Aide en Philo

L’apport des pratiques religieuses de l’ancienne Egypte à celle d’aujourd’hui

Publié le 25/12/2023

Extrait du document

« Remerciement Nous tenons à vous remercier pour la confiance et votre désire d’accepter de nous encadrer tout au long de notre parcours universitaire.

C’est avec une immense fierté que nous vous offrons ce travail pour vous faire part de notre dévouement pour le travail et notre amour pour la recherche scientifique plus spécifiquement l’Egyptologie. 1 INTRODUCTION Les études menées sur l’antiquité Egyptienne ont mis au jour une histoire riche et fascinante qui a su s’imposer dans l’imaginaire de tous.

L’Egypte antique qui a eu la civilisation la plus glorieuse de l’antiquité est à l’origine de la formation universelle dans le contexte où c’est dans la vallée du Nil que nous observons les premières traces d’hominidé qui ; d’ailleurs sont nos ancêtres les plus lointains.

Divers honnêtes savants en témoignent de l’origine nègre de tout le savoir dont l’humanité dispose aujourd’hui qui l’origine réelle est l’ancienne Egypte.

Les autres civilisations de l’antiquité ont été séduit par le rayonnement de la civilisation Egyptienne à tel enseigne que d’autre se sont rendu en Egypte pour s’initier à la culture Egyptienne dont la science est la base.

De cette vue générale, une question nous vient à l’esprit à savoir : Quel est l’apport de la civilisation de l’Egypte Antique à la nôtre ? Pour dépeindre ce thème, nous le scinderons en deux chapitres dont le premier nous parlera de l’apport sur le volet religieux et le second, sur le volet sanitaire (la médecine). 2 CHAPITRE I : L’apport des pratiques religieuses de l’ancienne Egypte à celle d’aujourd’hui La religion de l’ancienne Egypte était en réalité du pur monothéisme bien que l’opinion public la trouve polythéiste.

En fait, c’est le nom de la divinité majeure qui différait en fonction des localités.

C’est la même chose dans cette société actuelle où Dieu à son appellation dans chaque langue locale.

Les pratiques religieuses de l’Egypte étaient un système complexe de rituels qui ; d’ailleurs faisait partie intégrante de toute la culture de l’Egypte ancienne.

Durant la période antique, le peuple Egyptien avait une forte croyance au monde métaphysique raison pour laquelle ils se rendaient dans les temples pour vouer des cultes et renforcer leurs liens avec le Dieu créateur.

Avant l’avènement du christianisme au Ier millénaire et de l’Islam au VIIème siècle après Jésus-Christ, des rituels tels que les prières et les offrandes étaient déjà fournis aux dieux dans l’optique de bénéficier de leurs faveurs.

Il faut donc comprendre que toutes religions actuelle dite révélé tirent ses origines dans les pratiques religieuses de l’Egypte antique qui à durer plus de 3500 ans.

Pour une meilleure compréhension de ce chapitre, il est donc crucial de faire une comparaison des éléments constituants les pratiques religieuses de l’Egypte Antique à ceux d’aujourd’hui. En amont, en ancienne Egypte à cause de la forte croyance religieuse du peuple, les cadres d’adoration des divinités étaient mis en place et ceux-ci s’appelait sanctuaire ou temple.

Cette structure est administrée par des prêtres qui ont pour rôle, de servir d’intermédiaire entre la divinité et la population.

Cette structure à existé au début de la civilisation Egyptienne jusqu’à son apogée.

Les temples étaient considérés comme la maison de Dieu sur terre et c’est là que souvent le peuple venait exposer ses problèmes, projets de société et autres.

Mais il est important de préciser que des prières étaient faites dans le cadre familiale et autres lieux en dehors du sanctuaire mais que le centre des pratiques religieuses est le sanctuaire.

Dans notre société actuelle avec l’avènement des religions dite révélé, nous observons ces mêmes cadres d’adoration.

Pour les Chrétiens : c’est l’église et pour les Musulmans : la Mosquée.

Dans ces lieux, on y trouve la même structure religieuse comme celle de l’ancienne Egypte dans le cadre où c’est à un individu que la tâche revient de servir d’intermédiaire entre le divin et les mortels. Et cet homme pour les Chrétiens est appeler prêtre pour la communauté chrétienne catholique, évêque pour les chrétiens orthodoxe et pour les musulmans il est appelé : Imam.

En dehors des Temples, une autre chose est la croyance à l’existence d’une autre vie après la mort des anciens Egyptiens.

Ils avaient une forte croyance de la vie après la mort et quand nous prenons le mythe 3 d’Osiris traitant la question de la résurrection du pharaon et son élévation dès lors comme dieu de la mort disposant d’un tribunal chargé de décider du sort des âmes après la vie terrestre. C’est pratiquement cette même histoire que le christianisme attribue au prophète Jésus-Christ. Pourtant la civilisation Egyptienne à exister des milliers d’année avant l’avènement de ce prophète.

Le voile reste donc à être lever sur cet aspect, aussi les Egyptiens avaient une ferme conviction à la vie éternelle.

Ils voyaient la vie terrestre comme juste un passage pour mieux préparer celle de l’au-delà.

Dans de tel contexte, ils marchaient selon les vertus de la morale pour espérer garantir la suivie de leurs âmes après la mort.

Ce même aspect est remarquable dans cette société actuelle où les religions révélées par le biais de leurs livres saints que ce soit la Bible pour les Chrétiens, Le Coran pour les Musulmans et la Torah pour les juifs ; invitent leurs fidèles à l’amour du prochain et à marcher dans la piété afin d’avoir accès au paradis après la vie terrestre.

La crainte de Dieu était une des qualités des Egyptiens durant l’antiquité tout comme pour la population actuelle qui sacrifie des jours sans nourriture pour obéir aux prescriptions du livre saint tout en espérant trouver une solution à son problème poser à Dieu après sa séance de jeûne. En aval, dans l’antiquité de l’Egypte des rituels tels que les prières et les offrandes étaient apporter aux dieux en signe de reconnaissance.

Des sacrifices y étaient présents pour espérer bénéficier des bienfaisances des divins.

Ces différentes pratiques sont similaires à celles dans nos sociétés actuelles.

Nous observons de nos jours des cultes grandiose les dimanches suivies d’adoration et d’offrandes dans le contexte des croyants Chrétiens et il en ai de même les Vendredis pour les croyants Musulmans dont les prières sont suivies de sacrifices. 4 Conclusion partielle Il faut comprendre de ce chapitre I que, toutes les pratiques religieuses que nous observons dans nos sociétés actuelles tirent leurs origines dans celles de l’ancienne Egypte.

Des rituels tels que les prières, les offrandes et même la forte croyance à la vie de l’au-delà étaient au quotidien des anciens Egyptien bien.... »

↓↓↓ APERÇU DU DOCUMENT ↓↓↓

Liens utiles