24 résultats pour "mauvaise"
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SARTRE : l'inconscient n'est que la mauvaise foi chosifiée
SARTRE : l'inconscient n'est que la mauvaise foi chosifiée VOCABULAIRE SARTRIEN: Cogito, conscience : pour Sartre, aucune philosophie ne peut éviter de partir du cogito (« Je pense, donc je suis », Descartes, Méditations métaphysiques, II). Mais Sartre sous-tend le cogito réflexif cartésien (la conscience de soi réfléchie) par un cogito pré-réflexif : une conscience non thétique (irréfléchie) de soi engagée dans toute conscience d'un donné. En outre, le cogito cartésien est modifié par Sartre da...
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SARTRE : l'inconscient n'est que la mauvaise foi chosifiée
SARTRE : l'inconscient n'est que la mauvaise foi chosifiée VOCABULAIRE SARTRIEN: Cogito, conscience : pour Sartre, aucune philosophie ne peut éviter de partir du cogito (« Je pense, donc je suis », Descartes, Méditations métaphysiques, II). Mais Sartre soustend le cogito réflexif cartésien (la conscience de soi réfléchie) par un cogito pré-réflexif : une conscience non thétique (irréfléchie) de soi engagée dans toute conscience d'un donné. En outre, le cogito cartésien est modifié par Sartre dan...
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La nature est-elle mauvaise ?
La nature est-elle mauvaise ? Analyse du sujet : Le sujet prend la forme d'une question fermée : il s'agira donc d'y répondre par « oui » ou « non », avec toutes les nuances qui s'imposent, au terme d'une argumentation documentée. Nous proposons l'esquisse suivante de la notion de nature. Notez [et ceci est une indication méthodologique] que les différentes caractérisations peuvent entrer en contradiction, ce qui permettra une problématisation : La notion de nature s'oppose premièrement à la not...
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Qu'est ce qu'une mauvaise loi ?
La loi est une règle établie par une autorité souveraine et qui vise à régir les rapports entre les membres d'une société. En effet, si les hommes pouvaient vivre naturellement les uns avec les autres sans conflits, il n'y aurait pas besoin de lois. Comme le dit Rousseau, l'homme en société "fait souvent de qui déplaît à autrui". Dès lors les lois sont nécessaires pour pacifier la société. Mais qu'est ce qu'une mauvaise loi? En fait, cette question semble plutôt devoir être posée en fonction de...
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La mauvaise conscience est-elle chose bienfaisante ?
La mauvaise conscience est un hommage à la conscience authentique Elle nous rappelle à l'ordre de la raison contre les passions. Chez Jean-Jacques Rousseau, c'est contre la loi du corps - la nature agissant par les instincts - que s'élève la voix de l'âme (Émile, livre IV). Aussi se délivrer des illusions du corps c'est redonner force à la voix de la conscience : « La conscience est la voix de l'âme, les passions sont la voix du corps. Est-il étonnant que deux langages se contredisent? » D'où l'...
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Y a t il de bonnes et de mauvaises passions ?
DIRECTIONS DE RECHERCHE • Distinguer les différentes acceptions du terme « passion ». • A quoi peut-on référer les termes « bons » et « mauvais » ? « Bonnes » et « mauvaises » par rapport à quoi ? En quoi ? • Méditez les deux textes suivants : « Au reste, le vrai usage de notre raison pour la conduite de la vie ne consiste qu'à examiner et considérer sans passion la valeur de toutes les perfections, tant du corps que de l'esprit, qui peuvent être acquises par notre conduite, afin qu'étant ordina...
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Y a-t-il de bonnes ou de mauvaises opinions ?
Analyse du sujet : - - - - - On considère traditionnellement que l'opinion n'est pas une connaissance certaine, qu'elle ne porte pas sur la vérité de ce qui est, mais sur ce qui semble être et qu'ainsi elle ne parvient pas à l'essence intime des objets sur lesquels elle porte. On a alors tendance à affirmer que l'opinion n'est pas fiable, qu'elle est un guide trompeur qui nous mène par les sens sur des chemins douteux. On assure généralement que l'opinion nous induit en erreur et qu'il faut...
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Quelle origine assignez-vous à la mauvaise conscience ?
Analyse du sujet : Lorsque l'on évoque la « mauvaise conscience », on parle de la conscience dans son sens moral. La mauvaise conscience est état de celui qui doute de la légitimité de ses actes ou éprouve du remords. La conscience morale implique donc la présence, en chacun, de valeurs qui l'aident à définir ce qui lui paraît bien ou mal. Elle débouche donc sur une question relative à l'origine de ces valeurs : me sont-elles fournies par une autorité extérieure (la famille, la société, ou Dieu...
