15 résultats pour "vices"
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« Rendre la vertu aimable, le vice odieux, le ridicule saillant. Voilà le projet de tout homme qui prend la plume, le pinceau et le ciseau. » En vous aidant en particulier de vos souvenirs personnels de lecteur vous direz dans quelle mesure vous partagez
« Rendre la vertu aimable, le vice odieux, le ridicule saillant. Voilà le projet de tout homme qui prend la plume, le pinceau et le ciseau. » En vous aidant en particulier de vos souvenirs personnels de lecteur vous direz dans quelle mesure vous partagez le point de vue de Diderot sur le but de l'œuvre d'art. Introduction. 1. a) Problème de la vertu et du vice dans l'art : l'impératif moral et l'impératif esthétique présentés successivement par Diderot dans deux phrases contradictoires. b) Dider...
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Faute, défaut, vice et vertu
Expliquez au moyen d'exemples ce que vous entendez par les termes « faute », « défaut », « vice » et corrélativement par le terme « vertu ». INTRODUCTION. — On parle beaucoup de la nécessité d'un redressement moral de la France. Ce travail exige sans nul doute à la base une connaissance plus nette et plus vécue des notions morales. Il faut que faute morale, défaut, vice, vertu, ne soient plus de simples mots, trop couvent vides de sens précis pour ceux qui les prononcent, mais qu'ils expriment p...
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Les passions: entre vices et vertus ?
Si toute la philosophie, qui est une méditation de la vie, se propose de distinguer ce que l'homme doit poursuivre et ce qu'il doit craindre, donc de reconnaître les biens et les maux, on ne peut guère concevoir une analyse des passions à part d'une théorie des vertus. Il n'y a pas de psychologie sans quelque idée de l'homme et de ses fins; c'est sa manière d'être positive. La passion, tout simplement, c'est Phèdre. Si la littérature ne s'y est pas trompée, les philosophes n'ont pas été aussi un...
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KANT
"Avant l'éveil de la raison, il n'y avait ni prescription ni interdiction, par conséquent encore aucune infraction, mais, lorsqu'elle commença d'exercer son action et, toute faible qu'elle était, à lutter corps à corps avec l'animalité dans toute sa force, c'est alors que durent apparaître des maux et, ce qui est pire, au stade de la raison cultivée, des vices qui étaient totalement étrangers à l'état d'ignorance et, par conséquent, d'innocence. Le premier pas hors de cet état fut donc du point...
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Baruch SPINOZA
VOCABULAIRE SPINOZISTE Nécessité: lien logique entre deux essences ou entre une essence et son existence, lorsque l’une ne peut être rationnellement conçue sans l’autre. Le déploiement existentiel des conséquences nécessaires est le déterminisme. Les lois de la Nature découlent nécessairement de l’essence de la substance. Vérité: c e n’est pas seulement l’accord de l’idée et de son objet extérieur: c’est aussi et surtout l’accord de cette idée avec elle-même, et l’évidence intérieure et immédiat...
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Dissertation Duras - Dissertation – Le ravissement de Lol V. Stein et Le Vice-Consul C’est très bien dans l’ensemble. Les fautes d’orthographe et les négligences, quel dommage… 15
Elfried Lanoire LSH L3 Dissertation – Le ravissement de Lol V. Stein et Le Vice-Consul C’est très bien dans l’ensemble. Les fautes d’orthographe et les négligences, quel dommage… 15 « Il faut se perdre ». Cette injonction qu’on trouve au début du Vice-consul pourrait bien être le principe de tout, dans ce roman comme dans Le Ravissement de Lol V. Stein. En effet, la perte est l’élément qui semble caractériser et se poser en principe structurant de l’œuvre de Duras. Dans les deux roma...
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On considère souvent le travail comme une malédiction et la paresse comme un vice: y a-t-il là une contradiction ?
Définition des termes du sujet: CONTRADICTION: (1) Fait de soutenir en même temps une chose et son contraire. (2) En logique, incompatibilité entre deux propositions qui s'excluent mutuellement (exemple : « il pleut » et « il ne pleut pas »). (3) Principe de non-contradiction (parfois appelé principe de contradiction) : en logique, principe selon lequel il est impossible que le même attribut appartienne et n'appartienne pas en même temps au même sujet. TRAVAIL: Du latin populaire tripalium, «mac...
