Philosophie, La vérité libératrice

« Khôlle Philosophie 2 Sujet : de quoi la vérité libère-t-elle ? Notes Definition vérité, libère Verite Existe il une verité unoverselle ? La vérité est elle immuable Est-ce un droit, un devoir, une obligation ? Deux véité : objective subjective Ibjectuve : vérité supposées vraies (ex sciences Subjective Selon Zénon la vérité est caractérisée par l’universalité et l’intemporalité Nous libère du mensonge Platon, la république, allégorie de la caverne : il imagine des prisonniers enchaines dans une caverne, no voyant que des ombres projetées sur un mur, croyant que ces ombres sont la réalité. Nous libère des apparences Dans l’allégorie de la caverne (une allégorie étant un discours symbolique), il met en scène des prisonniers enchaînés au fond d’une caverne, symbole du monde sensible, le dos tourné vers l’extérieur, symbole du monde intelligible où la lumière du soleil symbolise la vérité.

A partir de là, il nous amène à nous demander si la vérité est contraignante ou libératrice. Préjugés Fausses opinions Mensonge = Kant considère le mensonge comme un interdit moral catégorique, sans exception possible.

Il n’y a pas de « pieux mensonge », de mensonge pour faire le bien ou éviter le mal, même dans les cas extrême Descartes Doute méthodique « je pense donc je suis » Troisième partie qui pourrait montrer qu’elle ne serait pas toujours libératrice Freud qui parle des grandes découvertes scientifique de « blessures narcissiques » Voir site : https://www.lesbonsprofs.com/cours/la-verite/#:~:text=La %20connaissance%20de%20la%20vérité%20libère%20aussi%20des %20préjugés%2C%20des,elle%2Dmême%20a%20une%20vertu. Liberté libératrice ou contraignante ? Il faut d’abord commencer par se demander comment accéder à la vérité, moyens d’accès à la vérité existe-t-il une vérité absolue, universelle ou alors toutes les vérités se valent-elles ? Pour commencer, il apparaît nécessaire de bien distinguer vérité et illusion.

L’illusion se définit comme une confusion de la réalité avec l’apparence, autrement dit, l’illusion est la substitution du monde intelligible par le monde sensible.

La vérité, au contraire, se définit comme l’accord de la pensée avec la réalité, c’est-à-dire que la représentation d’une chose est vraie lorsqu’elle est conforme à la réalité. Def vérité : Sur le plan épistémologique, on peut définir la vérité comme l’adéquation entre une pensée et une chose ou encore la correspondance entre un discours et son objet.

De Platon jusqu’à Hegel, c’est ce type d’approche de la vérité qui a été privilégié par la tradition philosophique occidentale.

Mais une telle définition formelle de la vérité n’est pas satisfaisante pour l’esprit.

L’être humain a besoin d’une vérité plus vivante et plus incarnée afin de pouvoir réellement l’aimer, bref il désire une vérité qui touche son cœur et non seulement sa raison.

La philosophie existentialiste est précisément née en réaction contre une telle approche formelle et conceptuelle de la vérité.

Kierkegaard, le père de l’existentialisme s’est insurgé le premier contre le système hégélien qu’il accusait de pétrifier la vérité.

Il a su découvrir le sens profondément philosophique de la célèbre parole du Christ s’identifiant à la vérité.

Pour lui, la vérité ne peut avoir de sens que si elle est incarnée par un être vivant, manifestée par une expérience vécue.

Du point de vue existentiel, la vérité n’est pas du domaine de l’objectivité, mais de la subjectivité.

Kierkegaard définit même la vérité comme la subjectivité et l’intériorité. Sie : https://www.devoir-de-philosophie.com/philosophie/la-verite-est-elle-contraignante-ou-liberatrice Permet de connaitre ce qui nous fait agir grâce a la psychanalyse Dans l’optique psychanalytique par exemple, connaître la vérité sur soi, c’est-à-dire connaître ses pulsions et ses vérités refoulées, permet de se libérer de son passé. La liberté comme un moyen de se libérer de l’illusion, du mensonge et de l’oppression A) Vérité comme compréhension du monde pour se libérer des fausses croyances (platon, allégorie de la caverne, la sciences pour surmonter les superstitions et les opinions fausses) B) Une libérations par la vérité wqui permettrait de dépasser l’injustice, libération politique, vérité comme moyen de révéler et nénoncer les oppressions, zola avec affaire dreyfus « j’accuse » C) Une libération face aux mensoges, libération vis-à-vis de la morale, libération morale (poids du mensonge et du secret, soulagement, reconnaissance après aveu) La vérité vous rendra libres" dans l'Évangile selon Jean : intro ? Limites de la vérité comme libération A) Vérité parfois oppressante (vérités difficiles a accpeter, révélation peut provoquer douleur, chaos, question de la révélation de la vérité, prise en conscience de la finitude humaine, camus « le mythe de sisyphe ») B) Les illusions peuvent paraitre essentielles à la vie humaine (Nietzsche, vérité absolue est déstructice « le gai savoir », mythes, idéologies comme socles de la société, de la cohésion sociale) parler de la puissance du « rêve » et de citer, si nécessaire, Matière et Mémoire de Bergson, où le rêve apparaît comme liberté. C) Une vérité qui peut amener a la manipulation, peut etre utilisée a des fins de domination, peut etre instrumentalisée, propagandes fondées sur faits r&éels mais biaisés) Vérité comme libération intérieure A) Libération de soi, rousseau « confessions » B) Acceptation du réel donc libération, accepter les vérités même inconfortables, blessantes pour etre amené a une sérénité intérieure, stoicisme, spinoza, compréhension des causes naturelles libère des passions destructrices C) Vérité comme condition de la liberté elle-même, sartre etre libre c’est assumer ses choix en pleine conscience de soi et du monde, la vérité même difficile est un prérequis pour une autonomie véritable La vérité est la correspondance entre ce que je dis, et ce qui est : elle s’oppose donc à la fausseté – au sens d’erreur, mais aussi de mensonge.

