11 résultats pour "admet"
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Arthur SCHOPENHAUER :La vie n'admet point de felicite vraie
La vie n'admet point de félicité vraie, elle est foncièrement une souffrance aux aspects divers, un état de malheur radical... La célébrité tardive et posthume de Schopenhauer est due non à l'armature théorique de son système philosophique, mais à son fameux pessimisme, qui s'exprime dans Le Monde comme Volonté et comme Représentation (1818 et 1844, trad. A. Burdeau, revue et corrigée par R. Roos, PUF, 1966) à travers ses propos sur l'art et surtout sur l'éthique et qu'on ne saurait mieux carac...
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Selon Bernanos, « on ne comprend rien à la civilisation moderne si on n'admet pas d'abord qu'elle est une conspiration universelle contre toute espèce de vie intérieure ». La littérature contemporaine est-elle le reflet de cette civilisation et encourt-e
INTRODUCTION Le monde qui nous entoure sollicite de plus en plus puissamment notre attention. La rapidité des progrès scientifiques, l'évolution des moyens techniques, des divertissements, des moyens d'information, nous imposent une prise de conscience incessante du réel. Cette invasion des contingences indignait profondément Georges Bernanos qui écrivait à ce sujet : « On ne comprend rien à la civilisation moderne si on n'admet pas d'abord qu'elle est un conspiration universelle contre toute es...
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La question : « Qui suis-je ? » admet-elle une réponse exacte ?
LA QUESTION « QUI SUIS-JE » ADMET-ELLE UNE REPONSE EXACTE ? Eléments d'analyse du sujet : a) «La question qui suis-je». : il s'agit d'une question, donc pas d'une affirmation; d'une recherche, et non pas d'une certitude. Cette question implique alors quelque chose comme une quête, un questionnement qui nous anime. Comment celui-ci se manifeste-t-il ? b) « Qui suis-je » : comment définir ce « qui » ? Qu'est-ce que l'identité ? c) « une réponse » : on parle d'UNE réponse. Comment penser cette uni...
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La question qui suis-je admet-elle une réponse exacte ?
LA QUESTION « QUI SUIS-JE » ADMET-ELLE UNE REPONSE EXACTE ? Eléments d'analyse du sujet : a) «La question qui suis-je». : il s'agit d'une question, donc pas d'une affirmation; d'une recherche, et non pas d'une certitude. Cette question implique alors quelque chose comme une quête, un questionnement qui nous anime. Comment celui-ci se manifeste-t-il ? b) « Qui suis-je » : comment définir ce « qui » ? Qu'est-ce que l'identité ? c) « une réponse » : on parle d'UNE réponse. Comment penser cette uni...
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La nature admet-elle le désordre
Dissertation : La Nature admet-elle le désordre ? Le maître mot est ici le désordre, un désordre qui pourrait exister dans le monde. Un devoir désordonné est un devoir qui manque d'enchaînements logiques, de structure. Mais avec du travail l'étudiant parvient à trouver de l'ordre, une logique, et ainsi à exposer clairement ses idées. Nous pensions trouver un certain type d'ordre et nous trouvons une pensée décousue. Cependant, le désordre suggère aussi l'idée du chaos, de confusion ori...
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L'hypothèse de l'inconscient ruine-t-elle l'hypothèse de responsabilité ?
Introduction Si l'existence de l'inconscient, racine même de l'existence de la psychanalyse, est présentée comme nécessaire et légitime par les psychanalystes, la croyance de leurs détracteurs, se situe elle, bien loin de cette hypothèse. L'hypothèse de l'inconscient ruine-t-elle l'idée de responsabilité ? L'erreur serait d'affirmer que sans conscience de ses actes, il n'y a pas de responsabilité et que dans cet optique, tout homme ayant agit guidé par son inconscient, doit être considéré comme...
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Kant: le jugement de gout et le jugement d'agrément
En ce qui concerne l'agréable, chacun consent à ce que son jugement fondé sur un sentiment particulier et par lequel il affirme qu'un objet lui plaît, soit restreint à une seule personne. Il admet donc quand il dit: le vin des Canaries est agréable, qu'un autre corrige l'expression et lui rappelle qu'il doit dire : il m'est agréable ; il en est ainsi non seulement pour le goût de la langue, du palais et du gosier, mais aussi pour ce qui plaît aux yeux et aux oreilles de chacun (...). Il en...
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Sénèque, De la brièveté de la vie
(1) « Quand tous les génies qui ont jamais brillé se réuniraient pour méditer sur cet objet, ils ne pourraient s'étonner assez de cet aveuglement de l'esprit humain. Aucun homme ne souffre qu'on s'empare de ses propriétés; et, pour le plus léger différend sur les limites, on a recours aux pierres et aux armes. Et pourtant la plupart permettent qu'on empiète sur leur vie; on les voit même en livrer d'avance à d'autres la possession pleine et entière. On ne trouve personne qui veuille partager son...
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KANT: l'agréable et le beau
PRESENTATION DE LA "CRITIQUE DE LA FACULTE DE JUGER" DE KANT Dans cette troisième et dernière Critique, Kant (1724-1804) obéit à des motifs apparemment disparates. Un objectif interne de complétude architecturale : il s'agit de trouver un moyen terme de liaison entre le monde nouménal de la liberté transcendantale constitué par la raison dans son usage pratique et le monde naturel de la nécessité mécanique constitué par l'entendement, moyen terme qui permettrait de saisir dans le monde les effet...
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On admet généralement que la raison est susceptible, au moins dans certains cas, de triompher des passions. Comment cela est-il psychologiquement explicable et quel genre de réalité psychologique faut-il, pour le comprendre, attribuer, d'une part à la ra
On admet généralement que la raison est susceptible, au moins dans certains cas, de triompher des passions. Comment cela est-il psychologiquement explicable et quel genre de réalité psychologique faut-il, pour le comprendre, attribuer, d'une part à la raison et de l'autre aux passions ? INTRODUCTION. - Il arrive parfois d'entendre dire : « C'est un joueur ou un fumeur incorrigible ! » Et cependant, certains joueurs ou fumeurs invétérés parviennent à triompher de leur passion et à se corriger, so...
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Arthur SCHOPENHAUER (1788-1860)
La vie n'admet point de félicité vraie, elle est foncièrement une souffrance aux aspects divers, un état de malheur radical... La célébrité tardive et posthume de Schopenhauer est due non à l'armature théorique de son système philosophique, mais à son fameux pessimisme, qui s'exprime dans Le Monde comme Volonté et comme Représentation (1818 et 1844, trad. A. Burdeau, revue et corrigée par R. Roos, PUF, 1966) à travers ses propos sur l'art et surtout sur l'éthique et qu'on ne saurait mieux carac...