Aide en Philo

Commentaire du texte de Freud: "L'homme n'est pas un être doux..." ?

Extrait du document

Notre intérêt se porte ici sur un texte ou FREUD développe une  conception très négative et très négative et très pessimiste de la  nature humaine. Selon lui, en effet, l'homme est d'une nature  violente et agressive ce qui a pour conséquence de mettre en péril  le bon fonctionnement de la vie social. La première étape de  l'argumentation énonce sa thèse et énumère différent type de  comportement qui montre que l'homme est pour ces congénères un  prédateur sans pitié qui exploite, vole, humilie sans scrupule. Dans  un deuxième temps, il nous interpelle implicitement en affirmant que  nous ne pouvons ressentir en nous mêmes ces tendances agressives  qu'il vient d'évoquer. Ainsi don, la société doit se protéger des  pulsions de l'individu, se protéger contre son penchant naturel à  faire passer son intérêt personnel avant celui de la collectivité.  La fin du texte rappelle un précepteur majeur de l'enseignement  chrétien qui selon Freud, demande à l'homme d'aller totalement à  l'encontre de son « instinct »: « Aime ton prochain comme toi même  ». L'étude de ce texte nous conduira à nous demander si la nature  humaine est si fondamentalement mauvaise, et si, comme le sous  entend l'auteur, l'homme est véritablement incapable de faire  taire la brute qui sommeille plus ou moins en lui. Ainsi; la société  et ses lois permettraient seulement de maintenir un équilibre  précaire et artificiel sans que l'on puisse espérer une  amélioration réelle des hommes   Dès la première phrase Freud entre sans préambule dans le vif du  sujet.

« Quoting rios vera thomas : Demande d'échange de corrigé de rios vera thomas ([email protected]). Sujet déposé : Commentaire du texte de Freud: "L'homme n'est pas un être doux..." Notre intérêt se porte ici sur un texte ou FREUD développe une conception très négative et très négative et très pessimiste de la nature humaine.

Selon lui, en effet, l'homme est d'une nature violente et agressive ce qui a pour conséquence de mettre en péril le bon fonctionnement de la vie social.

La première étape de l'argumentation énonce sa thèse et énumère différent type de comportement qui montre que l'homme est pour ces congénères un prédateur sans pitié qui exploite, vole, humilie sans scrupule.

Dans un deuxième temps, il nous interpelle implicitement en affirmant que nous ne pouvons ressentir en nous mêmes ces tendances agressives qu'il vient d'évoquer.

Ainsi don, la société doit se protéger des pulsions de l'individu, se protéger contre son penchant naturel à faire passer son intérêt personnel avant celui de la collectivité.

La fin du texte rappelle un précepteur majeur de l'enseignement chrétien qui selon Freud, demande à l'homme d'aller totalement à l'encontre de son « instinct »: « Aime ton prochain comme toi même ».

L'étude de ce texte nous conduira à nous demander si la nature humaine est si fondamentalement mauvaise, et si, comme le sous entend l'auteur, l'homme est véritablement incapable de faire taire la brute qui sommeille plus ou moins en lui.

Ainsi; la société et ses lois permettraient seulement de maintenir un équilibre précaire et artificiel sans que l'on puisse espérer une amélioration réelle des hommes Dès la première phrase Freud entre sans préambule dans le vif du sujet.

Ce qu'il met en évidence c'est un très fort penchant à l'agressivité chez l'homme.

Il s'oppose ainsi d'emblée à des à des conceptions humanistes glorifiant nos prouesses en mettent l'accent sur notre extraordinaire intelligence et s'efforçant de gommer tout aspect négatif.

Si l'homme peut parfois être sensible ou s'il se défend légitimement lorsqu'il est agressé ce n'est pas selon l'auteur, ce qui caractérise en premier lieu, car, et nous y reviendrons ver la fin du texte, celui que l'on qualifie à juste titre d' « animal raisonnable » puisqu'il est le seul à posséder cette faculté qu'est la raison, se laisse le plus souvent guider par ses pulsions, c'est à dire par des forces, certes essentiellement in conscientes, mais qui ne sont pas pour autant des excuses a certains comportement; D'ailleurs la pulsion n'est pas comme l'instinct chez l'animal, une tendance irrésistible contre laquelle il serait vain d'espérer lutter.

Et, là où l'animal n'agresse que pour se nourrir ou pour se défendre, Freud nous dresse le portrait d'un être pour lequel autrui est l'objet de toute sorte de tentation ignobles et d'actes de cruauté.

On pourrait qualifier ces actes gratuits s'il ne s'agissait pas en fait de satisfaire une soif de pouvoir, une sourde envie d e soumettre l'autre, de le malmener, de l'exploiter et même de l'humilier Certes, l'auteur sous entend également que le prochain représente une aide et , en effet, les hommes ont besoins les uns des autres; à défaut d'être un être sociable, il est un être social, autrement dit fait pour vivre en société car il lui serait très difficile de vivre en parfaite autarcie, de se suffire à lui même en produisant tout ce dont il a besoin pour vivre correctement.

La société se fonde sur la division du travail et sur les échanges économique qui en découlent, mais aussi sur toutes sortes d'échange possible qui font de l'homme autre chose qu'une bête féroce.

Pourtant notre texte met l'accent sur une tentation apparemment inhérente à la nature humaine chercherait à exploiter sans dédommagement le travail des autres ou à le déposséder de ses biens, mais aussi par le plaisir.

