518 résultats pour "dissertations philo volonte"
- Hegel: L'État représente-t-il l'aboutissement historique de la vie en société ?
- Kant: Suffit-il d'être indépendant pour être libre ?
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Rousseau: liberté, société et droit
"Le seul qui fait sa volonté est celui qui n'a pas besoin pour la faire de mettre les bras d'un autre au bout des siens(1) : d'où il suit que le premier de tous les biens n'est pas l'autorité mais la liberté. L'homme vraiment libre ne veut que ce qu'il peut et fait ce qu'il lui plaît. (...) La société a fait l'homme plus faible, non seulement en lui ôtant le droit qu'il avait sur ses propres forces, mais surtout en les lui rendant insuffisantes. Voilà pourquoi ses désirs se multiplient avec sa f...
- « Vouloir » et « pouvoir » ?
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Le gouvernement pour le peuple engendre-t-il spontanément la liberté ?
Introduction : Le gouvernement est l'ensemble des institutions qui ont pour but de conduire l'Etat. Le gouvernement pour et par le peuple désigne la démocratie (étymologiquement le pouvoir du peuple). La liberté se laisse comprendre en son sens le plus général comme le pouvoir de faire ce que l'on veut et dans son acception spécifiquement politique, comme le fait d'être gouverné par des lois que l'on a soi-même choisi. Dans la mesure où le peuple ne peut vouloir servir que son intérêt, il s...
- KANT
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Epictète: Ce voleur, cet adultère
Quoi ! Ce voleur, cet adultère ne devraient pas être mis à mort ! — Ne parle pas ainsi, dis plutôt : "Cet homme qui est dans l'erreur et qui se trompe sur les sujets les plus importants, qui a perdu la vue, non point la vue capable de distinguer le blanc et le noir, mais la pensée qui distingue le bien du mal, ne devrait-il pas périr ?" Et si tu parles ainsi, tu verras combien tes paroles sont inhumaines ; c'est comme si tu disais : "Cet aveugle, ce sourd ne doit-il pas périr ?" S'il n'y a p...
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LOCKE: lois et bien général des hommes
Une loi, suivant sa véritable notion, n'est pas tant faite pour limiter, que pour faire agir un agent intelligent et libre conformément à ses propres intérêts : elle ne prescrit rien que par rapport au bien général de ceux qui y sont soumis. Peuvent-ils être plus heureux sans cette loi-là ? Dès lors cette sorte de loi s'évanouit d'elle-même, comme une chose inutile ; et ce qui nous conduit dans des précipices et dans des abîmes, mérite sans doute d'être rejeté. Quoi qu'il en soit, il est cert...
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KANT: la nature et les moyens
PRESENTATION DE "FONDEMENTS DE LA METAPHYSIQUE DES MOEURS" DE KANT Dans ce premier grand ouvrage consacré à la morale, Kant (1724-1804) se donne pour tâche « la recherche et l'établissement du principe suprême de la moralité » (Préface). Son objectif n'est pas seulement spéculatif mais surtout pratique : il est nécessaire de trouver le critère permettant à chacun d'apprécier clairement la valeur morale de ses actions, car la moralité est sujette à corruption, souvent confondue avec le calcu...
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Baruch SPINOZA
"Si dans une Cité les sujets ne prennent pas les armes parce qu'ils sont sous l'empire de la terreur, on doit dire, non que la paix y règne, mais plutôt que la guerre n'y règne pas. La paix en effet n'est pas la simple absence de guerre, elle est une vertu qui a son origine dans la force d'âme car l'obéissance est une volonté constante de faire ce qui, suivant le droit de la Cité, doit être fait. Une Cité [...] où la paix est un effet de l'inertie des sujets conduits comme un troupeau et formés...
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Jean-Paul SARTRE: motifs et mobiles
En fait, motifs et mobiles n'ont que le poids que mon projet, c'est-à-dire la libre production de la fin et de l'acte connu à réaliser, leur confère. Quand je délibère, les jeux sont faits. Et si je dois en venir à délibérer, c'est simplement parce qu'il entre dans mon projet originel de me rendre compte des mobiles par la délibération plutôt que par telle ou telle autre forme de découverte (par la passion, par exemple, ou tout simplement par l'action, qui révèle l'ensemble organisé des mo...
