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Comment connaissons-nous autrui ?

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« ·DE LA LIBERTÉ .

ET DE LA BÉATITUDE La Raison, comme on vient de le voir, déjà n,ous delivre et nous sauve de la tristesse.

Au fond, c'est Dieu qui nous sa tl ve et nous délivre.

Si nous n'étions pas eu Dieu, si nous n'étions pas une partie de la.

pensée.

infinie de Dieu, nous ne pourrions en- . -chaîner correcteme~tles unes aux autre~ des idée~ ilternelles comme le cercle et la sphère, ni déduire -d e leurs définitions leurs propriétés nécessairès.

Ge il 'est pas en effet.

en tant quenoÙs affirmons, d'après l es modifications de notre c,orps, la présence d'tin .

·-€tre à tel moment et pendant une certaine durée, ·que nous pouvons avoir quelque idée adéquate ·: fa . -connaissance des événements est;· pour l'homme, ,nécessairement ·et par n~ture inadéquate.

C'est -parce que Dieu est, et pa1·ceque notre âme, ën tant· qu'idée, participe de la nature éternelle de Dieu, que nous pouvons trouver dans l'usage de la Raison .une existence supérieure à côté de laquelle nos .

·passions sont déjà peu de chose.

Seulement, tant · qùe nous n'avons pas rétlechi sur les conditions du ' ·\'rai, nous pouvons ignorer tout cela, nie.r Dieu et l'éternité de l'âme, èt néanmoins vivre selon la Raison.

Beaucoup d'hommes vivel}t, ainsi heureu~ par Dieu en ignorant Dieu, et libres par la Pensée "ans savoir ce que c'est que la Pen~ée; Et, pendant. »

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