A quoi sert la critique d’art ?

« Disseration HIDA 27/05/2022 Mélisande Cormier, 1ère1 A quoi sert la critique d’art ? Apparu au XVIIIe siècle, la critique d’art naît en même temps que les Salons.

Mais comment définir précisement la critique d’art ? Son but est de juger les œuvres appartenant au domaine des arts.

De grand écrivains comme Emile Zola, Denis Diderot ou encore Yasmina Reza en ont écrit plusieurs.

Nous allons nous intéresser ici à la raison de ces écrits sur ces nombreuses œuvres. Nous aborderons d’abord la reception de la critique d’art en parlant de la prise en compte du spectateur, puis du questionnement que peut avoir celui-ci ainsi que le développement de son sens critique.

Puis nous parleront du fait que la critique d’art fait vivre l’art en lui-même avec l’écrivain qui réussi à rendre l’oeuvre encore plus vivante, également à influencer ses lecteurs pour terminer sur la popularité que donne la critique d’art à ses œuvres. Pour commencer, un point très important dans la critique d’art et même dans l’art uniquement.

Le fait de prendre en compte le spectateur.

Une critique d’art, que ce soit pour une peinture, une sculpture, une musique etc, va analyser l’oeuvre de son point de vue par rapport à quelque chose d’extérieur à l’oeuvre.

Cela va donc faire rentrer l’observateur dans l’oeuvre plus facilement.

Prenons l’exemple du livre écrit par Philipe Guisgand, qui s’intitule Reception du spectacle chorégraphique : d’une descritption fonctionnelle à l’analyse esthétique.

Dans ce livre, il y a plusieurs passage de critique de chorégraphie, cela rentre donc dans notre thème.

Pour revenir à notre exemple, on nous dit dans un extrait : L’esthétique est donc au coeur de la relation entre l’oeuvre et celui qui la contemple.

Cela nous explique bien l’importance du spectateur dans une critique d’art.

Sans lui, il n’y a ni analyse ni critique ni observation. Ensuite, cela va guider celui qui receptionne l’oeuvre.

Il va pouvoir percevoir autre chose qu’une simple toile, le but de ce guidage pour les spectateurs est de leur faire prendre partie, de leur faire réussir à se positionner dans l’oeuvre.

C’est d’ailleurs ce que réussi très bien à faire Emile Zola, qui est critique d’auteur.

Dans Mon Salon, L’Evènement, en mai 1866, il nous dit « je compend votre desappointement et votre gaieté en face de cette toile » ; en nommant ces émotions, Zola va parvenir à faire travailler le questionnement du recepteur autour de ses émotions et donc de le diriger vers une certaine interprétation du tableau. Puis, dans un autre temps, nous avons aussi à parler du developpement du sens critique du spectateur.

Si, par hasard, vous tombez sur une critique de n’importe quel sujet, et que vous finnissez par vous y interésser, vous allez progressivement vous même vous mettre à analyser une peinture, une musique qui vous intéresse.

Par exemple, vous avez regarder un film que vous avez vraiment appréciez, vous allez donc lire, vous rensiegnez sur les avis, les critiques de ce film et votre point de vue va encore plus évoluer. La critique d’art est une base à avoir pour analyser les œuvres appartenant au domaine des arts. Un autre point majeur de l’utilité de la critique d’art fait son entrée.

La critique d’art faire vivre l’art en lui même.

Premièrement, celui qui écrit la critique d’art doit avoir une belle plume, une belle façon d’écrire.

Il doit à travers ses mots réussir à rendre l’oeuvre plus vivante encore.

Il est comme un entremetteur entre l’artiste, sa toile et le recepteur.

Il peut mettre en mots ce qui est réaliser par l’artiste.

Comme nous l’illustre parfaitement Diderot dans Salon de 1763 : ici, il parle d’une.... »