Quel profits tire t on de la lecture des œuvres littéraires ?

« Quel profits tire t on de la lecture des œuvres littéraires ? Claire Genoux, écrivaine et poétesse du 21e S prétend que « Lire, c'est partir à la recherche d'un univers ».

Elle affirme que la lecture sert à sortir de notre univers, c’est-à-dire de notre vision du monde qui nous entoure.

Sortir de ce monde peut nous permettre de se plonger dans un autre univers qui parfois peut nous aider à échapper à la vie quotidienne, ou encore découvrir d’autre point de vue du monde qui nous entoure à travers le regard des artistes.

Une œuvre littéraire est donc une création qui exprime une intention de communiquer à des fins esthétiques.

Elles racontent souvent une histoire à la première ou à la troisième personne.

Elles peuvent appartenir à différents genres, tels que le récit, la lyrique, le drame, l’épique ou la didactique.

Cet art peut être écrit, orales, mais elle peut également être tactiles comme le braille.

C’est de cela dont Marcel Proust nous parle dans son roman le temps retrouvé publié en 1927. Proust nous affirme « par l’art seulement nous pouvons sortir de nous, savoir ce que voit un autre de cet univers qui n’est pas le même que le nôtre ».

Par cette citation, Proust nous affirme que l’art est l’unique moyen de comprendre une vision du monde autre que la nôtre.

On s’aperçoit donc que Proust valorise l’art. Ce qui nous amène à nous demander quel profit tire-t-on de la lecture des œuvres littéraires ? Certes les œuvres d’art enrichissent le lecteur en lui proposant les regards personnels des écrivains sur le monde, mais, cet enrichissement ne va pas de soit parce que l’œuvre littéraire ne dispense pas un message explicite et direct sur le monde. Les œuvres littéraires enrichissent le lecteur notamment en étant capables d’attirer l’attention du lecteur sur des aspects du monde qu’il ignore.

En effet, si l’on prend comme exemple Le journal d’Anne Franck d’Anne Franck, qui est le journal intime de l’autrice où elle raconte son enfance de petite fille juive durant la seconde Guerre Mondiale en Allemagne.

Le Journal d'Anne Frank se présente comme un symbole d'un fait que l'humanité ne peut pas nier qui est le génocide des juifs pendant la seconde guerre mondiale.

Il raconte de manière simple les souffrances et les peurs de huit personnes qui doivent partager les deux dernières années de leurs vies dans la clandestinité.

Ce journal autobiographique a permis de comprendre ce que pouvait ressentir un enfant juif lors des persécutions sous le gouvernement de Hitler.

Les témoignages et journal de ce genre permettre de comprendre une partie de l’Histoire et de comprendre ce que pouvait ressentir des personnes qui fait partie de l’Histoire de façon directe ou indirect.

Le fait d’avoir ces œuvres littéraire disponible au grand plus public a permis au différent lecteur d’en apprendre plus sur la vie en Allemagne durant la seconde guerre mondiale. Ensuite, les œuvres littéraires utilisent la fiction pour fournir une interprétation du monde littéraire.

De nombreuses œuvres tels que « La cantatrice Chauve » d’Eugène Ionesco paru en 1950 fournissent une interprétation du monde littéraire puisque selon lui, les personnages ne sont que des pantins.

Dans cette pièce de théâtre, Eugène Ionesco utilisent la fiction pour fournir une. »