8 résultats pour "agis"
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SUJET :J’agis ou suis-je agis ?
SUJET :J’agis ou suis-je agis ? « Abstient toi car tout ce qui t’arrive participe à la santé de l’univers » tel sont les propos des stoïciens pour qui l’homme subit le cours des évènements par la volonté divine. Mais ce point de vue n’est pas celui de Karl Max et aussi celui des existentialistes pour eux l’homme est le seul maitre de ce qui l’arrive et rien ne peut l’arriver sans qu’il n’en soit au courant. C’est au vue de cette contradiction que nous parvient le sujet suivant : j’agis ou...
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Kant: L'inconscient m'empêche-t-il d'être libre ?
ANT: Le Je » prouve que j'agis par moi-même, que je suis un principe et non un résultat. J'ai conscience des déterminations et des actions, et un sujet qui a conscience de ses déterminations et de ses actions a une absolue liberté. Que le sujet possède une liberté absolue, parce qu'il est conscient, prouve qu'il n'est pas un sujet qui pâtit, mais qui agit. C'est seulement dans la mesure où j'ai conscience d'une action effective, dans la mesure où j'agis à partir du principe interne de l'activité...
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Kant: L'inconscient m'empêche-t-il d'être libre ?
ANT: Le Je » prouve que j'agis par moi-même, que je suis un principe et non un résultat. J'ai conscience des déterminations et des actions, et un sujet qui a conscience de ses déterminations et de ses actions a une absolue liberté. Que le sujet possède une liberté absolue, parce qu'il est conscient, prouve qu'il n'est pas un sujet qui pâtit, mais qui agit. C'est seulement dans la mesure où j'ai conscience d'une action effective, dans la mesure où j'agis à partir du principe interne de l'activité...
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Commenter : « Agis toujours de telle sorte que la maxime de ta volonté,
c'est-à-dire la règle à laquelle tu obéis, puisse revêtir la forme d'un principe de législation universelle » ?
Observation. — On reconnaît ici le premier principe de la Raison pratique dans la Morale de Kant. Mais le texte est quelque peu altéré. Le texte authentique est le suivant : « Agis uniquement d'après la maxime qui fait que tu peux vouloir qu'elle devienne une loi universelle. » Un peu plus bas, Kant donne- cette autre version de la formule : « Agis comme si la maxime de ton action devait être érigée par ta volonté en loi universelle de la nature » (Fondement de la Métaphysique des Moeurs, 2e sec...
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KANT
Le philosophe doit se pencher aussi sur la question de la pratique. Que répondre à la question « que dois-je faire ? » ? « Tous les impératifs ordonnent ou hypothétiquement ou catégoriquement. Les impératifs hypothétiques représentent la nécessité pratique d'une action possible comme moyen pour quelque chose d'autre qu'on désire (ou du moins qu'il est possible qu'on désire) obtenir. L'impératif catégorique serait celui qui représenterait une action comme étant par elle-même, et indépendamment de...
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KANT
Tous les impératifs ordonnent ou hypothétiquement ou catégoriquement. Les impératifs hypothétiques représentent la nécessité pratique d'une action possible comme moyen pour quelque chose d'autre qu'on désire (ou du moins qu'il est possible qu'on désire) obtenir. L'impératif catégorique serait celui qui représenterait une action comme étant par elle-même, et indépendamment de tout autre but, objectivement nécessaire. (...) Il y a un impératif qui nous ordonne immédiatement une certaine conduite,...
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KANT: «Agis de telle sorte que tu
traites l'humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de
tout autre toujours en même temps comme une fin et jamais simplement
comme un moyen.»
Thème 387 KANT: «Agis de telle sorte que tu traites l'humanité aussi bien dans ta personne que dans la personne de tout autre toujours en même temps comme une fin et jamais simplement comme un moyen.» PRESENTATION DE "FONDEMENTS DE LA METAPHYSIQUE DES MOEURS" DE KANT Dans ce premier grand ouvrage consacré à la morale, Kant (1724-1804) se donne pour tâche « la recherche et l'établissement du principe suprême de la moralité » (Préface). Son objectif n'est pas seulement spéculatif mais surtout pra...
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Expliquer la formule de Kant : « Agis toujours en prenant la personne humaine, en toi et dans les autres, comme fin, jamais comme moyen. »
« Les êtres dont l'existence dépend, à vrai dire, non pas de notre volonté, mais de la nature, n'ont cependant, quand ce sont des êtres dépourvus de raison, qu'une valeur relative, celle de moyens, et voilà pourquoi on les nomme des choses ; au contraire, les êtres raisonnables sont appelés des personnes, parce que leur nature les désigne déjà comme des fins en soi, c'est-à-dire comme quelque chose qui ne peut pas être employé simplement comme moyen, quelque chose qui par suite limite d'autant t...