielle et la corrélation nécess...
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Merleau-Ponty: L'usage qu'un homme fera de son corps est transcendant...
PRESENTATION DE LA "PHENOMENOLOGIE DE LA PERCEPTION" DE MERLEAU-PONTY Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) est le représentant, avec Sartre et Levinas, d'une phénoménologie française qui a su s'approprier de manière originale la volonté de Husserl de décrire les expériences et les opérations fondamentales de la conscience. Intégrant à l'inspiration phénoménologique les résultats des sciences de son temps, Merleau-Ponty construit son discours en réfutant les thèses qui lui semblent désormais...
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L'idée de finalité doit-elle demeurer étrangère aux sciences biologiques ?
L'idée de finalité doit-elle demeurer étrangère aux sciences biologiques ? A. — On sait que les savants formés aux méthodes des sciences positives écartent volontiers l'idée de finalité comme anti-scientifique. Postulat mécaniste et principe fondamental de la science expérimentale : recherche des conditions, du comment des phénomènes, non du pourquoi. Mot de Bacon : « Les causes finales, comme les vierges qui se consacrent à Dieu, sont belles, mais stériles. » Elles sont : a) belles, c'est-à-dir...
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L'idée de finalité doit-elle demeurer étrangère aux sciences biologiques ?
L'idée de finalité doit-elle demeurer étrangère aux sciences biologiques? A. — On sait que les savants formés aux méthodes des sciences positives écartent volontiers l'idée d e finalité comme antiscientifique. Postulat mécaniste et principe fondamental de la science expérimentale : recherche des conditions, du comment des phénomènes, non du pourquoi. Mot de Bacon : "Les causes finales, comme les vierges qui se consacrent à Dieu, sont belles, mais stériles." Elles sont : a) belles, c'est-à-dire u...
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Le biologiste peut-il expliquer les phénomènes de la vie uniquement par les causes ou doit-il recourir à des fins ?
Termes du sujet: BIOLOGIE (n. f.) Terme créé par LAMARCK et TREVIRANUS au début du XIXe siècle et désignant la science des phénomènes vitaux, qui considère unitairement les règnes animal et végétal. JACOB distingue la biologie intégriste (ou évolutionniste) qui explique le vivant à la fois par ses structures moléculaires, et par son appartenance à un système englobant toute la terre, de la biologie réductionniste pour laquelle l'organisme est un système, dont l'explication relève des seules prop...
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La vie morale est-elle liée à la vie biologique ?
Sujet : La vie morale est-elle liée à la vie biologique ? [L'homme est le fruit d'une longue évolution biologique. Qu'il soit intelligent et pensant ne veut pas dire qu'il ne dépende plus de ses instincts. Respecter ces derniers est le fondement de toute morale positive.] L'homme n'est pas un pur esprit; il a un corps L'homme se situe au sommet de la pyramide de l'évolution. Cela ne signifie pas qu'il se soit totalement affranchi de son animalité. Il ne peut pas ignorer le fait qu'il a un corp...
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Le sentiment amoureux n'est-il que l'expression de ma nature biologique
En recourant au mythe pour figurer, plus qu'expliquer, les racines métaphysiques de l'amour, Platon, par exemple, exprime à quel point le désir révèle à celui qui désire ses manques constitutifs. Mais, en même temps, l'érotisme marque le refus humain de réduire l'activité biologique de reproduction à sa pure naturalité. Par le désir amoureux, l'espèce humaine manifeste à nouveau son inaptitude à être satisfaite d'elle-même. L'amoureux, en cherchant sa «moitié», vise certes à combler un manque, m...
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l'idée de finalité doit-elle demeurer étrangère aux sciences biologiques ?
A. — On sait que les savants formés aux méthodes des sciences positives écartent volontiers l'idée de finalité comme anti-scientifique. Postulat mécaniste et principe fondamental de la science expérimentale : recherche des conditions, du comment des phénomènes, non du pourquoi. Mot de Bacon : "Les causes finales, comme les vierges qui se consacrent à Dieu, sont belles, mais stériles." Elles sont : a) belles, c'est-à-dire un produit séduisant de l'imagination : b) stériles : elles n'ont jamais se...
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Peut-on réduire le biologique au physico-chimique ?
