les criminels de guerre en ex yougoslavie

« LES CRIMINELS DE GUERRE EN EXYOUGOSLAVIE Elfadl Indira Lycée Notre Dame Spécialité Histoire Géographie Géopolitique Science Politique Résumé : Cet article aborde la question des criminels de guerre d’un point de vue géopolitique, dans le sens où le jugement de ces derniers entre dans le cadre politique et a un impact international, puisqu’il permet le maintien de la paix. La guerre en ex-Yougoslavie a mené au jugement des criminels de guerre pour parvenir à une paix légitime et stable.

La première partie a pour objectif de définir qu’est-ce qu’un criminel de guerre et qui sont ces derniers.

Ensuite, expliquer pourquoi il est essentiel de juger ces criminels pour parvenir à la paix, et enfin en quoi le jugement de ces criminels expose des limites contraignantes à la notion de paix.

On va ici aborder la question qui est de savoir comment le jugement de ces criminels de guerre permet de répondre à l’organisation d’un maintien de la paix. [ Summary : This article deals with the fact that war criminals’ judgment is the main key in order to find peace again. However, it is not as easy as it seems, and sometimes there is sequelae left aside in the process.

There is a geopolitical interrogation in the point of view where the judgement of those criminals is included in the political sphere and has an impact at the international scale, meaning it enables peace’s maintenance.

Here, we’ll ask ourselves how the judgment of those criminals would lead to peace maintenance.] rghrdyhrdytytuuuyujuyjgj yyuy “ Il faut qu’il y ait la paix pour que la justice l’emporte, mais il faut que justice soit lorsque la paix l’emporte “ dit Bill Clinton (*), car “la paix sans la justice est une paix incomplète” (**).

Un crime de guerre est une violation du droit international humanitaire, de la convention de Genève et du Statut de Rome.

Lors du conflit en Ex Yougoslavie, l’Union Européenne et l’ONU ne semblent pas être en mesure de rétablir la paix.

Ainsi donc, suite aux massacres commis, la communauté internationale décide d’une solution.

Et c’est de par cela que le Conseil de Sécurité de l’ONU crée le Tribunal Pénal international pour l’Ex Yougoslavie (TPIY) (1) en mai 1993, dont le siège sera à La Haye, aux Pays Bas. Ainsi, les criminels de guerre passent devant ce tribunal afin d’être jugés pour leur actes, ce qui permet après chaque condamnation une éclaircie vers une paix durable et stable.

En tout, 161 personnes passent devant ce tribunal pour répondre de leurs actes. En quoi le retour à la paix nécessite-t-il le jugement de ces criminels de guerre ? I- la notion de “criminel de guerre” II- la nécessité de ces condamnations pour une avancée vers la paix III- les limites de ce jugement. »