Gargantua François Rabelais (Alcofribas Nasier)

« Gargantua François Rabelais (Alcofribas Nasier) Le terme « littérature d'idées » désigne tous les genres argumentatifs.

Les textes appartenant à ce genre ont pour objectif d'informer le lecteur, de défendre une thèse ou, au contraire, de la réfuter.

Un auteur peut faire appel à la raison du lecteur, à ses capacités de raisonnement, pour le convaincre thèmes L’éducation La guerre Le corps La liberté Mouvement Littéraire L’humanisme date de parution 1534 Particularité d’écriture Mélange des genres, des tonalités (satiriques, comiques, épiques, lyriques...) et niveau de langue parcours associé lire et savoir Littérature d’idée Rire et savoir une oeuvre placée sous le signe du rire une soif de connaissance le savoir est l’occasion d’un plaisir intellectuel intense exemple de sujets LE RIRE CHEZ RABELAIS N’EST-IL QU’UN AMUSEMENT ? Peut-on dire que Gargantua a pour unique but de faire rire ? EST- CE QUE LA SOIF DE SAVOIR PASSE EXCLUSIVEMENT PAR LE RIRE DANS GARGANTUA ? Rabelais nous livre-t-il des enseignements uniquement par le rire ? SI LE RIRE DANS LE ROMAN DE RABELAIS SE VEUT CONSTRUCTIF, N’EST-IL PAS AUSSI DESTRUCTEUR ? Dans quelle mesure le rire dans gargantua porte atteinte au savoir ? EN QUOI L’HUMOUR DE RABELAIS PARTICIPE-T-IL A UN PROJET HUMANISTE ? Comment le comique de gargantua fait de cette oeuvre un roman humaniste ? COMMENT LE RIRE NOUS EDUQUE-T-IL DANS GARGANTUA DE RABELAIS En quoi Gargantua prête-il autant a rire qu’a réfléchir ? GARGANTUA DE RABELAIS A-T-IL POUR FONCTION DE NOUS AMUSER OU DE NOUS INSTRUIRE ? En quoi peut-on dire que Gargantua a pour but de nous faire rire mais également réfléchir ? MICHEL BUTOR, CRITIQUE LITTÉRAIRE DU XXE SIECLE, ECRIT DANS SON RÉPERTOIRE II EN 1963 “LE RIRE DE RABELAIS EST EN GRANDE PARTIE UN SUPERBE DÉGUISEMENT POUR ESSAYER DE DETOURNER LES ENNEMIS ET BROUILLER LES PISTES dans quelle mesure le rire est-il un moyen pour Rabelais de véhiculer un message subversif ? Citations Introduction “il détacha sa belle braguette et, et tirant en l’air sa mentule, les compissa si roidement qu’il en noya deux cent soixante dix mille quatre cent dix-huit, sans compter les femmes et les enfants” (gigantisme) “puis, alors que je fientais derrière un buisson, je trouvais un chat de mars et m’en torchai, mais ses griffes m’ulcérèrent tout le.... »