Termes du sujet: VIVANT: L'être vivant est un organisme. Il n'est pas constitué d'une juxtaposition de parties ajoutées les unes aux autres. Ces parties forment un tout car elles sont interdépendantes (le fonctionnement d'une partie est tributaire de celui des autres) et paraissent toutes participer à une fin commune : le maintien de l'être vivant en vie. Parce qu'il est un organisme, l'être vivant est un organisme. Tout être vivant est un individu au sens où il forme une unité distincte, ne res...
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Exposé en Biologie Thème : Les Abeilles
Exposé en Biologie Thème : Les Abeilles Membres du groupe 1. Gnama Oularé 2. Safiatoulaye Diallo 3. Safiatou Barry 4. Safiatou Kéïta 5. Marie Hélène Condé 6. Kadiatou Yaya Diallo Groupe Scolaire Saint André Classe : 11ème SE Prof Chargé du Cours : Mr Ibrahima Camara Titre : Les Abeilles : Sentinelles de l'écosystème Introduction : Présentation générale du sujet : les abeilles, insectes pollinisateurs cruciaux pour la biodiversité et l'agriculture. Importance de co...
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La biologie peut-elle s'appliquer à l'étude du vivant ?
L'être vivant est un organisme. Il n'est pas constitué d'une juxtaposition de parties ajoutées les unes aux autres. Ces parties forment un tout car elles sont interdépendantes (le fonctionnement d'une partie est tributaire de celui des autres) et paraissent toutes participer à une fin commune : le maintien de l'être vivant en vie. Parce qu'il est un organisme, l'être vivant est un organisme. Tout être vivant est un individu au sens où il forme une unité distincte, ne ressemblant exactement à auc...
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La biologie peut-elle expliquer la conscience ?
1992 Gerald Edelman La biologie pe t-elle expliquer la con cience? cm:z, La conscience et la pensée sont étroitement liées au fonctionnement du cerveau. 48 La conscience et la pensée sont indépendantes du corps. Elle relèvent de l'esprit.
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Présentation « Le vivant »
Demande d'échange de corrigé de Dupont Edouard ([email protected]). Sujet déposé : Présentation « Le vivant » - La spécificité du vivant : Le vivant peut être défini comme ce qui possède la propriété d'être en vie. Par conséquent, pour définir le vivant il semble qu'il faille définir ce qu'est la vie. Mais s'il semble facile de reconnaître la présence de la vie dans un organisme vivant, il est plus difficile de déterminer ce qui fait qu'un organisme est vivant. Le fait d'être vivant est aisément...
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BIOLOGIE PHYSIOPATHOLOGIE HUMAINE
BIOLOGIE PHYSIOPATHOLOGIE HUMAINE THÈME 1 : organisation et fonctionnement integré de l’etre humain CHAPITRE 1: organisation de l’être humain l’être humain est un organisme capable de se déplacer, se reproduire et d’échanger des info.Ces fonction son assurées grâce aux différents appareil et système qui son eux même constitué d’organe DEFINITION -Système : Ensemble de structure semblable délimitée dans l’organisme pour assuré une fonction specifique ( exemple système nerveux ,systeme...
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Merleau-Ponty
PRESENTATION DE MERLEAU-PONTY LA "PHENOMENOLOGIE DE LA PERCEPTION" DE Maurice Merleau-Ponty (1908-1961) est le représentant, avec Sartre et Levinas, d'une phénoménologie française qui a su s'approprier de manière originale la volonté de Husserl de décrire les expériences et les opérations fondamentales de la conscience. Intégrant à l'inspiration phénoménologique les résultats des sciences de son temps, Merleau-Ponty construit son discours en réfutant les thèses qui lui semblent désormais fa...
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L'homme n'est il qu'un animal civilisé ? ?
Incipit : V ouloir donner une définition de l'homme est pratique courante dans l'histoire de la philosophie, en partant du bipède sans plumes de Platon (rallié par Diogène) jusqu'à l'animal raisonnable des classiques, héritiers d'A ristote. Mais progres sivement, la question de la définition correcte s e réduit à n'être qu'exemple de logique et perd de sa teneur ontologique essentielle, ou essentialis te. A ujourd'hui, tenter une définition de l'homme, individu ou genre, tend à s e faire s ur le...
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Peut-on parler des « enseignements de l'histoire » exactement comme on parle des enseignements de la physique ou de la biologie ? (Pistes de réflexion)
La question semble appeler une réponse négative, et cependant c'est par l'affirmative qu'il est préférable de répondre. En effet, quand on parle des « enseignements de l'histoire », on veut parler des leçons pour la conduite de la vie. Or, elle ne donne aucune leçon, aucune directive, n'impose aucune fin. Elle est donc du même ordre que la physique ou la biologie : une science positive et non une science normative. Vous pouvez donc faire remarquer en commençant que l'histoire ne nous donne pas d...
