8 résultats pour "mépriser"
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Doit-on mépriser l'argent ?
Le roi Midas, avare de son argent et soucieux d'en acquérir toujours davantage, demanda à Dionysos de réaliser son souhait : il dû comprendre bien rapidement que son entreprise était vaine, puisqu'il fut condamné à s'abstenir de manger et de boire, tout ce qu'il touchait se transformant en or. De ce fait, l'argent semble un bien misérable pour celui qui identifie chez autrui sa seule volonté de le posséder dans la seule joie de la possession. Pour autant, le mépris de l'argent est-il synonyme de...
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Faut-il mépriser l'apparence ?
Définition des termes du sujet: Faut-il ?: est une question qui peut se poser à deux niveaux : • la nécessité (physique / matérielle / naturelle / économique / psychologique / sociale), c'est-à-dire la contrainte des choses. • l'obligation morale, le devoir. Doit-on ? Apparence: Aspect extérieur d'une chose; façon dont elle se manifeste à nous. Aspect trompeur des choses, par opposition à ce qu'elles sont réellement. La forme: Elle est simple : « Faut-il faire ceci ? exige que soient produites l...
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Faut-il mépriser l'apparence?
À en juger par des expressions populaires bien connues : « L'habit ne fait pas le moine », « Tout ce qui brille n'est pas d'or », l'apparence serait trompeuse, déceptive et source d'un mépris justifié. Se demander s'il faut mépriser l'apparence revient donc à définir son mode opératoire : l'apparence est-elle trompeuse, masque-t-elle la réalité ? C'est à partir de l'analyse de l'apparence chez Platon que nous allons d'abord voir comment celle-ci possède un statut ambivalent, tantôt masquant l'êt...
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Le corps est-il méprisable ?
Le mépris est cette attitude de défiance à l'égard de quelque chose que l'on tient pour peu de prix, pour peu de valeur. Dire que le corps est méprisable c'est donc l'entrevoir comme quelque chose de peu estimable, comme un fardeau. Dans une première partie, vous pouvez évoquer la célèbre thèse de Platon qui condamne le corps comme étant le " tombeau de l'âme " puisqu'il est un obstacle à l'élévation de cette dernière vers les Intelligibles. Platon verra même la mort comme une libération de l'âm...
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Faut-il mépriser la technique ?
C'est une question qui repose en partie sur le préjugé que la technique ne serait qu'une activité subalterne de l'homme, qui ne nécessiterait pas d'utiliser des facultés humaines élevées, elle serait aliénante pour l'homme, polluante. Mais cette question suppose que ce mépris de la technique pourrait apporter quelque chose à l'humanité, que ce mépris serait un devoir afin que l'humanité progresse par exemple, qu'elle soit plus heureuse, or n'est-ce pas l'inverse que l'on devrait penser, que la t...
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Faut-il mépriser l'apparence ?
À en juger par des expressions populaires bien connues : « L'habit ne fait pas le moine », « Tout ce qui brille n'est pas d'or », l'apparence serait trompeuse, déceptive et source d'un mépris justifié. Se demander s'il faut mépriser l'apparence revient donc à définir son mode opératoire : l'apparence est-elle trompeuse, masque-t-elle la réalité ? C'est à partir de l'analyse de l'apparence chez Platon que nous allons d'abord voir comment celle-ci possède un statut ambivalent, tantôt masquant l'êt...
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Aristote
ARISTOTE : LA FINALITÉ RÈGNE DANS LA NATURE Comment expliquer l'organisation, le fonctionnement et l'évolution du vivant ? On peut tenter de le faire en recourant au finalisme, c'est-à-dire en considérant que les formes du vivant sont des réalisations d'anticipations préalables, tout comme la maison est la réalisation du plan de l'architecte, la cause finale de son action. Telle est la position d Aristote, qui étendait la finalité à la nature toute entière. « Il ne faut donc pas céder à une répu...
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Kant: On ne flétrira pas leurs erreurs
Texte : « On ne flétrira pas leurs erreurs sous le nom d'absurdités, de jugements ineptes, etc., mais on supposera plutôt qu'il doit y avoir dans leurs opinions quelque chose de vrai, et on l'y cherchera ; en même temps aussi, on s'appliquera à découvrir l'apparence qui les trompe (le principe subjectif des raisons déterminantes de leurs jugements, qu'ils prennent par mégarde pour quelque chose d'objectif) et, en expliquant ainsi la possibilité de leurs erreurs, on saura garder encore un certain...