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analyse linéaire les femmes de Baudelaire

Publié le 21/06/2023

Extrait du document

« L҉E҉S҉ F҉E҉M҉M҉E҉S҉ « Les Femmes » est le dernier poème de la section rhénane dans le recueil Alcools écrit par Guillaume Apollinaire en 1913.

Ce poème est composé de neuf quatrains en alexandrins aux rimes embrasées.

(ABBA). Il peint l’intérieur humble et les activités domestiques de la « maison du vigneron » ou des femmes discutent tranquillement en évoquant leur monde familier. Vers 1 à 4 : Une scène de genre pittoresque qui mêle description, carte postale et cliché Vers 5 à 28 : Inquiétude et réconfort ; leur lutte (synthèse intérieur et extérieur) Vers 29 à 36 : Victoire de l’inquiétude et de la mort La présence de fragments de dialogues matérialisés par l’italique nous fait nous interroger.

« Les Femmes » fait il parti du registre de la poésie, du théâtre ou du récit ? I - Une scène de genre pittoresque Scène bucolique.

Vie rurale, CL : vignerons, cousent → cliché sur la vie quotidienne → pas forcément poétique campagne normale avec une connotation de tranquillité cousent : réparent ou crée, remplis le poele, mettre l’eau chauffée.

On tend vers le mieux v.4 à l’extérieur tout va vers le mieux également, carte postale de Rhénanie avec image de la prospérité + 3 prénoms typiques de Rhénanie : Lenchen, Gertrude, Martin Forme est inattendue : opposition entre le narratif / descriptif et les dialogues v.3 rejet de dessus qui peut s’appliquer soit à l’eau du café, soit au chat II - Inquiétude et réconfort ; leur lutte Oscillation entre bonheur + communication et effroi + silence Apollinaire nous décrit un quotidien rassurant avec le quotidien des femmes : elles cousent, préparent le café. Quotidien réconfortant mais l’inquiétude n’est pas loin.

Opposition symbolique entre le rossignol et l’effraie et par l’adverbe mais (v6).

Le rossignol est qualifié par un adjectif dévaluatif : aveugle et par un verbe d’effort essaya de chanter mais en est empêché par l’apparition de l’effraie..

Le rossignol est un oiseau du lyrisme lié à l’expression de l’amour et symbolise le printemps et la joie..

La menace arrive donc de l’extérieur par l’effraie qui dans les croyances populaires annonçait la mort Quotidien rassurant -> langage simple et courant avec : causer (V9), curé (V13) + nouvelles sur des personnages connus de tous : le sacristain, le facteur le nouveau maître d’école. L’inquiétude arrive de nouveau avec la forêt : Personnification avec le verbe chanter et la métaphore de grand orgue (V 14).

Forêt = instrument de musique.

Personnification appuyée par la dénomination Herr (monsieur) et Frau (madame).

Apparition personnifiée mystérieuse du songe et de sa sœur = souci gagne la paix intérieure. L’intérieur reste malgré tout réconfortant par la présence de la nourriture qui est très présente dans le cinquième quatrain : le café (V17), le beurre, les tartines, la marmelade… (V17 et 18). V 17 à 26 : Longue lutte, pied à pied.

Lente défaite des femmes ex : V 19 et 21, Les rapports humains se défont.

la demande présentée deux fois -> constat d’échec.

Si cette demande n’a pas été entendue c’est peut-être à cause du vent, l’ennemi extérieur, qui empêche les femmes de bien percevoir les sons.

Elles ne savent plus ce qu’elles entendent.

C’est une attaque contre la religion.attaque les f dans la religion (foi), lattin mistérieux, on sait que c’est uimportant mais on peux pas comprrendre.

Elles ne savent pluus ce qu’elles croient, dieuu dans la bible ou le vent ? Ext : porte ses coups, sentiments deviennent troublés, cl émotions.

Sent troublé car mélange triste et aime, aspect liées logiquuement entre les femmes contre attaque des femmes : double, 2 femmes qui parlent.

La 1er, la plus faible, imprécation donc appeelle a une force supérieur pour nous défendre, aveuu que seul on est vaicus, impuissance.

2Eme, second degres, ironie, contre attaque par l’humour, antiphrase. Hélas contre attaque immédiate : chute, impose le silence.

En italique, dis par une autre femmes, elless luuttent mtn pour l’exté, elles se soumettent.

Preuve suite : chapelet → comme v.20-23, elles ne savent plus ou est dieu, echo aux pharses latines et imprécation, montrent qu’elles sont vaincues et que seul dieu defaite ddéja là, elles sont soumises v.25-26 défaite dans un new domaine, domaine phy (je tousse et chasse) on parle de maladie et de mort, pas de vie, la m a gagne.

Elle en parelent avec de la musique qui a la trace de la mort.

Comme si elle toussiat en le disant.

Manière irrégulière Dans la voix le mal etre phy de la femme qui parle.

Mtn sucre med, meme les douuceurs sont dev un medi. Fait entendre la mort avec des connno en coeur, dabord la chasse, présence de la mort.

Le furet n’est pas libre, il est soumis a Pierre, foret lieu du danger, de la mort.

Il braconne car furet discret, Pierre pas un notable, un paysand de Rhé, chasse mal connotée aussi.

Que conno néga, chasse interdite, furet pas libre, animaux tuées, la ou la magie est dang v.27 signe vict définitive.

Narrateur évoque la danse de la victoire, danse en rond (pas attaque),.... »

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