Aide en Philo

est ce qui faut philosopher pour bien vivre ?

Publié le 10/04/2024

Extrait du document

« PHILOSOPHIE Terminal B « L’importance n’est pas de vivre mais de bien vivre » Socrate. Ce que Socrate déclare à la fin de son procès pour expliquer à ses amis qu’il préfère boire la ciguë plutôt que de s’enfuir pour échapper à sa condamnation à mort ! Le philosophe exprime ici l’idée que ce qui donne du sens à la vie d’un être humain, c’est d’agir pour défendre ce qu’il croit bon, jusqu’à en mourir s’il l’estime nécessaire.

Il ne s’agit donc pas simplement de vivre, mais de vivre “bien”, c’est-à-dire par et pour des valeurs.

Par définition, la philosophie étymologiquement est l’amour de la sagesse qui veut dire l’amour du savoir.

Philosopher c’est la faite de se mettre en réflexion pour acquérir le savoir.

Les philosophes voudraient devenir sage mais ne sont pas sage.

Ils sont en perpétuelle recherche de cette voie Cela c’est pourquoi souvent les philosophe sont d’accord sur la question « est ce qui faut philosopher pour bien vivre ? ».

La question de la nécessité de philosopher pour bien vivre pose un défi fondamental quant à notre approche de la vie et à la recherche du bonheur.

La philosophie, souvent considérée comme une discipline abstraite, peut sembler éloignée des préoccupations quotidiennes.

Cependant, dans cette dissertation, nous examinerons l'idée selon laquelle la pratique de la philosophie peut être une voie cruciale vers une vie épanouissante. Pour commencer on va montrer que philosopher est important pour bien vivre.

Mais ensuite on verra qu’il y a des limites et aussi d’autre chose qui peut nous emmener à bien vivre. Philosopher est importante pour vivre.

Chaque homme a besoin de ça réflexion pour se découvrir ou découvrir le monde. Pour commencer la quête du bien vivre se passe dans la vérité et la recherche de sois même.

Comme a cet instant ou on cherche la vérité a une problématique.

Descartes, s’inspirant de Platon, décrit la vérité comme « en droit antérieure à son acceptation », c’est-à-dire à sa reconnaissance.

Ce faisant, il s’appuie également sur la définition médiévale selon laquelle la vérité est l’adéquation de la chose et de l’intellect ou de l’esprit (veritas est adoequatio rei et intellectus).

Le vrai nous apparait ainsi par « La lumière naturelle ou intuition de l’esprit », entendu comme connaissance rationnelle et immédiate.

De ce fait, la première vérité et celle du cogito (je pense), qui échappe au doute le plus radical.

Quand bien même mes pensées ne seraient qu’erreur ou illusions, c’est bien en elle que résident le vrai et le critère du vrai.

C’est dans l’intuition de l’évidence des idées claires et distinctes que Descartes situe le critère du vrai.

La science répondrait à notre désir de vérité par ses théories, règles constantes régissant le réel et le rendant intelligible.

La morale nous imposerait la véracité comme une modalité du respect que nous devons à autrui.

C’est grâce à la nôtre réflexion qu’on rend nos pensées intelligibles car rationnel a nous même et qu’on puisse devenir NOUS avec nos idées et nos désirs.

Est-ce ne que serait pas ça le bonheur savoir qui ont est vraiment et se que l’on veut vraiment.

La vérité serait, par excellence, ce que nous désirons savoir.

La valeur de la vérité est attestée par le sentiment agréable que nous éprouvons lorsqu’une erreur est corrigée, qu’une incertitude est dépassée.

Nous attachons à la vérité non seulement une valeur pratique (maîtrise du réel) mais une valeur morale (mépris pour le mensonge).

"Une belle femme a tout de même quelque chose de commun avec la vérité : toutes deux donnent plus de bonheur lorsqu'on les désire que lorsqu'on les possède." Nietzsche. Le concept de vie bonne se définit par la possession, la poursuite ou l'exercice des biens (qu'il s'agisse de la contemplation, de la richesse, de la sagesse ou de la vertu).

La sagesse provient de sage que tout les philosophe veut être.

Selon Aristote, toute activité humaine ne vise que le bonheur, mais le sage, qui a pour ambition d’élever son esprit, représenter son bonheur le plus élevé, à savoir le plus louables pour l’humanité, qui poursuit aucun intérêt extérieur et n’utilise pas son intelligence pour dominer les autres.

