7 résultats pour "lues"
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« La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres ». Stéphane Mallarmé
Dissertation de Culture générale Libellé : « La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres ». Stéphane Mallarmé Le 3 mai 1987, Dalida se donne la mort dans sa résidence parisienne de Montmartre. Quelques secondes avant, la diva signe ce message pathétique : « La vie m’est insupportable, pardonnez-moi ». Dalida n’en est point à son coup d’essai : elle est déjà passée à l’acte en 1967 avant d’être sauvée in extremis. Entre ces deux dépressions, Dalida découvre la psychanalyse e...
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Le théâtre lorsqu'il est représenter et lorsqu'il est lu
Théâtre : spectacle, représentation. Importance de la représentation ? Qu'apporterait la représentation au texte ? => rôle du metteur en scène (primauté du texte ou de la mise en scène ?). I- Théâtre : texte ou représentation ? A- Un texte littéraire Aujourd'hui, on lit surtout les pièces de théâtre : chaque maison a au moins un livre d'une pièce de Molière et d'une tragédie de Racine. => Qualité du texte. Cf. les alexandrins des tragédies... • Beauté du texte : métaphores, allitérations, assona...
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Les philosophes classiques pensaient que la connaissance de soi-même conduirait à la libération de la personne ; or, les progrès de la psychologie ont souvent pour conséquence pratique le conditionnement de l'homme par l'homme. Une telle évolution est-el
Les philosophes classiques pensaient que la connaissance de soi-même conduirait à la libération de la personne ; or, les progrès de la psychologie ont souvent pour conséquence pratique le conditionnement de l'homme par l'homme. Une telle évolution est-elle inéluctable ? introduction. — En attendant le train, nous avons souvent lu en haut de la bascule établie sur le quai ou dans la salle d'attente cette invitation à se peser : « Qui souvent se pèse bien se connaît ; qui bien se connaît bien se p...
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« L'étude de l'histoire littéraire est destinée à remplacer en grande partie la lecture directe des Oeuvres de l'esprit humain. » A cette affirmation de Renan, Lanson répond dans l'avant-propos de son Histoire de la Littérature française : « Je voudrais
« L'étude de l'histoire littéraire est destinée à remplacer en grande partie la lecture directe des Oeuvres de l'esprit humain. » A cette affirmation de Renan, Lanson répond dans l'avant-propos de son Histoire de la Littérature française : « Je voudrais que cet ouvrage ne fournît pas une dispense de lire les Oeuvres originales, mais une raison de les lire, qu'il éveillât les curiosités au lieu de les éteindre. » Étudier ces deux jugements. INTRODUCTION. -- Les siècles passés nous ont transmis u...
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Les romantiques voyaient dans l'affectivité le facteur essentiel du travail créateur. Pourtant, Diderot nous dit : « Les grands poètes, les grands acteurs, et peut-être en général tous les grands imitateurs de la nature sont les êtres les moins sensibles
Les romantiques voyaient dans l'affectivité le facteur essentiel du travail créateur. Pourtant, Diderot nous dit : « Les grands poètes, les grands acteurs, et peut-être en général tous les grands imitateurs de la nature sont les êtres les moins sensibles. » Que pensez-vous de cette opposition ? CONSEILS PRELIMINAIRES 1. Le sujet exige une certaine culture, une connaissance assez approfondie des théories esthétiques du XVIIIe et du XIXe siècles, connaissance qui d'ailleurs ne dépasse pas les poss...
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En quoi les Fables de La Fontaine que vous avez lues et étudiées sont-elles des fables ?
La Fontaine a tant renouvelé le genre de la fable qu'il est impossible d'en donner une définition unique. Si certaines fables sont de véritables fables, d'autres sont modifiées pour devenir une forme ouverte propre à toutes les adaptations. I. Des fables véritables Le poète respecte la définition ésopique de l'apologue et s'y conforme fréquemment. La définition ésopique Depuis les origines, la fable se compose de deux parties inégales : le «corps », qui est le récit; et l'«âme» qui est la mora...
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On voulait démontrer à Alain que les Fables de La Fontaine ne conviennent pas aux écoliers : « Ils ne peuvent en saisir tout la beauté. » «Je l'espère bien ! » répondit-il. Comment comprenez-vous ce paradoxe ? A un âge où vous êtes capable de lire de faç
Sujet : On voulait démontrer à Alain que les Fables de La Fontaine ne conviennent pas aux écoliers : « Ils ne peuvent en saisir tout la beauté. » «Je l'espère bien ! » répondit-il. Comment comprenez-vous ce paradoxe ? A un âge où vous êtes capable de lire de façon plus réfléchie (et sans vous croire obligé de faire référence à La Fontaine), quel regard portez-vous sur vos regards de jeunesse ? Qui n'a pas connu le bonheur du premier livre, qui n'était pas le premier lu — celui-là est oublié à j...