explication du texte d’Emile Durkheim extrait de l’ouvrage « Le problème religieux et la dualité de la nature humaine »

« Nous allons faire l’explication du texte d’Emile Durkheim extrait de l’ouvrage « Le problème religieux et la dualité de la nature humaine ».

Ce texte nous fait réfléchir à la croyance des peuples en l’existence des Dieux. Durkheim se demande si l’homme est condamné à croire en les Dieux pour survivre.

Nous nous poserons la question de savoir pourquoi il est important pour un peuple de croire en ses Dieux et en quoi les idéaux collectifs permettent la survie d’une société.

A cette question s’ajoute la thèse de l’auteur qui est qu’un peuple sans religion meurt. Il ne s’agit pas de dénoncer la valeur de la religion, bien au contraire puisque Durkheim pense que les Dieux ont un rôle primordial dans la vie sociale de l’Homme même si pour lui « les Dieux ne sont que des idéaux collectifs personnifiés ».

Nous tenterons de proposer des éléments de réponses en rapport avec le thème principal du texte soit : l’Homme et son rapport à la religion. L’argumentation de Durkheim peut-être découpée en deux parties : Dans un premier temps ( du début jusqu’à « facteur sociologique » ) nous étudierons l’impact de la perte de la foi religieuse sur la société.

Puis ( de « pour que les Dieux » jusqu’à la fin ), nous verrons l’importance du collectif sur la foi. Lorsque Durkheim déclare que « les choses se passent bien plus simplement et bien plus naturellement », cela signifie que c’est le comportement du peuple qui entraîne l’abandon de la religion par la perte de la symbolique collective que représente les Dieux et que cela n’a rien à voir avec le divin.

Si le peuple n’est pas soudé, cela entraîne la mort des Dieux qui entraîneront ensuite la mort du peuple, « il est inévitable que les peuples meurent quand les dieux meurent ».

Durkheim explique que cela est causé par la perte du sens collectif par le peuple. Le facteurs sociologique de la personnalisation de la religion au travers des Dieux montre que si le peuple.... »