Puis-je décider ce que je veux être ?

« Puis-je décider ce que je veux être ? « Les personnes qui croient que la société leur doit quelque chose sont celles, pardi, qui ne savent rien faire de leurs dix doigts ou de leur cervelle ».(jean Dutourd) A commencer par savoir que nous pouvons tous décider de ce que l’on veut être, car ce que l’on est, s’appréhende avec le temps, c’est « l’expérience temporelle ».

Par ailleurs, le temps qui passe en moi donc « je » construit mon identité (qu’on ne peut pas changer sans le modifier entièrement car mon identité est personnelle est donc unique).

Mon identité est donc construite avec le temps qui passe, mais aussi par le choix de mes décisions au cours de ce « temps ».

Mais il est tout de même compliquer de savoir si l’on est libre de choisir ce que l’on veut être car le « je » donc le moi est en quelque sorte l’intermédiaire entre ma mémoire et ma conscience qui elle, agit en fonction de mes souvenirs. Il se trouve que la mémoire est partial donc incertaine ( cela est donc un problème supplémentaire pour la sélection de mes choix) c’est-à dire qu’elle oublie et modifie volontairement ou pas tel que la mémoire des juifs lors de la 2nd Guerre mondiale qui se clarifie peu à peu grâce aux travaux des historiens. En quoi peut-on dire que nous sommes libres dans la décision de nos choix ? Et de quelles manières sont-ils dictés (affectés) par des facteurs extérieurs ? Pour répondre à cette interrogation nous partagerons notre discussion en 2 parties, dont la première consistera à parler du faite que « je » suis libre d’être qui « je » veux et que j’ai la possibilité de faire mes choix, puis dans un second mouvement nous verrons que « je » ne suis pas totalement libre d’être qui « je » veux d’autant plus que mes choix sont dictés par des facteurs extérieurs mais aussi par la science cognitive. Dans la vie de tous les jours, chacun de nous est libre de prendre des décisions pour construire son identité mais aussi sa signification. Tout d’abord, « je » peux décider de ce que « je » veux être, car ce que je suis, s’appréhende avec le temps, c’est « l’expérience temporelle ».

Par ailleurs, le temps qui passe en moi donc « je » construit mon identité de ce fait l’identité est personnelle donc unique et elle est définit par un individu, elle est indivisible, qu’on ne peut pas enlever sans la changer entièrement de plus l’identité ne change pas malgré que le temps passe.

Mon identité est donc construite avec le temps qui passe, mais aussi par le choix de mes décisions au cours de ce « temps », ce qui veut dire que mon identité se forge avec mon vécu, j’apprends de nouvelles choses. Puis, du fait que la mémoire soit faillible, nous pouvons volontairement oublier des choses pour justement laisser de cote les éléments beaucoup trop marquants (perte de quelqu’un) dans le but de s’épanouir pour le restant de ses jours cela se justifie par la cécité du choix tel que dans le film Shuter Island ou l’acteur principal Leonardo DiCaprio refoule le meurtre de sa femme pour mieux aller, il parvient donc à modifier son identité avec un trouble qu’il aurait éventuellement put développer à cause d’un violent choc. Ensuite, je suis libre de choisir qui je veux être, grâce aux choix que je prend avec le libre-arbitre comme l’affirme Descartes, en effet le libre arbitre est la cause de mes choix ainsi je dois en assumer les conséquences de mes choix car je suis seul responsables de ces derniers, de ce fait mes choix dépendent entièrement de moi sans contraintes extérieurs par exemple choisir de manger bio ou de regarder tel film au cinéma.

De plus nos sens viennent s’additionner au « libre-arbitre » car le choix se fait par des préférences personnelles ainsi j’hésite entre deux modèles de voiture et je vais choisir celle ou les caractéristiques de la voiture me plaisent le plus comme la couleur ou autres facteurs. Enfin, pour Freud le conscient aussi peut me permettre d’être qui je veux car dans ce pole on y retrouve l’identité (le moi) donc unique et personnelle comme nous l’avions dit précédemment.

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