7 résultats pour "danser"
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NIETZSCHE: «Celui qui est saoul du
jeu et qui n'a point, par de nouveaux besoins, de raison de
travailler, celui-là est pris parfois du désir d'un troisième état,
qui serait au jeu ce que planer est à danser, ce que danser est à
marcher...
Par–delà l'opposition entre travail et loisir. « Celui qui est saoul du jeu et qui n'a point, par de nouveaux besoins, de raison de travailler, celui-là est pris parfois du désir d'un troisième état, qui serait au jeu ce que planer est à danser, ce que danser est à marcher...» Nietzsche, Humain trop humain (1878). • Si l'on considère le travail comme aliénant (c'est-à-dire qu'il soumet l'homme à autre chose que soi-même), on peut être tenté de penser que c'est dans le loisir que l'homme va pouvo...
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Peut-on considérer la danse comme une philosophie ?
Analyse du sujet : Il s'agit avant tout de se poser la question de ce qu'est la danse, et de ce qu'est la philosophie. La danse est un mode d'expression de sentiments et d'émotions, à travers une histoire, racontée par des mouvements du corps. Dans le sens où elle fait appel aux émotions et à la fiction, elle est un art ; par ailleurs, elle fait référence au domaine de l'esthétique, puisqu'elle nécessite le regard du spectateur et la mise en jeu de ses sens afin de lui transmettre des émotions....
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DANSE: Sergueï Diaghilev
Administrateur russe de compagnies de ballets, fondateur des Ballets russes. Après des études de piano, de chant et de composition auprès de Rimski-Korsakov, il anime une revue d'art en Russie et organise des manifestations consacrées aux jeunes artistes russes. Il fonde la revue d'avant-garde Le Monde de l'art en 1899, puis crée en 1909 les Ballets russes, qu'il dirigera jusqu'à sa mort en 1929. Ses tournées en Europe et aux Etats-Unis révolutionnent le monde de la danse en Occident. De nombreu...
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Nietzsche: Travail, besoin et bonheur
Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre. Qu'est-ce à dire ? C'est l'habitude du travail en général qui se fait à présent sentir comme un besoin nouveau, adventice : il sera d'autant plus fort que l'on est plus fort habitué à travailler, peut-être même que l'on a souffert plus fort des besoins....
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Alain
La mentalité de l'homme moderne, de l'homme de l'Occident', s'est, depuis le début du xviie siècle, et surtout, selon Alain, sous l'influence de Descartes', tout imprégnée de l'esprit scientifique. La science, aussi bien par l'extension des connaissances que par le développement de ses applications, a progressivement chassé devant elle la superstition et fait disparaître les pratiques magiques. Le monde est devenu pour l'homme moderne le lieu de l'indifférence. C'est ce monde que décrit ici Alai...
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Nietzsche
Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l’ennui vient nous surprendre. Qu’est-ce à dire ? C’est l’habitude du travail en général qui se fait à présent sentir comme un besoin nouveau, adventice : il sera d’autant plus fort que l’on est plus fort habitué à travailler, peut-être même que l’on a souffert plus fort des besoins....
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Nietzsche
Le besoin nous contraint au travail dont le produit apaise le besoin : le réveil toujours nouveau des besoins nous habitue au travail. Mais dans les pauses où les besoins sont apaisés et, pour ainsi dire, endormis, l'ennui vient nous surprendre. Qu'est-ce à dire? C'est l'habitude du travail en général qui se fait à présent sentir comme un besoin nouveau, adventice ; il sera d'autant plus fort que l'on est plus fort habitué à travailler, peut-être même que l'on a souffert plus fort des besoins. P...