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L’idée de Mauvaise passe
NOTE D’INTENTION L’idée de Mauvaise passe ne m’est pas venue d’un coup. Tout d’abord j’ai essayé de réfléchir à un sujet qui reflète la société actuelle et le monde d’aujourd’hui. J’ai essayé de voir les choses à mon échelle en observant les gens de mon entourage et même en regardant mon chemin à moi. C’est alors que j’ai remarqué qu’il y avait deux choses qui revenaient plusieurs fois. La première c’est l’argent. Le fait qu’être jeune implique aussi le fait de vouloir à tout prix faire com...
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Doit-on distinguer de bonnes et de mauvaises passions ?
DIRECTIONS DE RECHERCHE • Distinguer les différentes acceptions du terme « passion ». • A quoi peut-on référer les termes « bons » et « mauvais » ? « Bonnes » et « mauvaises » par rapport à quoi ? En quoi ? • Méditez les deux textes suivants : « Au reste, le vrai usage de notre raison pour la conduite de la vie ne consiste qu'à examiner et considérer sans passion la valeur de toutes les perfections, tant du corps que de l'esprit, qui peuvent être acquises par notre conduite, afin qu'étant ordina...
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Que pensez-vous de cette affirmation : « La pitié chez l'homme qui vit sous la conduite de la raison est par elle-même mauvaise et inutile. » ?
Que pensez-vous de cette affirmation : « La pitié chez l'homme qui vit sous la conduite de la raison est par elle-même mauvaise et inutile. » Introduction. — Nous jugeons sévèrement l'homme qui reste insensible aux malheurs et aux souffrances d'autrui. Aussi sommes-nous étonnés qu'on ait pu dire : « La pitié chez l'homme qui vit selon la raison... ». Mais peut-être qu'un examen plus attentif nous permettra de donner à cette affirmation un sens acceptable. I. — ÉTUDE DE L'AFFIRMATION A. Observat...
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Sujet : « C'est plus fort que moi... » Que signifie cette formule ?
Sujet : « C'est plus fort que moi… » Que signifie cette formule ? Qui n'a jamais dit « je n'ai pas fait exprès, c'était plus fort que moi ! » ? L'expression retentit comme une formule récurrente, une excuse. Peut-être voulons nous nous cacher derrière une sorte de d'excuse pour braver la honte du geste. Mais peut-être est-ce seulement « plus fort que moi ». En effet, « plus fort » signifie déjà une sorte de limite indépassable, une puissance trop immense pour être surpassée et contrôlée. Notre d...
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HOBBES
Je remarque les maladies de la République qui procèdent du poison des doctrines séditieuses. L'une de ces doctrines, c'est que chaque particulier est juge des actions bonnes ou mauvaises. C'est vrai dans l'état de pure nature, ou n'existent pas de lois civiles ; c'est vrai aussi sous un gouvernement civil, dans les cas qui ne sont pas réglés par la loi. Mais dans les autres cas, il est évident que c'est la loi civile qui est la mesure des actions bonnes ou mauvaises ; et que c'est le législateur...
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Nietzsche
Je considère la mauvaise conscience comme le profond état morbide où l'homme devait tomber sous l'influence de cette transformation, la plus radicale qu'il ait jamais subie – de cette transformation qui se produisit lorsqu'il se trouva définitive- ment enchaîné dans le carcan de la société et de la paix. (... ) Tous les instincts qui n'ont pas de débouché, que quelque force répressive empêche d'éclater au-dehors, retourne en dedans – c'est là ce que j'appelle l'intériorisation de l'homme : de ce...
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Nietzsche: La nature du travail philosophique
Il me semble de plus en plus que le philosophe, étant nécessairement l'homme de demain ou d'après-demain, s'est de tout temps trouvé en contradiction avec le présent; il a toujours eu pour ennemi l'idéal du jour. Tous ces extraordinaires pionniers de l'humanité qu'on appelle des philosophes et qui eux-mêmes ont rarement cru être les amis de la sagesse mais plutôt des fous déplaisants et de dangereuses énigmes, se sont toujours assigné une tâche dure, involontaire, inéluctable, mais dont ils ont...
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La mauvaise conscience est-elle chose bienfaisante ?
VOCABULAIRE: MAUVAIS: 1) Opposé à bon. 2) Mauvaise conscience: état de celui qui doute de la légitimité de ses actes ou éprouve du remords. CHOSE (n. f.) 1. — Désigne la réalité (res en latin : chose) en gén. ; cf. DESCARTES : « chose pensante » (âme), « chose étendue » (matière). 2. — Désigne la réalité, envisagée comme déterminée et statique, existant hors de la représentation ; en ce sens, KANT utilise l'expression « chose en soi ». 3. — (Par ext.) À partir du sens 2, désigne la réalité inani...
