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lecture analytique le rouge et le noir: singularité de Julien Sorel

Publié le 06/11/2022

Extrait du document

« LA 1 Intro : Henri Beyle, plus connu sous le nom de Stendhal, écrit son deuxième roman, Le Rouge et le Noir, en 1830 ; le roman, sous-titré "Chronique de 1830", paraît juste après la révolution de juillet.

Il est divisé en deux parties : la première retrace le parcours de Julien Sorel en province, dans une petite ville nommée Verrières, puis à Besançon ; elle nous expose plus précisément son entrée chez les Rênal, et sa passion avec Louise de Rênal, de même que son séjour dans un séminaire ; la seconde partie porte sur la vie du héros à Paris comme secrétaire du marquis de La Mole, et la passion qu'il a avec sa fille, Mathilde.

Dans ce roman, nous assistons à l'ascension et à la chute d'un personnage ambitieux. Extrait : Dans cet extrait, nous sommes justement au début du roman, au chapitre IV, lorsque le jeune Sorel apparaît pour la première fois.

L'auteur choisit de nous le montrer dans son milieu d'origine puisqu'il se trouve à la scierie, avec son père.

Il accentue ainsi le décalage qui existe entre Julien et le monde dans lequel il vit. Problématique : Quel portrait le narrateur nous dresse-t-il du personnage ? / En quoi ce portrait met-il en évidence la singularité de Julien Sorel ? Plan : I/ la relation douloureuse, le décalage père-fils - II/ description physique et morale de JS - III/ évocation et rôle du chirurgien-major dans l'éducation de J.S I/ L.1-2 : le pr.

personnel « il » désigne Julien qui vient d’être blessé par son père qui l’a surpris en train de lire au lieu de surveiller la scie.

L’émotion est visible « les larmes aux yeux », mais le narrateur donne une précision : « moins à cause de…que pour… ».

En effet, bien que blessé, ce n’est pas « la douleur physique » qui explique les larmes du personnage.

La cause est « la perte de son livre » Il s’agit d’un ouvrage important pour Julien puisque le narrateur utilise le verbe « adorait », verbe renvoyant au voc religieux L.

3-8 : la parole est ensuite donnée au père de Julien, avec le discours direct. Dans les paroles rapportées, on constate l’emploi d’un verbe injonctif « descends », conjugué à l’impératif, complété par une apostrophe « animal » qui désigne Julien.

Ordre du père au fils.

Ça dévalorise Julien Violence verbale qui annonce la violence physique Un champ lexical est présent, celui de la violence : avec l’arme « longue perche pour abattre les noix », les verbes d’action « l’en frappa » et « poussa », l’adverbe « rudement.... »

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