Détenir la vérité, c’est donc énoncer un discours objectif qui correspond à la réalité.

Ainsi, pour trouver la vérité, nous sommes confrontés au défi de dépasser notre subjectivité - c’est-à-dire non seulement les croyances, les préjugés, les opinions qui constituent notre personnalité, mais aussi le sensible tel qu’il nous apparaît, car il peut être source d’illusions. Quel lien liberé verité ? C’est bien en ce sens que se pose la question : de quoi la vérité libère t’elle ? Le postulat de départ est donc que la vérité aurait une vertu libératrice. Mais de quoi ? des passions, de l’ignorance, de l’illusion (a completer).

En effet, la vérité semble avoir cette puissance.

Mais dès lors, que dire de cett volonté de liberté que nous trouvons le plus souvent exacerbée dans les sciences : n’est elle pas une idole ? und nouvelle sefvitude dont il faudrait également se libérer ? faudrait il libéré la vérité d’elle-même ? mais comment, par une autre vérité ? Il y aurait alors un effet paradoxal de la vérité, ce qui engage nécesssairement aussi tout un discours sur la vérité.

Si la vérité peut apparaitre libératrice notamment l’illusion, du mensonge de l’oppression mais également de nous-même en tant que libération intérieure (attention on mélange le plan faudra re travailler ça) elle peut fait également l’objet de limites et devenir une servitude ce qui nous amène a interroger le statut même et la nécessité de cette vérité. Introduction La célèbre maxime « La vérité vous rendra libre », tirée de l'Évangile selon Jean, établit un lien direct entre la vérité et la liberté, suggérant que la vérité serait une voie vers l'émancipation.

Mais qu'entend-on par vérité ? Cette notion peut être définie de multiples façons : comme un jugement conforme à son objet (vérité de correspondance) ou, d'un point de vue plus formel, comme un jugement non contradictoire (vérité cohérente).

Théoriquement, elle se distingue de l'illusion et de l'erreur. L’illusion se définit comme une confusion de la réalité avec l’apparence, autrement dit, l’illusion est la substitution du monde intelligible par le monde sensible.

L’erreur elle est une affirmation fausse, c’est-à-dire non conforme aux règles de la logique, elle est une privation de connaissances qui procède toujours de notre jugement.

La vérité possède également un sens pratique, la véracité désigne le fait de dire la vérité, qui, dans ce cas, s’oppose au mensonge.

Lorsque la vérité se reconnait d’elle-même on parle d’évidence.

Cependant quand elle n’est pas donnée, révélée comme dans la religion par le biais de la foi notamment, il faut la démontrer.

Le scepticisme lui considère qu’elle est inaccessible.

La libération ici évoque l’idée de se délivrer de quelque chose, d’obtenir la liberté ou l’émancipation.

Elle peut également être quête d’autonomie ou l’individu cherche à agir de manière indépendante et éclairée, il peut s’agir de dépasser des obstacles à la pensée critique ou à l’autodétermination. Dans cette perspective, la question se pose : comment la vérité peut-elle être libératrice, et de quoi libère-t-elle réellement ? Le postulat de départ est donc que la vérité aurait une vertu libératrice. Mais de quoi ? des passions, de l’ignorance, de l’illusion ? En effet, la vérité semble avoir cette puissance.

Mais dès lors, que dire de cette volonté de liberté que nous trouvons le plus souvent exacerbée dans les sciences : n’est-elle pas une idole ? une nouvelle servitude dont il faudrait également se libérer ? faudrait-il libérer la vérité d’elle-même ? mais comment, par une autre vérité ? Il y aurait alors un effet paradoxal de la vérité, ce qui engage nécessairement.... »