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Inconscient et Interprétation ?
Certains psychanalystes et philosophes critiquent ce concept d'inconscient. J.-P. Sartre soutient qu'il n'y a pas d'inconscient. Les souvenirs sont refoulés, écartés mais existent à l'état virtuel dans la conscience. Selon lui il est absurde de parler d'une conscience inconsciente. Nous retrouvons là un écho de la pensée cartésienne : toute l'essence du psychisme est d'être consciente. Il ne saurait donc y avoir d'inconscient. Sartre est en outre partisan de la psychanalyse. Il cherche donc à él...
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La liberté chez Sartre
* D'inspiration cartésienne, mais en y supprimant l'Absolu (Dieu), la conception sartrienne rend relatif, ce qui était absolu chez Descartes: la liberté humaine. * Nécessité pour comprendre Sartre de passer par la subjectivité. Qu'est-ce qu'être un sujet? C'est ne pas pouvoir coïncider avec une essence. La liberté est absence d'essence. Ce qui s'identifie totalement avec son essence, avec soi-même, c'est un objet et non un sujet. La mauvaise foi ou l'esprit de sérieux est cet effort pour être qu...
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Alain
Je dis que le respect de la vie d'autrui n'est pas un devoir social, attendu qu'il existe indépendamment de l'existence ou de la nature d'une société quelconque. Quand un homme tomberait de la lune, vous n'auriez pas le droit de le torturer ni de le tuer. De même pour le vol ; je m'interdis de voler qui que ce soit ; j'ai la ferme volonté d'être juste et charitable envers mes semblables, et non pas seulement envers mes concitoyens ; et je rougirais d'avoir augmenté injustement la note à payer, q...
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Fiche de lecture : Manuel d'Epictète ?
Fiche de lecture : Manuel d'Epictète Ce livre se présente comme un guide, une série de principes aidant à devenir un philosophe digne de ce nom, au sens d'Epictète, c'est-à-dire un stoïcien. Son disciple Arrien a donc répertorié tous les principes de son maître dans le Manuel d'Epictète à l'attention de tous ceux qui essaieraient de suivre la voie philosophique du stoïcisme dont Epictète est le principal représentant. Ce livre ne se présente pas comme un ouvrage réellement théorique, l'a...
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KANT: Prenons un acte volontaire, par exemple un mensonge pernicieux
Prenons un acte volontaire, par exemple un mensonge pernicieux, par lequel un homme a introduit un certain désordre dans la société, dont on recherche d'abord les raisons déterminantes qui lui ont donné naissance, pour juger ensuite comment il peut lui être imputé avec toutes ses conséquences. Sous le premier point de vue, on pénètre le caractère empirique de cet homme jusque dans ses sources que l'on recherche dans la mauvaise éducation, dans les mauvaises fréquentations, en partie aussi...
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Pourquoi faire l'éloge du travail ?
Le travail est devenu une des préoccupations les plus importantes dans notre société et l'intégration sociale dépend hautement de la fonction occupée. Il n'en a pas toujours été ainsi et le changement de valeur associée au travail nous servira dans le présent travail de point de départ. Le travail se définit généralement comme une activité orientée vers une fin autre qu'elle même à la différence du jeu qui comporte sa finalité en lui-même. On considère le travail comme ce qui est utile socialeme...
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Jean-Paul SARTRE: l'homme est angoisse
VOCABULAIRE SARTRIEN: Cogito, conscience : pour Sartre, aucune philosophie ne peut éviter de partir du cogito (« Je pense, donc je suis », Descartes, Méditations métaphysiques, II). Mais Sartre sous-tend le cogito réflexif cartésien (la conscience de soi réfléchie) par un cogito pré-réflexif : une conscience non thétique (irréfléchie) de soi engagée dans toute conscience d'un donné. En outre, le cogito cartésien est modifié par Sartre dans le sens de l'intentionnalité : il n'est absolument pa...
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Jean-Paul SARTRE: EXISTENCE ET ANGOISSE
VOCABULAIRE SARTRIEN: Cogito, conscience : pour Sartre, aucune philosophie ne peut éviter de partir du cogito (« Je pense, donc je suis », Descartes, Méditations métaphysiques, II). Mais Sartre sous-tend le cogito réflexif cartésien (la conscience de soi réfléchie) par un cogito pré-réflexif : une conscience non thétique (irréfléchie) de soi engagée dans toute conscience d'un donné. En outre, le cogito cartésien est modifié par Sartre dans le sens de l'intentionnalité : il n'est absolument pas s...