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Peut-on profiter de l'équivocité des mots ?

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« Analyse. · · · · · · Notre sujet pose une question de fait et de droit concernant l'usage des mots.

En effet, nous sommes ici face à une double option : o Il s'agit de pouvoir profiter de l'équivocité des mots dans les faits, autrement dit de capacité que nous pourrions avoir de prendre les mots dans un sens suffisamment ambiguë pour que nous puissions faire entendre une chose et une autre dans le même temps ; o Il s'agit aussi de la capacité en droit : pouvons-nous nous le permettre ? Cette question pose le problème du devenir des mots si nous sommes autorisés à user de leur équivocité. Nous voyons donc que deux aspects sont à étudier : les faits et le droit.

Mais ces deux aspects se font aussi face selon un point de vue préétablit : les mots ont une équivocité. Ce fait, que nous devons ici prendre comme un acquis, mérite tout de même d'être considéré comme exacte.

Aussi devons nous définir le mot. o Les mots se définissent comme étant les signes de notre pensée.

Ils constituent le langage, de façon logique et grammaticale.

Selon Thomas Hobbes, les mots ont quatre usages, auxquels correspondent quatre abus. o Ces usages et abus sont commis par les hommes, et non par les mots.

Aussi, nous devons comprendre que l'équivocité des mots provient essentiellement de ce que l'on attribue sous une dénomination. Les mots se définissent avant tout selon ce que l'on veut dire, ou représenter.

Aussi, c'est notre définition que leur donne une équivocité.

Nous comprendrons alors mieux pourquoi, dans notre exposé, les faits semblent s'opposer aux droits. Enfin, nous devrons conserver à l'esprit que la capacité inclus une responsabilité dans l'usage (ou l'abus) que nous faisons des mots. Cette responsabilité devra être ce qui conduit notre étude : en effet, nous devrons toujours conserver à l'esprit que, quel que soit notre réponse, nous sommes responsables de l'équivocité des mots, que l'on puisse ou non en profiter. Problématisation. Lorsque nous parlons, il n'est pas rare de constater que le même mot, selon la personne, n'a pas tout à fait le même sens.

Il existe, de façon indéniable, une équivocité dans les mots.

D'ailleurs, cette équivocité pourrait parfois profiter à certains hommes avisés.

Mais peut-on vraiment le faire ? Peut-on profiter de l'équivocité des mots ? Dans les faits, ne sommes-nous pas souvent face à de tels cas ? Mais en droit, n'avons-nous pas au contraire le devoir de ne pas ne profiter ? Quel usage pouvons-nous faire des mots afin qu'ils conservent leur sens ?. »

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