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Discours d’adieu de la Promotion Saint Dominique Savio ce samedi 31 Mai Bernadin Cardinal GANTIN du Séminaire

Publié le 06/03/2022

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discours

« Séminaire Notre Dame de Fatima (2013-2014) Discours d’adieu de la Promotion Saint Dominique Savio ce samedi 31 Mai Bernadin Cardinal GANTIN du Séminaire. 2014 en la Salle (Chant d’adieu choisi : ‘’ On ne vit pas sans se dire adieu’’) - Sur les rives de nos cœurs, la voix a tonné, l’écho a retenti, le glas a sonné et nous avons cru que c’était Dieu.

Mais nos doutes, nos peurs et nos clichés se sont dissipé lorsque l’amour, la grâce dans nos cœurs ont résonné.

Et alors, nous avons su, convaincus que c’était Dieu. -Et c’était Dieu.

Avec Lui, nous avons embarqué, abandonnant sur ces rives nos cordons familiaux et nos prévisions humaines.

D’une rive à l’autre, le destin nous a précédés, succédé et ce jour, nous avons débarqué sur cette terre d’espérance où l’aventure et la prophétie un soir enclenchée à présent s’essoufflent.

Depuis ce temps lointain, l’histoire s’est écrite et réécrite en lettres d’or.

Mais à présent que sonne la cloche de la dernière fois, une page se ferme portant la marque indélébile de nos souvenirs et les dépouille de nos peurs et joies, de nos peines et courages, de nos réticences et bravoures, de nos péchés et sainteté car : (A deux) Dans le conflit des jours surgit un cri d’appel L’horizon ailleurs nous appelle d’un ton solennel Et coulent de nos cœurs ces larmes Fruits de la tristesse qui émeut nos âmes Le temps nous trahit, les forces nous abandonnent Recevez ces regrets que nos cœurs fredonnent. -Tout a commencé un lundi. -Oui, un 03 octobre. -Octobre 2011. -Jour spécialement ensoleillé où l’astre lumineux descendant et se cachant sous l’horizon faisant appel à un zéphyr qui sans trêve embrasait minutieusement la nature et qui nous revigorait. Allégresse, gaieté, bruits, appellations comiques pour les vieux routiers, actions de grâce, accolades, salamalecs sont autant d’expressions communicatives de nos sentiments ce beau jour, témoin de nos premières empreintes à Fatima. -Ah qu’ils étaient beaux, resplendissants, magnifiques les séminaristes.

La nature elle-même semble avoir participé à l’euphorie de ce jour. -Tout respirait beauté, splendeur et verdure, autant de signes prémonitoires d’un séjour gai. On en était à cette euphorie quand hélas.

Un incident se produisit.

(silence) 1. »

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