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memoire L’impact de la lecture

Publié le 09/04/2024

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« Thème : L’impact de la lecture sur la compétence scripturale - Cas des élèves de la 2ème Année moyenne. Présenté par : Sous la direction de :  DJERMANE CHAHINEZ.  Madame Ben Hmed Hadda Devant le jury :   Président : OUAHAB SALIM Examinatrice : BOORHAN ZINEB Remerciements : Je tiens tout d’abord à remercier chaleureusement mon encadreur madame Ben hmed Hadda pour son aide précieuse et tous les conseils qu’elle n’a cessé de me prodiguer tout au long de mon parcours, et monsieur Saker pour son aide et à ma cousine Samra. Dédicace Je dédie ce travail à mon père et à ma mère qui n’ont jamais cessé de se donner corps et âme pour ma réussite, à mes frères et sœurs et toute la famille. PARTIE THEORIQUE.  Contexte théorique de la recherche………………………….……06 Chapitre I :……………………………………………………………….07 1234- Qu’est ce lire ?...........................................................................................07 Les objectifs de la lecture…………………………………………..……09 Le rôle de la lecture dans l’apprentissage du FLE………………………10 De la difficulté liée à l’acte de lire………………………………….…...13 Chapitre II 1- L’écriture : définitions et modèles théorique…………………………...16 2- Mécanismes cognitifs à l’acte d’écrire…...…………………………….17 3- L’écriture comme théorie d’un véritable apprentissage………………..19 CHAPITRE III : L’interaction lecture / écriture 1- La lecture et l’écriture, une relation intime…..………………………………………………………………21 2- Lire et écrire : les représentations des élèves….……………………………………………………….……….23 La partie pratique :………………………………………….…….….25  Présentation du corpus…………………………………………….….25 CHAPITRE I :  Activité de lecture…………..…………………………………….…27 1- Présentation et analyse du cours de la lecture………….............………..27  Activité de l’écriture………..………………………………….……30 1- Relever et analyse des erreurs ………..…………………………………30 CHAPITRE II : 1- Résultats, analyse des résultats….……………………….……….…….66 2- Interprétation des résultats …………………….………………….……72 Conclusion général ………….………………………………….….…..74 Introduction Introduction générale : La lecture constitue l’un des deux outils indispensables à toute éducation scolaire, mais avec l’évolution de la langue beaucoup d’études ont permis d’attirer encore davantage sur cette compétence. La lecture est généralement perçue comme une composante spécifique de l’apprentissage ou un domaine de compétence au même titre que la production écrite. Apprendre à lire, c’est apprendre l’utilisation d’un code qui est doublement articulé :  Idéographique : il établit une liaison entre les graphèmes et les idées.  Grapho phonétique : il établit une liaison entre les éléments du langage écrit et les évènements du langage parlé. Il ne s’agit donc pas seulement d’enseigner la lecture en tant que comportement mécanique, mais de promouvoir certaines attitudes en face de la lecture, certaines dispositions de la personnalité. L’élève doit apprendre à lire de façon à ce que cette activité lui soit utile par la suite, qu’elle devienne spontanée, libre, volontaire, autonome. En outre, elle ne doit jamais être coupée des autres activités d’expression et de communication. Donc lire, C’est être capable de déchiffrer un message écrit.