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Hume: conscience et morale
La morale ne se fonde pas sur la raison La morale, qui guide notre conduite par la distinction du bien et du mal, ne repose pas sur l'exercice de la raison, mais sur un sens moral'. En effet, l'argumentation rationnelle ne peut décider de la valeur d'un acte ni motiver notre comportement : ce sont les sentiments de plaisir ou de douleur qui suscitent l'approbation de la vertu ou la condamnation du vice et qui constituent le ressort de nos actions. La morale s'enracine donc dans l'affectivité, el...
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KANT
"On pose la question de savoir si l'homme est par nature moralement bon ou mauvais. Il n'est ni l'un ni l'autre, car l'homme par nature n'est pas du tout un être moral ; il ne devient un être moral que lorsque sa raison s'élève jusqu'aux concepts du devoir et de la loi. On peut cependant dire qu'il contient en lui-même à l'origine des impulsions menant à tous les vices, car il possède des penchants et des instincts qui le poussent d'un côté, bien que la raison le pousse du côté opposé. Il ne peu...
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Kant: Nature et Raison
"On pose la question de savoir si l'homme est par nature moralement bon ou mauvais. Il n'est ni l'un ni l'autre, car l'homme par nature n'est pas du tout un être moral ; il ne devient un être moral que lorsque sa raison s'élève jusqu'aux concepts du devoir et de la loi. On peut cependant dire qu'il contient en lui-même à l'origine des impulsions menant à tous les vices, car il possède des penchants et des instincts qui le poussent d'un côté, bien que la raison le pousse du côté opposé. Il ne peu...
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Kant : nature humaine et morale
Thème 3950 Kant : nature humaine et morale On pose la question de savoir si l'homme est par nature moralement bon ou mauvais. Il n'est ni l'un ni l'autre, car l'homme par nature n'est pas du tout un être moral ; il ne devient un être moral que lorsque sa raison s'élève jusqu'aux concepts du devoir et de la loi. On peut cependant dire qu'il contient en lui-même à l'origine des impulsions menant à tous les vices, car il possède des penchants et des instincts qui le poussent d'un côté, bien que la...
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ARISTOTE : LA VERTU COMME JUSTE MILIEU (Éthique à Nicomaque, II, 6)
ARISTOTE : LA VERTU COMME JUSTE MILIEU (Éthique à Nicomaque, II, 6) PRESENTATION DE L' "ETHIQUE A NICOMAQUE" DE ARISTOTE Au regard de la tripartition du savoir classique dans l'Antiquité (logique, physique et éthique), l'Éthique à Nicomaque constitue l'oeuvre la plus aboutie de la partie éthique. En délimitant le champ des affaires humaines par exclusion de la nature et du divin, elle constitue le premier effort pour penser l'action humaine de manière immanente et autonome et lui reconnaî...
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Aristote
La sagess e pratique ou prudence c onstitue selon A ristote le principe qui permet d'accéder à la "vérité pratique". Son exercice consiste en effet à faire apparaître les c hoses telles qu'elles sont, en trouvant l'attitude qui convient à une situation donnée. La conception aristotélic ienne de l'homme prudent s'oppose ainsi au relativisme de l' "homme mesure". Si celui-ci constitue bien une mes ure (norme), ce n'est en aucun cas au sens où, c omme le soutient P rotagoras, ce serait à lui de fix...
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Platon
Un homme est juste de la même manière que l'État est juste. – C'est une conclusion qui est aussi de toute nécessité. – Mais nous n'avons pas oublié que l'État est juste par le fait que chacun des trois ordres qui le composent remplit sa fonction. (...) Après cela, il nous reste, je crois, à examiner l'injustice. – Évidemment. – N'est-elle pas nécessairement un désaccord de ces trois parties, une ingérence indiscrète, un empiétement des unes sur les fonctions des autres, et la révolte de certaine...
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Baruch SPINOZA
§ 1. Les philosophes conçoivent les affects qui se livrent bataille en nous comme des vices dans lesquels les hommes tombent par leur faute; c'est pourquoi ils ont accoutumé de les tourner en dérision, de les déplorer, de les réprimander, ou, quand ils veulent paraître plus vertueux, de les détester. Ils croient ainsi agir divinement et s'élever au faîte de la sagesse, prodiguant toute sorte de louanges à une nature humaine qui n'existe nulle part, et flétrissant par leurs discours celle qui exi...