DM voyage au bout de la nuit Céline
Publié le 15/10/2023
Extrait du document
«
Résumé du texte :
Bardamu est transporté en bateau jusqu’aux Etats-Unis.
Il visite New-York,
puis Detroit où il est engagé comme ouvrier chez Ford.
Il se lie
temporairement à Molly, une prostituée.
Mais il rentre en France pour
poursuivre ses études.
Sujets critiqués par le narrateur :
Il critique la société de consommation américaine et les américains qui ne
pensent qu’à l’argent.
«… surtout que les gens d’Amérique ne veulent recevoir
chez eux que les curieux qui leur apportent du pognon, parce que tous les argent
d’Europe c’est des fils à Dollar ».
(p231) « On n’échappe pas au commerce
américain » .( p258 )
Il critique le capitalisme lorsque Bardamu est embauché dans une des
usines Ford.
Là, il découvre la condition abrutissante du travail à la chaîne.
Céline s’insurge contre la déshumanisation de la vie ouvrière, il a une vision
totalement négative de l’usine.
(p 279 et 280) « On en devenait machine soimême ».
Procédés réguliers d’écriture employés par Céline :
Le champ lexical de la saleté et de la scatologie quand Bardamu découvre
les toilettes souterraines de New York.
« besoins, infecte, odeur, cramoisis,
rotant, fécale, tripes, cabinets, constipés, rectaux, intestinale, caca ».
La Comparaison : L’usine Ford est comparée à un monstre colossal,
effrayant et très bruyant.( p280) Le policeman est comparé à un encrier
(p243), les personnes aux toilettes sont comparées à des blessés « en
geignant fort comme des blessés » (p244)
La personnification : Céline représente les machines comme des êtres
humains donnant un aspect plus monstrueux à l’usine.
Les machines
dévorent les humains.
La répétition....
»
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