C’est aussi observer un ensemble de signes de quelque nature qu’ils soient, pour appréhender le sens. Ainsi peut-on dire qu’on lit une image, un tableau, un paysage…ect L’acte de lire vise plusieurs objectifs qui sont : 1 Introduction La construction du sens, mise en communication de la lecture avec celui qui a écrit le texte, d’une part, et d’autre part, avec les réalités auxquelles renvoie ou fait référence le texte. Pour Evelyne Charmeux : « lire, c’est tenir dans une situation de communication différée, le rôle de récepteur » De la nous devrons faire appel a un autre acte essentiel, celui d’écrire. Et quand nous parlons d’écrire c’est savoir communiquer par écrit ; dans une situation de communication, il s’agit de réunir les caractéristiques suivantes : un émetteur, un récepteur, un canal, un contexte, un message. Actuellement, les pratiques les plus répandues fonctionnent sur l’hypothèse implicite que l’école va permettre aux élèves d’apprendre à lire et à écrire en les entrainant sur les exercices qui doivent faciliter l’acquisition d’un savoir lire et d’un savoir écrire qu’ils pourront ensuite utiliser tant à l’école qu’en dehors. Or, tout le monde constate que de très nombreux élèves rencontrent des difficultés pour faire face à des situations qui mettent à l’œuvre leurs compétences de lecture et d’expression écrite. Nous pensons qu’on ne peut apprendre à communiquer qu’en expérimentant des situations de communication et cela parce que le fait d’inscrire les activités de lecture/écriture (projet unissant un E, un D et un enjeu) oblige l’élève à découvrir et a construire un comportement de lecteur / producteur de textes. Or, les connaissances spécifiques portant sur les connaissances phonie/graphie, la grammaire, le vocabulaire ou l’orthographe ne garantissent pas pour elles mêmes les compétences de communication. 2 Introduction Pour être lecteur ou producteur de textes, il faut être capable et avoir envie de résoudre un problème qui se pose : Comment dois-je faire pour obtenir telle information contenue dans un texte pour venir à bout de la tache qui m’est proposée ? Comment dois-je faire pour fournir telle information à ce destinataire au moyen d’un écrit ? Lire et écrire sont deux apprentissages indissociables, il est important donc de les considérer comme interactifs. Exemple : Mon élève, qui, pour mieux écrire un conte et qui a acquis des connaissances sur les caractéristiques de ce type d’écrit, sera en mesure de centraliser ces connaissances pour lire efficacement d’autres contes. Notre travail est centré sur l’amélioration de l’écriture à partir de la lecture, et pour procéder et éclairer cet intitulé nous poserons la question suivante : Est-ce que les élèves de la 2eme année moyenne réinvestissent leurs acquis de la lecture dans leurs productions écrites ? Notre problématique contient des questions secondaires :  Quel est le fait de langue qu’il faudrait privilégier pour atteindre cet objectif? En d’autres termes : parmi les activités présentées doit on se focaliser sur le vocabulaire la grammaire ou l’orthographe ?  Comment exploiter le texte écrit, le document authentique au début du projet didactique pour améliorer la production écrite des apprenants à la fin du même projet ? 3 Introduction La majorité des apprenants seraient influencées par le texte d’origine qui leur semblera plus familier, il y aurait alors plusieurs productions identique et dans le fond et dans la forme. Les apprenants intérioriseraient des structures linguistiques propres au type du texte étudie sans en connaitre le sens ni la portée. Il est évident que le choix de ce sujet n’a pas été une coïncidence, d’autant plus que le français, en tant que langue enseignée, depuis l’indépendance, n’a pas vu son statut pleinement clarifié, berçant toujours dans une situation quelque peu floue. Bien qu’il occupe depuis toujours une place fondamentale, pour ne pas dire privilégiée dans notre société, et ce dans plusieurs secteurs : social, économique, éducatif ; nous pouvons dire que le facteur initial qui nous a motivés a choisir ce sujet c’est la négligence de la lecture de la part des apprenants surtout après l’apparition de plusieurs moyens qui peuvent occuper le temps libre des apprenants comme le facebook, le téléphone portable, twitter,,,etc. Donc avec ce choix nous allons essayer de mettre la lumière sur l’importance de la lecture d’un coté et comment mettre en pratique les acquis de cette dernière dans la production écrite d’un autre coté. Nous avons dessiné notre travail en deux grandes parties « Une partie théorique » englobant trois chapitres et une partie pratique qui est repartie en deux chapitres. Notre partie théorique s’articule autour de 3 chapitres : Le 1 er chapitre sera consacré à la lecture, à sa définition, à ses objectifs, à son rôle dans l’apprentissage du FLE et les difficultés liée à l’acte de lire. 4 Introduction Dans le 2eme chapitre nous proposons des définitions et des modèles théoriques qui touchent l’écriture, nous présentons des mécanismes cognitifs liés à l’acte d’écrire et présenter l’écriture comme témoin d’un véritable apprentissage. Dans le 3eme chapitre nous ferons l’interaction lecture / écriture en abordant en premier la relation intime entre la lecture et l’écriture, ensuite dans le même chapitre, nous donnerons également un bref perçu sur les représentations des élèves. Nous entamerons la partie pratique par le rappel des principaux objectifs et des grandes lignes du code théorique de notre expérimentation. Ensuite nous présentons les principales hypothèses aves les unités d’analyse puis la méthode. Le chapitre I il est consacré à la présentation, à l’analyse, en effet deux analyses sont successivement présentées. L’analyse du cours de la lecture. L’analyse des erreurs de la production écrite des élèves de la 2 eme moyenne. Suite à ces analyses, nous proposons dans un 2 eme chapitre une interprétation générale qui prend en compte les variables dépendantes de l’expérience menée auprès de 20 élèves de la deuxième année moyenne. 5 Partie théorique I- Partie théorique PARTIE THEORIQUE :  CONTEXTE THEORIQUE DE LA RECHERCHE Les programmes officiels relatifs à l’enseignement au cycle moyen précisent que « dès le cours de la première année moyenne, les élèves s’entraînent à déchiffrer et à écrire seuls des mots déjà connus.

L’articulation entre lecture et écriture est indispensable à cet apprentissage.

Cet entraînement conduit progressivement l’élève.... »

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