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L’effet hypoglycémiant d’une molécule de synthèse

Publié le 01/03/2024

Extrait du document

« Réponse à l’exercice 2 : L’effet hypoglycémiant d’une molécule de synthèse Chez les souris rendue diabétique à l’aide d’une molécule alloxane qui détruit spécifiquement les cellules du pancréas produisant l’insuline qu’on leur a administré.

Des chercheurs ont montré sur des souris souffrant de diabète alloxanique, que l’acide lipoique andrographolide (AL-1) constituait potentiellement un traitement antidiabétique.

Alors comment le traitement par AL-1 permet de réguler l’apport en glucose aux fibres musculaires de souris atteintes de diabète alloxanique.

Dans une première partie nous allons identifier les effets du traitement par AL-1 sur les ilots de Langerhans et dans une deuxième partie nous allons expliquer que le traitement AL-1 permet de réguler l’apport en glucose dans le cas de diabète alloxanique. Au niveau de cette première partie nous allons identifier les effets du traitement par AL-1 sur les ilots de Langerhans.

On observe sur les photos au niveau du document 1 intitulé « surface occupée par les îlots de Langerhans avec et sans traitement par l’AL-1 » que la morphologie des ilots de Langerhans diffère d’une souris à une autre, en effet, chez la souri 1 saine, on voit les cellules endocrines plus foncées et plus grandes (c’est la souris témoins), chez la souri 2 qui a un diabète alloxanique, ses cellules endocrines sont plus petites et moins foncées. Ce qui montre que l’alloxane a détruit les cellules endocrines de cette sourie. Chez les souris 3 et 4 qui ont subi le traitement AL-1, on observe que leurs cellules endocrines deviennent plus foncées et plus grandes surtout pour la sourie 4 en lui administrant 4 doses du traitement de l’AL-1, ce qui a permis à ses cellules endocrines de devenir encore plus grandes et encore plus foncées en s’approchant de l’état initial (photo1), ce qui montre que le traitement par plusieurs doses de AL-1 est efficace pour rétablir l’état initial des ilots de Langerhans.

Donc on déduit qu’une forte dose du traitement par AL-1 permet de reconstituer les cellules endocrines des ilots de Langerhans pour le cas d’un diabète alloxanique. En plus, le graphique au niveau du document 2 intitulé « concentration d’insuline présente dans le sérum avec et sans traitement par l’AL-1 » montre que la concentration d’insuline dans le sérum des souris diabétiques ayant reçu un traitement pour AL-1 est importante par rapport à la sourie diabétique.

Surtout pour la souris 4 avec l’administration de 4 doses du traitement de l’AL-1, on constate une augmentation de la concentration de l’insuline par rapport à la souris 3 mais la concentration de l’insuline est toujours inferieur par rapport à la souris saine, or, on sait que les cellules endocrines des ilots de Langerhans béta produisent de l’insuline.

Donc on déduit que le traitement à AL-1 augmente le nombre des cellules endocrines des ilots de Langerhans ce qui explique l’augmentation de la production d’insuline. Dans la deuxième partie, nous verrons que le traitement AL-1 permet de réguler l’apport en glucose dans le cas de diabète alloxanique.

On remarque qu’au niveau du document 4a intitulé « la localisations du transporteur GLUT4 dans les fibres musculaires » que la localisation des transporteurs GLUT4 de rats en état de.... »

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