Le sage est une contemplation.

Sa démarche est divine.

Tandis que le bonheur est défini par les états mentaux que procure la possession de ces biens. « Pour les honneurs, le plaisir, la pensée et toute espèce de mérite, nous ne nous contentons pas de chercher à les atteindre en euxmêmes, nous les cherchons aussi en vue du bonheur, car nous nous figurons que par eux nous pouvons l’obtenir.

» Aristote Mais le bonheur peut être dans la réflexion et donc l’acceptation active du monde.

Pour les stoïciens, être heureux signifie désirer les choses telles qu’elles sont.

Ce consentement ne doit pas être pris comme une résignation, mais comme la prise de conscience pour le bonheur dépend du seul jugement et de la volonté.

« Être heureux ne signifie pas que tout est parfait.

Cela signifie que vous avez décidé de regarder au-delà des imperfections. » Aristote.

Les stoïciens estiment qu’il n’y a pas de bonheur possible sans vertu.

Pour Aristote il y a deux éléments dans la vertu : Il y a donc en fait deux éléments dans la vertu : une vertu intellectuelle, qui s’acquiert par l’éducation et une vertu morale, qui s’acquiert par l’habitude de bien agir.

La vertu qui conduit au bonheur est donc l’habitude d’une activité bien pensée.

Donc on peut retenir que les plus important : pour atteindre son plein potentiel d’être humain, il faut se montrer rationnel et posséder certaines vertus morales, tout en cherchant un équilibre entre les extrêmes.

Le bonheur est donc une forme d’équilibre entre une vie bien vécue et épanouissante et la recherche du bien commun.

« Le bonheur nous est même en quelque sorte accessible à tous ; car il est possible pour tout homme, à moins que la nature ne l’ait rendu complètement incapable de toute vertu, d’atteindre au bonheur par une certaine étude et par des soins convenables » Aristote.

La vertu d’un homme, ce qui distingue des animaux, est de faire bon usage de sa raison pour bien penser et bien agir.

« Ce qui élevé un homme par rapport un animal, c’est la conscience qu’il y a d’être un animal.

Et du fait qu’il sait qu’il est un animal, il cesse de l’être.

Pour les stoïciens, nous possédons une liberté intérieure qui s’appui sur le bon usage des représentations des idée du monde s’offrant à notre esprit, qui ne dépende pas de nous comme le temps.

Au lieu de subir faut l’accepter et juger librement. Pour finir les philosophes peuvent détermine la philosophie comme une médecine de l’âme.

Pour Epicure, le bonheur est le sésame à posséder : « lors qu’il est à nous, nous avons tous, et quand il nous manque, nous faisons tout pour savoir » citation qui provient de la lettre à Ménécée d’Epicure.

L’épicurisme est une invitation à faire un usage raisonnable de notre pensée pour identifier ce qui nous rend heureux.

Ce qui nous permet d’atteindre l’ataraxie, c’est-à-dire la tranquillité de l’âme.

C’est pourquoi la philosophie comme connaissance rationnelle est considérée par Epicure comme une thérapeutique de l’âme et c’est ce qui fait qu’elle est utile.

En effet, elle ne doit pas constituer un verbiage inutile, mais doit soigner et guérir l’âme des maux qui l’affligent, que sont les inquiétudes et les craintes.

La philosophie n’est qu’une étape vers la découverte d’un plaisir car les crainte dissipées, le bonheur n’est pas encore présent.

En effet, ce qui cause notre malheur et trouble aussi notre âme, c’est notre hiérarchie des valeurs, qui consiste à prendre le superflu pour l’essentiel.

D'où la nécessité de distinguer les différents genres de désirs afin de reconnaître ceux qui sont vraiment nécessaires.

Toutefois, si la philosophie enseigne l’apprentissage du plaisir, elle nous apprend avant tous à faire un bon usage de ce dernier.

Pour cela, il faut essayer de se contenter de peu de chose. L’absence d’excès amène une juste mesure du plaisir.

Le plaisir devient constitutif de la stabilité de l’âme. En conclusion, bien que la nécessité de philosopher pour bien vivre puisse être débattue, la pratique de la.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles