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etude lineaire Gargantua

Publié le 04/01/2024

Extrait du document

« Etude linéaire n°1 Introduction : Gargantua, un roman de François Rabelais a été composé au 16 siècle, il mêle à la foie le sérieux et la fantaisie dans un registre burlesque, il reflète les préoccupations humanistes de l’époque.

C’est un roman de formation dans lequel le narrateur raconte l’enfance et les exploits d’un géant de sa naissance jusqu’à l’âge adulte.

Dans cet extrait, le narrateur décrit la seconde éducation de Gargantua, celui-ci a reçu une première éducation par maitre Thubal Holophere et Jobelin Bride, tout les deux des sophistes.

Elle a eut comme effet de le rendre niais, rêveur et sot.

A travers cette première éducation, Rabelais a effectué une satire de l’enseignement traditionnel.

Grandgousier considérant l’échec de la 1er éducation décide de confier son fils a un précepteur humaniste, Ponocratès, son nom signifie « travailleur acharne ».

Celui-ci commence par observer Gargantua, puis purge son cerveau grâce a l’hellébore de manière a ce que Gargantua oubli l’éducation de ces premier précepteurs. Puis, il conçoit pour lui un nouveau programme éducatif, c’est ce qu’on va voir dans ce passage. e Pour étudier ce texte nous nous demanderons en quoi ce programme est humaniste, Pour cela nous ferons une explication linéaire Composition : - ligne 1-5 = Présentation de nouveaux principes pédagogiques, de nouvelle méthodes ligne 6-14 = Education complète (religion /astronomie) ligne 15-25 = Mise en œuvre et réinvestissement de toutes les facultés Première partie : Pour corriger l’éducation de Gargantua, son précepteur le place dans un nouvel environnement plus favorable « les milieux des gens savant qui se trouvaient dans les environs », c’est un environnement intellectuel plus enrichissant, on peut noter l importance du contact avec autrui pour le sociabiliser, les échanges vont favoriser l’émulation, il s’agit aussi de lui donner le plaisir d’étudier, l’envie d’apprendre, de le stimuler.

Le but de cet éducation apparait dès la première ligne à travers le complément circonstanciel de but « pour mieux réussir ».

Il faut lui donné envie d’apprendre, de se perfectionner de façon a amélioré son éducation.

Le complément circonstancient de manière « tout en se mettant en valeur » révèle l’importance de prier en société de façon a être capable d’occuper la fonction de prince.

Rabelais insiste sur l’organisation précise du programme, sur son exigence.

Nous avons une insistance sur le fait qu’il ne perdra pas un seul moment de répit, qu’il ne se sera pas oisif « Panocratès le soumit à un tel rythme d’étude que Gargantua ne perdait pas une seul heure de sa journée mais qu’il consacrait tout son temps aux belles-lettre et à l’honnête savoir».

Les belles lettres montrent l’éloge du savoir qui associt les grands textes et la morale selon les idéaux humanistes. Deuxième partie : Nous avons une description d’une journée de l’élève à la ligne 6.

L’emploi de l’imparfait montre que de nouvelles habitudes sont missent en place.

L’emploi du temps est precis, ces actions sont simultanées, cela montre qu’il n’a pas de temps mort, la simultanée apparait par la proposition subordonnée conjonctive circonstanciel de temps « pendant qu’on le frictionnait ».

Ces deux proposition montrent qu’on associt l’âme, le corps et la religion a travers la proposition principale « quelqu’un lui lisait une page des sainte écritures », c’est un.... »

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