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la mondialisation

Publié le 05/12/2023

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« La Mondialisation 1.

Quelle définition donné à la mondialisation On parle souvent d’un village planétaire : Marshall Mc Luhan dès la fin des année 60 pour décrire la mise en réseau du monde par les réseaux qui circule (Par and peace in the global village) Différents réseaux avec des noeud, contraction de l’espace temps qui fait comme si on vivait dans un village.

Village signifie aussi unicité culturelle et abolition des frontières. Suzane Berger : Le monde a connu une première mondialisation qui es un échec car dans l’entre deux guerre il y a eu une sorte de démondialisation. La mondialisation est partout, « depuis les années 80, la mondialisation est devenue le principale horizon de nos attentes et de nos peurs.

» Sur le plan géopolitique on attendait la paix de la mondialisation, le doux commerce de Montesquieu.

Utopie très forte après chute de l’URSS; Mais mondialisation pas que bien accueilli, bcp de contestations antimondialiste dans les années 80 (surtout extreme gauche puis maintenant la droite : Lula puis Trump).

Mondialisation est pas seulement donc une question économique mais aussi politique. Le phénomème est pourtant ancien… Tous sont d’accord que ce processus ne s’est pas forcement tt le temps appelés comme ça mais qui a tjrs existé. « Poussée par le besoin de débouchés tjrs nouveaux, la bourgeoisie envahie le globe entier.

Il lui faut s’implanter partout, exploiter partout, établir des relation sociales partout » , Marx et Engels, Manifeste du parti communiste, 1948 Rencontre entre révolution industrielle, grand capitalisme et du début du libre échange : libéralisation des échanges, abolition des corn laws pour créer un marché des céréales, abolition du Navigation Act pour permettre aux navires étranger d’entre aux Royaumes Unis.

Il y a donc bien une histoire de la mondialisation Définition de la mondialisation (il n’en existe pas une unique) Charles Albert Michalet, faut il être pour ou contre la mondialisation ? Il fait ici référence à ceux qui ont créer le terme de globalization : Theodore LEVITT, « The globalization of Markets », 1983 et Kenichi OHMAE. Les trois D de Levitt : - Déréglementation des marchés - Désintermédiation - Décloisonnement Kenichi : Pour être compétitif a l’échelle mondiale, il faut qu’une grande firme respecte une triade : l’Amérique du Nord, le Japon et l’Europe Orientale.

A l’époque ont parle de la triade et du reste du monde.

Pour qu’un firme soit internationalisé, il faut la triadisé, ce qui est une forme de mondialisation.

Cad qu’il faut avoir des implantations dans ces trois lieux.

Théorie de Anchorage car se trouve à équidistance des trois pôles. Trois éléments de définition : - La mondialisation est un ensemble de flux qui s’accélèrent.

Flux économique et humains donnant naissance à un monde de plus en plus intégrés et interdépendant. - Un processus de long terme qui a connu 3 grandes configurations historique : Internationale, multinationale, puis globale. -internationale : Singer 1870-1914 -multinationale : Ford ( General Motor) Opel -Firme réseau devient firme globale « La firme c’est le microcosme du capitalisme » F.

Perroux (la plus petite unité) - 5 dimensions de la mondialisation : - Commerciale : première advenue historiquement mais aujourd’hui c’est pas le plus importante.

C’est le commerce des marchandises (25% du PIB mondiale) et des services - Financière : marché financier le plus intense c’est celui des monnaies. En 5 jours on échange autant que le marché financier qu’en 1 an sur le marché commerciale - Entrepreneuriale : El-Mouhoub Mouhoud : liberté de localisation des firmes dans l’espaces globales (des bureaux ou des usines). - Informationnelle : tout types d’informations qui circulent via les médias, internets et logiciels.

S’accompagne d’une mondialisation culturelle - Migratoire : la plus limité des 5 dimensions, contrairement a ceux que l’on peut penser ( 3,5 % de la population a migré ) La mondialisation pour Jacques Adda : - un procesus de contournement, de délimitement et pour finir de démantèlement des frontières physiques et réglementaires - Un processus qui transcende le logique d’un système interétatique à laquelle il substitue une logique de réseau transnationaux - Parler de mondialisation, c’est évoquer l’emprise d’un système économique, le capitalisme sur l’espace mondial Certain pensent que mondialisation processus complètement organisé pour casser l’état providence et permettre l’enrichissement des chef d’état et des élites.

Abouti à des théorie du complot De la mondialisation à la globalisation 1/ La “globalisation” peut être synonyme de mondialisation, désignant l’intensification des flux d’échanges de biens matériels et immatériels, favorisant l’avènement d’un “territoire-monde” et d’une “société-monde”. 2/ La globalisation peut désigner la phase récente de la mondialisation, renvoyant alors à la métamorphose d’un capitalisme émancipé du cadre national, postfordiste et financiarisé, dans un contexte idéologique néoliberal. 3/ En évoquant le « global » les anglophones font également référence à la révolution numérique qui autorise les acteurs (individus, ONG, terroristes, entreprises, etc.) à communiquer en temps réel indépendamment de leur localisation géographique La Glocalisation : think local, act global Terme forgé par le pdg de Sony dans les années 80.