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Notes de cours: La connaissance du vivant
1 approche générale • Les êtres vivants sont des êtres organisés qui se reproduisent. En outre chacune des organisations spécifiques qu'ils constituent, chaque espèce, s'inscrit dans une évolution, une série de transformations, de différenciations et de complexifications depuis l'apparition de la vie. • La biologie peut s'employer à expliquer le fonctionnement de ces diverses organisations. Mais si l'explication du fonctionnement de l'être vivant réside dans son organisation, l'explication d...
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DESCARTES: Les animaux sont comme des machines.
Je sais bien que les bêtes font beaucoup de choses mieux que nous, mais je ne m'en étonne pas ; car cela même sert à prouver qu'elles agissent naturellement et par ressorts, ainsi qu'une horloge, laquelle montre bien mieux l'heure qu'il est que notre jugement ne nous l'enseigne. Et sans doute que, lorsque les hirondelles viennent au printemps, elles agissent en cela comme des horloges. Tout ce que font les mouches à miel est de même nature et l'ordre que tiennent les grues en volant, et cel...
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AUTRUI (cours de philosophie)
Autrui, c'est à la fois l'autre et les autres, mais c'est toujours en même temps mon semblable et un être qui n'est pas moi. Le problème d'autrui est celui de la reconnaissance d'une essence commune à travers des différences. I. L'HOMME - A - L'homme et sa nature : le moi biologique. On peut parler de «la nature de l'homme» en un sens restreint pour désigner l'homme en tant qu'il est un être vivant pris dans la nature et sujet à ses lois. Un même fond naturel, constitué par les tendances animale...
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ÉVOLUTION - ÉVOLUTIONISME
L'évolution désigne le changement intervenant dans une chose qui reste identique, mais la chose n'est cependant pas la même entre le début du changement et la fin. Logiquement, l'expression est difficilement compréhensible puisqu'elle viole le principe d'identité. On dira d'une personne qui change tout en demeurant la même, qu'elle évolue. L'évolutionisme (XVIII s.) est une doctrine biologique exprimant le passage des espèces les unes dans les autres (l'homme descend du singe...). Tout comme le...
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La loi morale et la loi physique ?
La loi morale et la loi physique sont opposées traditionnellement pour exprimer la différence entre l'obligation et la nécessité. La nécessité exclut la liberté, l'obligation la requiert. Nous avons eu ci-dessus l'occasion de comparer obligation et nécessité en comparant les sociétés humaines aux sociétés animales. Dans celles-ci règne la nécessité de la loi biologique, dans la mesure où l'on peut considérer la société animale comme un organisme dont les individus sont les fonctions. De ce point...
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Charles Bonnet
Charles Bonnet 1720-1793 Naturaliste et philosophe suisse, né à Genève. Il publie, en 1745, un Traité d'insectologie, en 1754, De l'usage des Feuilles. La fatigue du travail au microscope des méditations d'ordre plus général : en 1762, il publie ses Considérations sur les corps organisés ; en 1764, sa Contemplation de la Nature ; en 1754, un Essai de psychologie, et en 1759, un Essai analytique sur les facultés de l'âme. Son œuvre est celle d'un biologiste qui a médité le finalisme de Malebranch...
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Sciences & Techniques: Horloge biologique : la science défie la vieillesse
Sciences & Techniques: Horloge biologique : la science défie la vieillesse Le projet français Chronos s'intéresse aux gènes pour mieux combattre les effets du vieillissement. La connaissance des mécanismes de celle-ci progresse, des voies de traitement s'ébauchent... La science renoue avec sa part de rêve en nous proposant de vivre mieux tout en restant jeune... Vivre le plus longtemps possible tout en restant jeune, beau et en bonne santé : tel est le programme des chercheurs pour les années...
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Faut-il renoncer à connaître le vivant ?
La biologie, qui s'occupe de la connaissance du vivant, occupe une place à part parmi les sciences ; en effet, elle n'a obtenu que tardivement le statut de science expérimentale et, de nos jours encore, elle est souvent assimilée à une simple branche de la chimie, le vivant menaçant d'être réduit à de simples réactions physicochimiques. Le vivant ne peut-il donc se différencier de l'inerte ? Existe-t-il une spécificité du vivant qui justifie la revendication de la biologie comme science à part e...