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oral dnb Le COVID-19 présentation faite par

Publié le 24/06/2025

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« Le COVID-19 présentation faite par la maladie CoViD-19, est dûe au virus SARS-CoViD-2.

Le 2 laisse penser à une précédente variante du SARS-CoViD, mais alors quand et comment est-ceque tout cela a réellement commencé ? Début d’une ère, début d’une épidémie. Le SRAS (Syndrome Respiratoire Aigu Sévère) est la première maladie critique et transmissible à apparaître en ce XXIe siècle. L’épidémie, partie de Chine fin 2002, a éclaté au niveau mondial en 2003 faisant plus de 8000 cas et près de 800 morts.

Une mobilisation internationale sans précédent, motivée par l’alerte mondiale déclenchée le 12 mars 2003 par l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé), a permis l'étouffement de l’épidémie par des mesures d’isolement et de quarantaine.

De plus, un coronavirus inconnu jusqu’alors, a pu être rapidement identifié et étudié. le SARS-CoV-1 est un virus appartenant à la famille des coronavirus à l'origine du SRAS dont le réservoir animal est une chiroptère (une chauve-souris insectivore).

L’hôte secondaire (ou intermédiaire) ayant causé le passage du virus à l’homme est la civette palmiste masquée, animal sauvage vendu sur les marchés et consommé au sud de la Chine. Les équipes de l’Institut Pasteur se sont mobilisées et ont proposé plusieurs stratégies vaccinales, dont un candidat-vaccin basé sur la plateforme du vaccin contre la rougeole, puisqu'il peut être recombiné et utilisé pour induire une réponse immunitaire contre d’autres agents pathogènes, ici SARS-CoV-1.

Ce candidat-vaccin n’a pas été expérimenté chez l’homme car en 2004, un fois prêt, l’épidémie était heureusement terminée, et il n’y avait plus de patients sur lesquels proposer de le tester. : chiroptère, communément appelée chauve souris. civette palmiste à masque : Mais qu’est-ce que “corona”, ce virus ayant tant fait fureur? Une famille pas très inconnue. Les coronavirus (CoV) sont une grande famille de virus qui provoquent des maladies qui vont du simple rhume à des maladies plus graves telles que le syndrome respiratoire du Moyen-Orient (MERS-CoV), détecté chez un patient en Arabie saoudite en septembre 2012, et dont les symptômes demandent parfois un soin intensif à l’hôpital, notamment pour les patients atteints d’une maladie chronique, ainsi que le syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS-CoV).

En 2019 à Wuhan, en Chine, un nouveau coronavirus (COVID-19) a été identifié. Les coronavirus (CoV) infectent les humains et de nombreuses espèces animales (mammifères et oiseaux).

Les 1ers CoV, observés chez les animaux, n'ont pas tout de suite reçu l'appellation coronavirus, apparue plus tardivement en 1937.

Chez l'humain, les 1ers CoV ont été isolés en culture cellulaire (un ensemble de techniques de biologie utilisées pour faire croître des cellules hors de leur organisme ou de leur milieu d'origine, dans le but d'expérimentation scientifique) dans les années 1960, à partir de sécrétions respiratoires d'individus présentant une infection respiratoire aigüe.

De 1967 à 2004, les HCoV ont été négligés en médecine humaine et n'étaient pas recherchés dans les laboratoires de diagnostic virologique. Une nouvelle variante D’abord appelée «nouveau coronavirus 2019 » ou « nCoV-2019 », la maladie provoquée par la nouvelle variante du coronavirus, identifiée pour la première fois à Co = Corona Vi = Virus D = disease 19 = 2019 Wuhan, en Chine, a été renommée «maladie à coronavirus 2019 » (COVID-19). Mais alors comment agit-il sur le corps humain ? Un mode d’action : Les coronavirus se caractérisent par leur couronne de protéines dites « Spike » ou S.

Comme tous les virus, ils utilisent nos cellules comme hôtes pour se reproduire.

Mais, le SARS-Cov2 doit subir une étape de « priming », sorte d’activation, pour devenir infectieux. Une protéase, un type d’enzyme de notre organisme, coupe la protéine Spike afin de la rendre fonctionnelle. Une fois la protéine Spike « primée » ou activée, elle va s'attacher à l’un des récepteurs présents à la surface de nos cellules impliqué dans la régulation de la tension artérielle.

Ce récepteur est présent sur les cellules de différents organes : le nez, les yeux, les poumons, le système digestif, le cœur et dans une moindre mesure dans les reins et le foie.

Le SARSCov2 peut donc infecter tous ces organes, c’est pourquoi les patients atteints de COVID-19 présentent une grande diversité de symptômes. composition virus Corona Mais notre immunité ne joue pas toujours en notre faveur. L’interféron (petite protéine produite naturellement dans le corps en réponse à une infection virale) est sécrété naturellement par notre corps lorsqu’un virus pénètre l’organisme.

Or, on peut observer un lien entre cette molécule et la surexpression de ACE2 (une protéine clé dans la physiologie du Covid-19, nécessaire à l'entrée du virus SARS-CoV-2 dans les cellules de l'hôte).