Produit à destination mondial mais adapté au local pour répondre aux attentes des consommateurs. Penser mondiale mais agir local.

Standardiser complètement les produits (pain, laitue, steak) pour réduire le prix grâce à la quantité et qu’ainsi le gain soit maximale Exemple de McDo qui s’adapte au gout alimentaire et au culture local : Mac Lobster au Canada, Mac végétarien pour l’Inde pour ne pas avoir de veuf qui est sacré, le Mac Raclette en France, la Mac Italy avec mozza, … Globalisation => standardisation maximale du produit 2.

Quand la mondialisation débute-t-elle réellement ? Trois mondialisations successives dans l’histoire selon Laurent Carroué : 1.La première mondialisation à dominante commerciale entre le Xvème et le XVIIIème siècle liée aux Grandes Découvertes et à l’essor d’un grand capitalisme marchand 2.La deuxième mondialisation du XIX-début XXè liée à l’essor de la révolution industrielle et d’une première DIT 3.Une troisième mondialisation depuis les années 1970-80 en relation avec l’essor des TIC et d’un capitalisme post-fordiste financiarisé. Les chinois ne se veulent pas impérialistes, et disent que eux a l’époque n’ont pas commencé a coloniser.

Zheng He Ming => première sorte de mondialisation mais risque d’anachronisme si l’on emploie ce terme Commerce triangulaire conduit à une mise en relation des quatres coins du globe avec une DIT coloniale. On parle de proto-mondialisation. Braudel et le concept d’économie-monde : Il préfère parler d’économie monde que de mondialisation, une économie à l’échelle du monde.

Européanisation, proto-mondialisation et pas vraiment mondialisation.

L’Europe a mis une économie à l’échelle du monde. La mondialisation des XV-XVIIIème n’est autre que le déploiement d’une économie-monde européenne à l’échelle du globe. Braudel définit l’économie-monde comme un « morceau de la planète économiquement autonome, capable pour l’essentiel de se suffire à lui-même et auquel ses liaisons et ses échanges intérieurs confèrent une certaine unité organique ». Dans l’économie monde, il y a un centre avec des échanges.

Ce qui fait que cet ensemble est auto-suffisant.

Elle importe et exporte tt ce qu’il faut.

Pas d’interdépendance avec les autres empires.

Donc pas forcément de mondialisation. Economie monde est une économie à l’échelle du monde avec un centre qui organise l’économie.

Plusieurs centre en Europe. La dynamique du capitalisme, il faut se plonger dans l’histoire, au temps long, à la structure d’une économie pour mieux comprendre.

C’est un structuraliste comme Lévi-Strauss.

Il compare donc le capitalisme a un phénix qui renait à chaque fois de ses formes.

La capitalisme est sans cesse renouveler. Braudel parle donc plus de proto-mondialisation sous forme d’économie monde. Christian Grataloup : est ce que lorsque l’Homme ne quitte pas l’Afrique ce bien ce serait la première forme proto-mondialisation humaine ? La thèse de Suzanne Berger : Notre première mondialisation, 1870-1914 « Les années qui ont précédé la Première Guerre mondiale permettent d’appréhender cette nouvelle donne [la mondialisation depuis les années 1980] sous un angle différent : d’autres hommes, avant nous, ont dû vivre et comprendre les défis lancés à la démocratie et au progrès social par l’ouverture à l’économie internationale. (…) Cet essai tente d’élargir la gamme des interprétations à partir desquelles nous décrivons notre propre situation.

Il entend par là même réfuter l’idée selon laquelle nous serions sur le point d’entrer dans un monde radicalement nouveau ». Cette idée a été repris par plusieurs auteurs : Kevin O'Rourke et Jeffrey Willamson, Globalization and History, 1999 ; Nial Fergusson, Empire, 2002 Si il y a eu mondialisation, il y a ensuite eu démondialisation. Elie Cohen : croissance du commerce internationale augmente plus vite que le PIB mondiale.

Une première depuis les années 1980 suite à la crise des subprimes Problématiques : • La période de l’avant-1914 doit-elle être considérée comme une première phase de « mondialisation », ce qui implique l’effacement des frontières nationales et l’émergence de marchés et firmes transnationaux, au risque de l’anachronisme ? • Ou bien faut-il la considérer comme une simple phase d’internationalisation, c’est-à-dire un développement des échanges de nation à nation, dans un contexte historique marqué par la prédominance des nations et des nationalismes, mais aussi.... »

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