suffit il d'être conscient pour être responsable

« Suffit-il d’être conscient pour être responsable ? Pour illustrer cette question on peut parler des évènements du quotidien et on va plus particulièrement s’appuyer sur l’exemple des délits.

Prenons le vol, en effet un voleur est conscient que voler n’est pas bon, un voleur conscient va donc devoir faire face à ces responsabilités en effectuant ce délit, or si le voleur qui avait connaissance de ces actes, ne pouvais agir autrement (ex : cause de famine), peuton dire qu’il est encore responsable ? en tous cas cet exemple montre bien que la question posée est pertinente. On observe dans cette question le verbe suffire conjuguais au présent de l’indicatif, qui exprime en étant accordé à être conscient l’idée d’une caractéristique suffisante pour « être responsable ».

On à justement ici un redoublement de l’auxiliaire être qui exprime l’idée d’un moi, conscient c’està-dire ici qui a une pleine connaissance de ce qu’il fait qui conduirait à un moi, responsable, c’est-à-dire qui accepte de subir les conséquences de ces actes. L’un allant de pair avec l’autre, l’idée qu’il ne suffit que d’être conscient pour être responsable, peut être affirmer mais aussi remit en cause, avec l’idée de liberté, c’est pourquoi, on pourrait se demandait, si cet état de conscience est suffisant pour être tenu responsable de tous nos actes, ou alors n’existet-il pas d’autre contrainte à cette responsabilité. Nous verrons d’abord que la conscience suffit à la responsabilité, mais nous envisagerons ensuite que la responsabilité peut être diminuer par différents facteurs, et nous montrerons enfin qu’en réalité être conscient n’est pas la condition la plus importante à la responsabilité Tout d’abord on pourrait dire que la conscience suffit à la responsabilité et on peut expliquer cela par la raison.

En effet l’homme est doté de logos, c’est-à-dire qu’il est un être raisonnable, qui lui permet donc de prendre conscience d’une situations et en juger le bien et le mal, afin d’en déterminé une cause, par exemple si je tue, quelqu’un c’est mal, et si je l’est fait je sais qu’elle en seront mes issues, car je suis un être réfléchie, et si la conscience est dite universelle c’est car la raison est présente dans chacun de nous, de ce point de vue la conscience nous permet d’agir selon les règle que nous fournit notre propre raison, afin d’en faire une propre responsabilité, comme Montaigne le laisse pensée dans les Essaie, l’homme est capable d’auto suggestion car il est un être conscient, or on pourrait aussi répondre que la conscience suffit à la responsabilité En effet on pourrait dire que la conscience suffit à la responsabilité et cela par contraposé.

Car par contraposé cela voudrait dire que l’inconscience est cause d’irresponsabilité.

En effet quand un individue n’est pas conscient, il est tout simplement inconscient, et ce comportement inconscient aura comme répercussion une irresponsabilité, par exemple un alcoolique, comme prit par un excès de démence, pourrait tuer quelqu’un, et lorsqu’il retrouvera sa conscience, ses sens, il pourrait contempler l’horreur qu’il a commis sans même savoir qu’il est l’artiste de cette œuvre, et donc s’éloigner de cette responsabilité.

L’inconscient est donc une sorte de sous-sol de notre vie psychique où nous plaçons tout ce qui heurte notre conscience et nos réalités, et c’est ce que Freud explique dans « l’inconscient » parue en 1916.

C’est donc à travers ce contreexemple qu’on pourrait démontrer l’idée d’une conscience qui suffit à la représentation mais on peut aussi l’expliquer par la connaissance de soi. En effet on pourrait dire que la conscience suffit à la responsabilité et cela par l’idée d’une connaissance de soi.

Il est vrai la phrase de Socrate « Connais-toi toi-même » montre, une limite des hommes et non des dieux, et que cette limite est en notre connaissance.

Cette limite dans ce contexte si, propose une limite par rapport à nos responsabilité, chez Platon aussi dans la république ce « Connais-toi toi-même » correspond à la connaissance de l’homme et de son âme, et donc de sa conscience à pouvoir réfléchir car il est un être raisonnable.

Pour Descartes, la.... »