étude linéaire pour le bac: : Les fées, Charles Perrault, 1697

« Texte 1 : Les fées, Charles Perrault, 1697 Perrault, 1697 Le 17e se po.rto.ge entre le bo.roque et le do.ssicisme et Cho.ries Perrault en .Po.it justement po.rti.

Il s'est spécio.lisé do.ns un genre très à. !o.

mode o.u 17e : le conte de .Pées.

Il réunit ses contes do.ns un recueil Les contes de rna rnère /'Oye po.ru en 1697.

Po.rmi ces contes, on retrouve Cendrillon , Le petit Poucet , mo.is nous o.llons nous intéresser o.u conte Les Pées .

Do.ns ce conte, il est question d'une .Po.mille divisée en 2 co.tégories.

C'est une .Po.mille où règne lo.

disho.rmonie, les conflits.

Donc comment Cho.ries Perrault délivre-t-il so.

visée dido.ctique? Pour répondre à.

cette question, nous verrons tout d'o.bord !o.

présento.tion de lo.

-Po.mille, ensuite nous étudierons lo.

rencontre entre !o.

co.dette et !o.

.Pée, en-Pin nous o.no.lyserons lo.

réo.ction de lo.

mère. ~ Axel Le texte commence po.r une formule traditionnelle il éto.it une .Pois (LI).

C'est une tournure présento.tive impersonnelle qui plo.ce do.ns l'intemporalité, on ne so.it ni lo.

do.te, ni l'époque.

C'est une formule qui introduit les contes et le merveilleux.

Ensuite on nous présente !o.

-Po.mille dont il vo.

être question.

Une .Po.mille exclusivement féminine veuve , deux .Pilles (LI).

Lo.

présento.tion se poursuit sur les lignes suivo.ntes.

On comprend que cette .Po.mille est divisée en 2 deux.

1er do.n: l'o.inée et lo.

mère (LI) et 2e do.n : !o.

co.dette (L3) qui est o.ssociée à.

l'imo.ge de son père.

On nous présente tout d'o.bord le binôme entre l'o.inée et !o. mère.

Le no.rrateur insiste sur les points communs à.

!o.

.Pois po.r une compo.raison ressemblo.it (LI) et un po.ro.llélisme o.ux lignes I et 2 et d'humeur et de viso.ges .

On voit qu'elles se ressemblent physiquement et mento.lement.

A po.rtir des lignes 2 et 3, le no.rro.teur insiste sur leurs co.ractères repousso.nts, o.socio.l o.vec un po.ro.llélisme si déso.gréo.ble, si orgueilleuses .

Le coté o.socio.l est mo.tério.lisé gro.mmo.tico.lement po.r !o. proposition subordonnée circonsto.ncielle de conséquence Qu'on ne pouvo.it vivre o.vec elles (L3-4).. »