On sent dans le propos de Freud quelque chose qui est de l'ordre de la perversité dans l'agir humain: l'esclavage, le vol, le viol soulagent les pulsions agressives. Cette première parie s'achève sur une citation empruntée à Hobbes, qui, dans sa doctrine, part de l'idée que l'homme étant « un loup pour l'homme », le pouvoir de l'état doit être fort pour éviter que les hommes ne s'entretuent en cédant à leur hostillité naturelle, Cette maxime énoncé comme une vérité général est clair: l'homme se comporte comme un animal; mais elle comporte aussi un paradoxe dans la mesure où l'animal, comme nous le disions plus haut n'agresse que pour se nourrir ou se défendre et se protéger, autrement dit, seulement pour des raison légitimes, si l'on peut s'exprimer ainsi; l'homme au contraire serait fondamentalement mauvais on porrait être tentés de voir dans ce portraait sur dresse Freud un pessimisme excessif et ainsi vouloir nous défendre, puisqu'en évoquent la nature humaine il rend son accusation générale mais ce dernier nous coupe l'herbe sous le pied en nous invitant à observer la fois « les expériences de la vie », c'est à dire ce que nous voyons autour de nous au quotidien, mais aussi ce qui ce passe dans le monde.

A l'époque où il écrit la télévision n'a pas encore fait son apparitions et les informations fournies par le presse écrite font moins de sensations.

Mais effectivement, il faut bien avouer que lorsque nous regardons le journal télévisé, nous ne voyons que guerres, assassinats, viols...

Il en va de même lorsque nous nous penchons sur l'histoire de l'humanité, ponctuée d'atrocités.

La maxime, la sentence, le principe général qui pose que l'homme est un loup pour l'homme, semble donc bien fondée sur une incontestable réalité.

Ainsi, le philosophe nous interpelle: qui oserait en toute objectivité nier que l'homme soit fondamentalement mauvais et cruel ? Au début de la deuxième partie, il nous interpelle à nouveau et de manière encore plus directe, en affirmant qu'à moins d'être de mauvaise foi, nous pouvons ressentir en nous-mêmes ce déplorable penchant à l'agression.

C'est ici par introspection et par analogie que je peux prendre conscience de la violence inhérente à la nature humaines « qui perturbe notre rapport au prochain et oblige la culture à le dépense qui est la sienne ».

En effet, la pulsions agressive ici mise en évidence par Freud est la cause d'un rapport toujours potentiellement conflictuel avec nos congénères; ce qui risque de troubler l'ordre social.

Les hommes son incapables de coexister de manière sereine et pacifiste et l'une des premières caractéristiques fondamentales de la culture est d'encadre les relations entre les individus afin de les contraindre à entretenir des rapports humains et non bestiaux? D'une manière générale, la culture désigne tous les phénomènes sociaux transmissibles dans le domaine techniques moraux, politiques, juridique, religieux, esthétiques...

ici se sont les institutions politiques et les lois qui sont implicitement visées par l'auteur.

Les lois imposent des limites, des interdits et les instances juridiques prévoient des punitions pour contraindre les hommes à se respecter entre eux et ainsi assurer la cohésion sociale.

Sans loi la société n'est pas viables car chaque agression en entrainerait une autre et les vengeances s'enchaineront indéfiniment.

En effet, « la communauté de travail » n'est pas suffisante pour souder les hommes entre eux. Comme nous le disions plus haut la division du travail et les échanges sont des conditions nécessaire à l'établissement d'une société: c'est un fondement, une base, un ciment; il est dans l'intérêt des hommes de s'associer et d'échanger le fruit de leurs travail.

Cela est nécessaire mais pas suffisant mais pas pour les empêcher de laisser libre cours à leurs penchants brutaux.

Le philosophe explique en effet que « les passions pulsionnelles sont plus forte que les intérêt rationnels », autrement dit nos pulsions, nos désirs, nos passions, notre intérêt individuel et notre soif de domination sont plus fort que notre capacité à raisonner de manière objective pour appréhender l'intérêt générale, l'intérêt commun, l'intérêt de tout dont nous sommes des parties.

La raison se définit comme une faculté spécifiquement humaine permettrait de juger et d'agir selon des critères objectifs susceptibles d'être admis par tous? Et, effectivement, si chacun écoute sa raison, il en conclut aisément qu'il est dans l'intérêt de tous de respecter ses semblables afin de vivre avc les autres en parfaire harmonie-la nature humaine semble exclure un tel idéal-tout au moins en sécurité.

Mais les pulsions « parlent »plus fort que la raison? Il va donc falloir contraindre l'homme à renoncer à les satisfaire, lui apprendre à considérer son prochain comme un sujet et non comme un objet.

De là toutes les restrictions imposées à l'hommes pour le soumettre à des règles auxquelles il doit se plier sous peine d'être sanctionné. La conclusion du texte revient sur les limites imposés à la libido: non seulement il est interdit de forcer une personne à avoir des relations sexuelles, « de l'utiliser sexuellement sans son consentement », disait Freud au début du texte, mais tout individu n'est pas l'objet et sexuel potentiel; la prohibition de l'inceste est d'ailleurs analysée et reconnue, notamment par l'ethnologue Claude Lévi-Strauss, comme la marque la plus significative du passage de l'animalité à l'humanité, de la nature à la culture. Sujet désiré en échange : Sujet : Alain "Qu'est-ce qu'un inconscient ?". »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles