Devoir sur l’utopie

« Devoir sur l’utopie Je me réveille sur cette plage de sable fin au son des douces vagues, mes yeux s’ouvrent et le soleil me frappe directement, a-t-elle point qu’il me faut plusieurs secondes avant que ma vision ne me vienne nette.

En observant mon environnement je découvre avec étonnement que je ne suis plus près de mon petit cabanon sur la cote mais sur une île, le vaste océan devant moi ne fait que confirmer mes pensées, je suis coupé du monde. La panique monte en moi alors que je réalise la situation dans laquelle je suis.

Avec une vitesse fulgurante je me lève et commence à marcher le long de la plage; après ce qui semble être une vingtaine de minutes mon regard tombe sur un chemin.

En regardant de plus près, je remarque qu’il s’étant jusqu’à loin dans la Forêt, d’une telle manière que je ne peux pas en voir le bout. Je commence donc à m’enfoncer dans la Forêt, et peu à peux le paysage change.

Je passe d’une vue tropicale pleine de palmiers, de litchiers et d’anthuriums à ce qui me semble être des Hortensias bleu.

Plus j’avance plus le paysage change et de nouvelles plantes font leurs apparition telle que des belles fleurs blanches en formes de clochettes; le ciel au dessus de moi commence à ce faire a nouveau voir et il est accompagné de nouvelles plantes, voilettes, qui tombent en cascades sur une trentaines de centimètres. Cette atmosphère me ravie et calme ma panique précédente, je continue donc à avancer plus sereinement . J’arrive finalement a la fin du chemin, et je me retrouve subjuguer par ce qui ce trouve devant moi…… là, à quelques mètres ce trouve une clairière bordée de fleurs toutes plus colorées les unes que les autres, au centre de celle ci ce trouve une ville immense, composé de plusieurs villas luxueuses abordant des dorures, qui les font paraître encore plus majestueuses. En arrivant à l’entrée de la ville, deux personnes, un homme et une femme, viennent me saluer et m’accueillir tout en commençant à marcher ils me décrivent plus en détails la cité et son fonctionnement. Pour commencer il m’emmène à la librairie, une fois arriver je constate qu’elle est immense et absolument magnifique ce qui me donne envie d’y entrer avec beaucoup d’excitation, à l’intérieur elle est encore plus belle, elle regorge de tout types de livres, dont plusieurs qui datent de centaines d’années. Mes deux accompagnants m’expliquent que la connaissance est illimitée et que tous y ont accès, de plus l’éducation des plus jeunes est obligatoire jusqu’à l’âge de la majorité pour garantir à toute la population le pouvoir de s’exprimer quelque soit l’importance de la situation. Nous partons de la librairie et continuons notre route dans la ville, nous passons devant plusieurs habitats tous aussi imposant les uns que les autres, tout comme ceux qui j’avais observée à l’entrée de la ville.

Lorsque que je demande a mes guides pourquoi les habitats sont tous semblables, ils me répondent que la raison à cela est simple.

Tout les habitant sont égaux, donc tous ont un habitat égal. Après ces bref paroles, nous continuons notre chemin jusqu’à un manoir, si grand.... »