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Antiochus
Antiochus (c.130-68 BC) For most of his career the Greek philosopher Antiochus of Ascalon, a pupil of Philo of Larissa, was an orthodox ‘sceptical' Academic. He then changed his philosophy: some called him a Stoic, but he himself claimed to be returning to the Old Academy of Plato and his immediate successors. He took a generous view of his new home, urging that the Peripatetics and the Stoics were not new schools of thought but mere modifications of Platonism, and the philosophical position whi...
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Toutes les Leçons en philosophie - Tronc commun: cours rédigés et méthodologie
INTRODUCTION A LA PHILOSOPHIE I. Qu’est-ce que la philosophie ? E La question qu’est-ce que la philosophie est sans doute une des questions les plus redoutables que l’on puisse adresser à un philosophe ; au point qu’un célèbre professeur français Jules Lachelier disait qu’il était plus sage de répondre « je ne sais rien ». L’embarras dans lequel nous plonge une telle question est révélateur de la complexité d’une telle discipline. En effet, la philosophie se présente surtout comm...
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KANT
« Il arrive parfois sans doute qu'avec le plus scrupuleux examen de nous-mêmes nous ne trouvons absolument rien qui, en dehors du principe moral du devoir, ait pu être assez puissant pour nous pousser à telle ou telle bonne action et à tel grand sacrifice; mais de là on ne peut nullement conclure avec certitude que réellement ce ne soit point une secrète impulsion de l'amour-propre qui, sous le simple mirage de cette idée, ait été la vraie cause déterminante de la volonté; c'est que nous nous fl...
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LEIBNIZ: Libre(arbitre et indifférence
Etre indifférent, c'est n'être tenté ni par un côté ni par un autre, c'est risquer de mourir de faim et de soif, à l'image de l'âne de Buridan. Celui-ci meurt, en effet, parce qu'il n'a pas su si il fallait commencer par manger ou par boire. Autant dire que l'on ne saurait être réellement libre quand on est indifférent. D'ailleurs, c'est même impossible que d'être indifférent, la fable de l'âne de Buridan ne fait pas preuve et ne saurait représenter le paradigme de la détermination de notre volo...
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Aimer les autres n'est-ce pas en définitive s'aimer soi-même ?
Aimer les autres n'est-ce pas en définitive s'aimer soi-même ? INTRODUCTION. — Les philosophes ont souvent nourri de la défiance à l'endroit des réalités affectives. Seule la clarté des idées devrait retenir le penseur. Mais comment accepter une vision du monde qui négligerait systématiquement une valeur pressentie par tons, sur le plan moral et métaphysique aussi bien que psychologique : nous voulons parler de l'amour ? La philosophie moderne se penche de plus en plus sur ce problème --qu'...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
La satisfaction, le bonheur, comme l'appellent les hommes, n'est au propre et dans son essence rien que de négatif ; en elle, rien de positif. Il n'y a pas de satisfaction qui, d'elle-même et comme de son propre mouvement, vienne à nous ; il faut qu'elle soit la satisfaction d'un désir. Le désir, en effet, la privation, est la condition préliminaire de toute jouissance. Or, avec la satisfaction cesse le désir, et par conséquent la jouissance aussi. Donc la satisfaction, le contentement, ne saura...
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LES GRANDS COURANTS : LE MOYEN ÂGE, L’EPOQUE MODERNE ET L’EPOQUE CONTEMPORAINE
Grands Courants II UCAO-Licence II 2021-2022 Père Hippolyte YOMAFOU, scj. LES GRANDS COURANTS : LE MOYEN ÂGE, L’EPOQUE MODERNE ET L’EPOQUE CONTEMPORAINE AVANT-PROPOS Que la philosophie antique ait été conçue non seulement comme une théorie, mais comme un mode de vie, c'est ce que nous avons vu l’année dernière, avec l’unité grécoromaine. Vers le Ve siècle, cette unité gréco-romaine, ou méditerranéenne, est brisée en même temps que l’unité politique. Avec la destruction des grande...