Notre réponse immunitaire accroît ainsi la présence de récepteurs ACE2, porte d'entrée dans nos cellules pour le virus, facilitant donc la progression de l'infection. De plus, les syndromes de détresse respiratoires observés chez certains patients ne sont pas dus au virus lui-même mais à une réaction inflammatoire de notre organisme, appelé orage cytokinique (une réponse inflammatoire anormalement violente du système immunitaire face à un pathogène).

En effet, les cytokines, des molécules messagères, attirent les globules blancs dans les poumons où ils sécrètent plus de cytokines qui attirent d’autres globules blancs : le système immunitaire s’emballe.

Cet afflux trop important de cellules immunitaires dégrade les muqueuses pulmonaires. Et qu’expérience le patient atteint de CoViD-19? les conséquences du Covid-19 sur le corps ne se manifestent pas toujours de la même façon chez les individus. Les symptômes de la COVID-19 peuvent varier : -de personne à personne -dans différents groupes d’âge -selon le variant de la COVID-19 Des manifestations : Les manifestations de la maladie Covid-19 sont maintenant bien reconnues : elles concernent notamment le poumon, le rein, le système nerveux (y compris manifestations psychiatriques), le cœur, la peau, l'appareil digestif et la sphère ORL.

Contrairement à la grippe qui s'installe brutalement, une infection par le coronavirus se fait progressivement sur plusieurs jours.

Les patients présentent des symptômes de 1 à 14 jours après l’exposition. Des symptômes : -mal de gorge -écoulement nasal -éternuement -apparition ou aggravation de la toux -essoufflement ou difficulté respiratoire -température égale ou supérieure à 38 °C -sensation de fièvre - frissons - fatigue ou faiblesse - douleurs musculaires ou courbatures - mal de tête - perte de l’odorat ou du goût - douleurs abdominales, diarrhée et Des cas spéciaux : vomissements - malaises intenses Certaines personnes infectées par la COVID-19 peuvent présenter des symptômes à long terme, même après s’être rétablies de leur infection initiale.

C’est ce qu’on appelle parfois le syndrome post-COVID-19 ou la COVID longue. D'autres peuvent être infectés, mais : - développer des symptômes plus tard (présymptomatique);- ne jamais présenter de symptômes (asymptomatique). Et tout de même transmettre le virus à d’autres personnes. Des symptômes graves : - difficulté à respirer ou essoufflement grave - pression ou douleur persistante à la poitrine - confusion d’apparition nouvelle - difficulté à se réveiller ou à rester éveillé - peau, lèvres ou lits d’ongles de couleur pâle, grise ou bleueUne hospitalisation immédiate est alors nécessaire. présentant des symptômes ou asymptômatique, comment savoir si le patient est atteint du Covid-19? des tests de dépistage Le test naso pharyngé PCR permet de déterminer au moment du prélèvement si vous êtes porteur du virus de la Covid-19 et constitue le test de référence le plus sensible pour le diagnostic de l’infection. Le test rapide antigénique (TRA) nécessite le même prélèvement nasopharyngé que la PCR mais une technique d'analyse simplifiée.

Il est moins sensible et pertinent uniquement si le patient présente des symptômes en rapport avec la COVID-19. Le test sérologique consiste en une prise de sang; il recherche la présence d'anticorps et permet de savoir si vous avez été en contact avec le virus de la Covid-19 dans le passé et témoigne d’une réaction immunitaire vis-à-vis du virus. L'autotest de dépistage de la Covid-19 est un test que l’on réalise soi-même pour rechercher la présence du virus SARS-CoV-2 (Covid-19) dans un prélèvement nasal. Le prélèvement oropharyngé où l’écouvillon est introduit par la bouche, jusqu’à l’arrière-gorge (oropharynx).

Il peut remplacer le prélèvement nasopharyngé lorsqu’il existe des contre-indications (traumatisme ou chirurgie nasale récente, maladies hémorragiques).

Il est de qualité inférieure et peut être considéré comme parfois désagréable (réflexe nauséeux, toux). Le prélèvement salivaire utilisé quand les quantités de virus sont faibles.

Il est réservé aux catégories de personnes suivantes : -patients avec symptômes ou personnes-contacts, lorsque le prélèvement nasopharyngé est difficile ou impossible ; -chez les personnes asymptomatiques, il est pratiqué lors de dépistages ciblés, comme en milieu scolaire. -Chez les enfants entre 3 et 11 ans.

Avant 3 ans, il est souvent difficile d’obtenir un crachat salivaire. Un prélèvement nasopharyngé avec un écouvillon pédiatrique est souvent plus simple et plus rapide. Comment se protéger et protéger nos proches? - Des mesures à prendre En cas d'isolement : - il faut rester, si possible, dans une pièce séparée de ses proches, avec la porte fermée. Il est important de dormir et de prendre ses repas seul, dans sa chambre ; - les contacts avec les autres personnes de la maison, de l’appartement ou du lieu d’accueil sont à.... »

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