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Où est ce que l'on est quand on pense - cours

Publié le 23/04/2024

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« Où est-on quand on pense ? Lorsque l’on se demande : je pense ? : è Qui est JE ? Enjeux du sujet : - Qu’est-ce que c’est penser ? - Opinion c’est quelque part / la pensé est sans lieu - Si la pensée était forcément encrée on ne serait pas capable de penser autre chose de ce qui est pensé dans notre lieu Spinoza, Traité politique https://mail.google.com/mail/u/0/?ogbl#inbox/FMfcgzGwJchwtSfTNMsngdnlKLpFKkTk?pr ojector=1&messagePartId=0.1 Chapitre I,1 Les philosophes, les théologiens les conçoivent comme des vices dans lesquelles les hommes tombent par leurs fautes comme si on était responsable de nos affects ceux qui veulent être plus sain les maudissent S, dit que les philosophes et théoriciens disent que les affectent c’est de notre faute « Ils en rient, ils en pleurent, les blâment ou bien ils les maudissent » S, dès la 2 -ème ligne, il dit que la condamnation des affects est affective Quand il y a une rivière qui déborde on ne blâme pas la rivière car pas dû à un vice dont elle est responsable La crue est nécessaire déclenché par des causes physiques On considère que on est doté de libre arbitre, donc si on est capable de faire A on est capable de faire B S, s’apprête à faire un traité politique et commence par critiquer la critique des affects des gens qui croient au libre arbitre Si on réprouve des actions c’est que les gens que on réprouve auraient pu se conduire autrement, donc on imagine qu’ils sont libres La nature humaine qui n’existe pas c’est ce que on peut imaginer de ce que serai des êtres humains qui ne se laisseraient pas emporter par leur affect, qui les contrôleraient, il critique les conduites des êtres humain, la nature humaine qui existe vrmt Pour Spinoza, nous sommes que nature, les affects sont naturels et nous déterminent, il n’y a donc pas de libre arbitre pour lui, on ne choisit jamais, on n’est déterminé affectivement à le faire et on est déterminé à le faire comme le stylo qu’on lâche est déterminé à tomber par terre Le XVII -ème siècle, tire la mesure de la révolution scientifique, on explique par des lois déterminantes pour Spinoza le déterminisme concerne aussi l’âme humaine son but est d’expliquer les actions humaines avec la même rigueur que les mécanismes scientifiques Spinoza ne dit pas non plus de suivre ses passions, de tout manière on n’a pas le choix de suivre nos affectes. Alors les moralistes, quand ils voient des comportements qui ne leur plaisent pas, les maudits et inventent une image des hommes en disant du mal des humains tel qu’ils sont Spinoza, dit que dans l’histoire de la philosophie politique la plupart des théoriciens ont réfléchi à comment la politique marcherait si les êtres humains se conduisaient bien à On présuppose que les gens auront à cœur de faire en sorte que ça marche De fait, Hobbes, Machiavel et Spinoza sont les premiers à penser la philosophie politique en prenant les hommes tels qu’ils sont et pas comment on aimerait qu’ils soient Spinoza quand il met en avant le mot affect c’est pour ôter la zone en question : Comment ça fonctionne ? Les affects En philo politique on en finit avec la théorie classique : Quel est le meilleur régime ? On étudie la politique avec la question : Comment ça marche ? Par ailleurs, ils conçoivent les hommes pas tels qu’ils sont mais comme ils voudraient qu’ils soient, c’est un désir de leur part, qui les déterminent mécaniquement Ce désir pour Spinoza est un désir vain. La théorie politique est liée à des conceptions générales métaphysiques (: recherche rationnelle ayant pour objet la connaissance de l’être) Les théoriciens et philosophes habituels ils ont tendances à se demander comment ils voudraient que ça soit mais ceci est inutile pour comprendre les choses Le premier paragraphe du premier chapitre délégitime toute la philosophie politique ce qui s’oppose aux philosophes est une approche qui partirai d’une approche qui partirai d’une étude des comportements humains L’éthique étudie les comportements humains en général et se demande ce qu’il reste et ce que on peut faire de notre vie è Qu’est-ce que on peut faire de notre vie étant donné que on est entièrement déterminé ? Question de la politique : è Qu’est-ce que on peut faire collectivement de cette nature humaine ? En politique : fabriqué une société c’est savoir les affects qui vont être associé au rapport humain Comment avec les matériaux humains qui a conduit à faire des sociétés dans laquelle tout va mal faire une société qui s’améliore sans compter sur l’entraide des gens ? Le point de départ se dont on doit partir : 1.

