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comment savoir ?

Publié le 21/10/2022

Extrait du document

« Dissertation philo Pour commencer,on va étudier un sujet qui peut exister depuis le début de l’Antiquité et dont certains philosophes les plus connus se sont confrontés à ce sujet.

Nous allons traiter le sujet qui s’intitule « comment savoir ? », pour cela on a besoin de définir ce qu’est le savoir.

Le savoir, c’est un ensemble de connaissances d’une personne ou d’une collectivité acquises par l’étude, par l’observation, par l’apprentissage et/ou par l’expérience.

Donc pour répondre à cette problématique, nous allons rédiger en 3 parties, premièrement on croit savoir alors qu’on ne sait pas, deuxièmement l’origine du savoir, et pour finir l’étendu du savoir. Tout d’abord, nous allons commencer par la partie « on croit savoir alors qu’on ne sait pas ».

Car comme a dis Socrate « Tout que je sais, c'est que je ne sais rien, tandis que les autres croient savoir ce qu'ils ne savent pas », la raison pour laquelle Socrate qui est si réputé et un grand philosophe de l’histoire et capable de tenir tête à tous les intellectuels de son époque en affirmant ce propos, c’est que lors de son procès et rapporté à Platon dans son apologie de Socrate nous permet de comprendre d’où lui vient cette idée.

Socrate alors qu’il essaye de se défendre des accusations portées contre lui s’interroge, et se demande pourquoi je me suis fais autant d’ennemies ? Pourquoi toutes ces calomnies contre moi ? Car dans un extrait de son Apologie il est dis « un jour qu’il était allé à Delphes, eut l’audace de poser à l’oracle la question que voici – et je vous en prie, encore une fois, n’allez pas vous exclamer, Athéniens : oui, il demanda s’il existait un homme plus sage que moi.

Eh bien ! la Pythie répondit que nul n’était plus sage.

» Et que pour comprendre ce singulier oracle, Socrate décide de mener l’enquête.

Il part rencontre et interroger tous ceux qui étaient les plus sages de son époque tels que des philosophes, hommes politiques et des poètes.

C’est pour ça que à chaque fois, qu’il sort d’un entretien il tire la même conclusion « Cet homme-là, moi, je suis plus sage que lui.

Car il y a certes des chances qu’aucun de nous deux ne sache rien de beau ni de bon ; mais lui croit savoir quelque chose, alors qu’il ne sait rien, tandis que moi, si je ne sais rien, je ne crois pas non plus savoir.

Je me fais du moins l’effet d’être plus sage que cet homme justement par ce mince avantage, que ce que je ne sais pas, je ne crois pas non plus le savoir ».

C’est le secret de cette sagesse socratique qui est une sagesse d’homme, se savoir ignorant, alors que les autres se croient savants.

On peut comprendre ainsi pourquoi Socrate est entouré de jeunes disciples.

Malgré les attitudes parfois affirmatives et péremptoires, les jeunes gens sont souvent moins sûrs d’eux que les hommes plus âgés, convaincus par leur expérience de saisir l’ordre du monde et de savoir ce qui est bel et bon.

On peut comprendre aussi pourquoi Socrate s’est fais tant d’ennemies voir son ignorance révélée au grand jour n’est jamais très agréable, surtout quand on est considéré par les autres et qu’on se considère soi-même comme compétent et savant.

C’est pourquoi lorsqu’il dit « je sais que je ne sais rien », on doit se poser plusieurs que questions à laquelle on essaye d’y répondre, « quoi ? » l’homme pose des questions et tente d’y apporter des réponses pour élargir sa connaissance du monde.

Mais d’après Socrate, la reconnaissance de notre ignorance est l’attitude nécessaire à adopter face à la quête du savoir.

« Pourquoi ? » nos croyances et convictions façonnent notre perception du monde.

Lorsqu’on est persuadé de savoir quelque chose, on abandonne une posture de recherche et on ne voit plus du monde que ce que l’ont croit.

Toute l’incertitude limite notre accès au savoir et renforce notre ignorance.

« Qui ? » Socrate s’adresse autant aux savants qui croient posséder un savoir qu’aux ignorants qui nient qu’il leur manque des éléments.

Le savant comme l’ignorant prennent leurs convictions pour la réalité et méconnaissent leur ignorance.

Ils ne cherchent plus à connaître puisqu’ils croient savoir.

« Comment ? » la conscience d’un manque engendre le désir de le combler et une réponse à une question ne se confond jamais avec une certitude d’où l’ensemble, la poursuite du savoir est garantie ! Et en faite je trouve que cela pose un dilemme car ça voudrait dire que plus on sait quelque chose, plus on sait que l’on ne sait rien, et moins on sait et plus on croit savoir ce qui est assez humoristique je trouve . Maintenant, nous allons passer à la deuxième partie qui s’intitule l’origine du savoir.

D’abord l’origine du savoir provient d’un désir de connaissances, qui a poussé de grands scientifiques tels que Galilée ou Einstein au summum de l’inventivité humaine a une histoire.

Car aussi géniales soient leurs découvertes, elles sont originaires des autres savoirs du temps, ainsi que des savoir faire populaires ou professionnels, qui eux aussi, sont porteurs d’une idée de la vérité sur le réel.

Car l’histoire est rythmée par l’évolution des connaissances et les évènements du monde.

L’origine du savoir provient principalement de la Grèce antique, qui est le berceau de la philosophie.

Les premiers penseurs, appelés les présocratiques, étaient à la base des scientifiques.

Leur esprit critique et leurs remises en question par rapport à la science ont planté les racines de ce que l’on définit aujourd’hui comme étant la philosophie.

Son fondateur en est Socrate.

Car même si il est née après cette génération de penseurs, il a élaboré un cadre et des lignes directrices pour faire de ce mouvement une discipline.

Il est donc considéré comme.... »

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