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Pourquoi lire ?

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« Souvent les élèves se sentent « obligés » de lire, ils doivent lire une tragédie, un roman parce que leur professeur ou leur maman l'a demandé => punition.

Cependant, force est de constater que tout le monde a été au moins une fois dans sa vie touché, retourné, intéressé par un livre, un texte, un poème. Qu'apporte la lecture ? Pourquoi prendre un livre plutôt qu'allumer la télévision ? I- La lecture et la société A- Lire pour vivre On ne peut pas vraiment trouver sa place dans la société si on ne sait pas lire.

Dès l'âge de 6 ans, on apprend à l'enfant à lire. Lecture => apprentissage de base.

Est partout : annuaires, plan de métro, noms des produits et de leurs composés... Lire : lire le journal, se tenir informé.

Lorsque l'on ne sait pas lire => fragilité, on peut être manipulé plus facilement. B- L'école La/le professeur de français demande régulièrement aux élèves de lire => lecture des « classiques ». R : parfois, la lecture est considérée comme une pénible obligation – parce que c'est incompréhensible, trop long... (lire Cinna ou Les Misérables...). • Ouverture d'esprit, réflexion à partir des oeuvres.

La lecture permet aussi d'enrichir son vocabulaire et d'améliorer son orthographe. => Bases de la culture commune.

Tous les petits Français sont censés connaître un pièce de Molière, un fable de La Fontaine, un conte de Daudet... C- La culture Lire permet d'apprendre, de découvrir.

En lisant, on étudie => livres sur la biologie, la médecine, les fourmis, la psychologie... • Envie de se cultiver (pour ne pas sembler idiot). • Pour connaître la vie d'une personne importance, un événements historique...

(biographie, livres d'histoire...). ∆) La lecture est un passage obligé dans la vie courante, cependant lire un livre peut être aussi un source de plaisirs. II- Le plaisir de la lecture A- L'évasion Roman, pièce de théâtre, poésie...

: évasion du lecteur. La littérature fait oublier les soucis l'espace du temps de la lecture le réel.

Évasion. • Cf.

les robinsonnades du XIXE siècle : Les Nouveaux Robinsons suisses et toute la vogue des histoires qui se déroulent sur une île déserte loin de tout.

Exotisme. • Longues description au XIXE qui font rêver les lecteurs.

À l'époque, pas de télévision : il faut s'occuper.

On plonge ainsi dans le Paris de la Restauration avec Balzac. • On rêve avec le héros.

Cf.

Emma Bovary qui lit elle-même beaucoup. B- Le travail de la forme L'oeuvre littéraire plait par sa forme.

Beauté du texte : la poésie. =>L'oeuvre littéraire plait par sa forme.

Beauté du texte : Cf.

les règles très strictes de la poésie classique.

La poésie est un artifice, un art du langage visant à suggérer et à faire connaître quelque chose par le rythme, l'harmonie et l'image. • Cf.

les règles très strictes de la poésie classique.

Vers, rimes, jeux sur les sonorités.

Travail de la forme.

« Le principe de la poésie est, strictement et simplement, l'aspiration humaine vers une beauté supérieure » Baudelaire. Ex : « Harmonie du soir » de Baudelaire (pantoum irrégulier, dérogeant à la règle sur deux points : il est en alexandrins, et ses dernier et premier vers ne correspondent pas).

Pantoum => cette forme fixe permet d'introduire une musicalité particulière au poème.

Énorme travail de forme du poète. C- L'invitation au voyage La poésie est un artifice, un art du langage visant à suggérer et à faire connaître quelque chose par le. »

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