L’être humain n’a pas de libre arbitre, de volonté libre 2.

La plupart du temps il n’est pas rationnelle, mais passionnelle 3.

Il n’est ni bon ni méchant, il est causé mécaniquement Pour Spinoza la réaction de bon ou de méchant est une réaction affective face aux autres Chapitre I, 2 Il observe les politiques, Pour Spinoza ce que les politiques écrivent sont plus juste que les philosophes car ils écrivent selon leurs expériences et pas à partir de leurs pensées Les hommes sont conduits pas la crainte donc par une affecte, empiriquement, ils s’appuient sur les affects Les politiques ne s’adressent pas sur la raison des gens mais sur la peur ils s’appuient sur le mécanisme des affects Les politiques s’appuient sur une mécanique des passions La pratique de la politique, des hommes politiques qui muent par le désir de rester au pouvoir s’appuie sur les désirs, les craintes des électeurs donc politiquer ils s’appuient sans présupposer la raison L’affecte que met en avant Spinoza est la crainte Chez Hobbes, l’affect principale à l’état de nature c’est la peur et donc le contrat social c’est la sécurité Double mouvement, de déplacement théorique on laisse les philosophes, les théoriciens … pour étudier les humains tel qu’ils sont et donc on écoute plus : les politiques que les philosophes Chapitre I, 3 Concevoir une nouvelle fore d’organisation, or Spinoza dit que tout à été expérimenté et que donc il n’y en a pas. Il explique n’être pas là pour proposer une nouvelle forme S pense, que toutes les formes de coexistence on delà été inventé et expérimenté L’enjeu c’est la coexistence (enjeu qui est sensible pour S vu que on est en plein siècle de guerre de religion entre le catholicisme et le protestantisme et donc l’absence de concorde en a été visible) L’enjeu c’est de ne pas vivre en guerre civile La multitude doit être dirigé par elle-même : Démocratie Pour S, les êtres humains naissent et vivent toujours dans un groupe et il n’y a pas d’individu, un individu c’est être concevable séparément du reste Pour S, nous sommes des modes Tous êtres humains vivent dans un groupe, par le groupe, grâce au groupe et dans tous groupe il y a un droit commun On ne vit jamais à l’écart du droit commun è Ce sont des êtres sociaux, relationnelles qui n’existent que par les relations Il y a une conception étendue du droit, le droit c’est toutes règles qui régissent un groupe Les règles qui régissent un groupe régissent la coexistence, ces règles sont le produit d’une sorte d’intelligence qui permet de trouver des moyens de coexister et cette intelligence c’est le produit du désir de sécurité Les êtres humains quand ils se soucis de leur sécurité ça les rend intelligents et trouvent des moyens pour pas s’entre tuer Agir par peur c’est être soumis à autrui Spinoza : « Quand j’ai peur, je ne relève plus de mon propre droit, je relève du droit d’autrui » Chapitre I, 4 Question d’efficacité des formes politiques qui existent pour assurer la coexistence étant donnée ce que je peux concevoir de la mécanique de la nature humaine « Ne pas rire ne pas pleurer ne pas maudire mais comprendre » Le fait d’arriver à comprendre pq les hommes s’être tu cette compréhension provoque la satisfaction de comprendre comment sa marche è Satisfaction de l’esprit La liberté d’esprit en mathématique, ce modèle a un aspect libérateur sur la pensée et les modes de pensées parce que les maths st une forme de raisonnement nécessaire et donc dans la pensée mathématique on n’interfère pas les préjugés moraux et donc le mode de pensé on peut penser à l’écart des préjugés moraux et prédicateurs Je regarde le comportement humain en mathématicien j’en étudie le fonctionnement nécessaire C’est important pour comprendre la démarche et le fond de ce qu’il raconte parce que si je dis le comportement humain et nécessairement causé par des affects nécessairement causés L’étude de la nature humaine aide à comprendre le mécanisme en jeu dans le massacre Notre conduite est toujours naturelle, toujours causé par des causes naturelles, cette nature nous détermine nécessairement On ne peut pas rêver de transformer la conduite humaine et de faire que tout à coup la mécanique affective cesse La mécanique.... »

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