exposé ghetto varsovie

« I.

Introduction Qu’est ce que le ghetto de Varsovie ? Durant la seconde guerre mondiale, l’Allemagne a fait d’importantes conquêtes.

La plus importante: celle de la Pologne.

C’est celle-ci qui annonce le commencement de cette seconde guerre mondiale.

En 1939 l’Allemagne nazie décide d’envahir la Pologne: c’est une conquête intégrale.

La Pologne n’a pas le temps de riposter, les soldats avancent très vite et prennent les terres pour acquises à la même vitesse. En 1940 pour avancer vers les prémices de “La solution finale” apparaissent les ghettos.

Le ghetto le plus connu et le plus important est celui de Varsovie se situant à l’est de la Pologne.

Il compte plus de 375 000 juifs à ses débuts. Le ghetto de Varsovie était un point culminant de l’occupation allemande, point de passage et de transfert des juifs deportés aux camps de concentration et d’extermination.

De nombreux crimes de guerre et incivilités seront vus dans les rues de ce ghetto. Premièrement, nous verrons la mise en place du ghetto de Varsovie, puis les violences subies par les Juifs et enfin la résistance et la fin. II.

Mise en place du ghetto de Varsovie A.

Création du ghetto : Expliquer comment le ghetto de Varsovie a été établi et pourquoi. Le ghetto de Varsovie a été établi par les autorités nazies pendant la Seconde Guerre mondiale, en 1940.

Il s'agissait du plus grand ghetto juif en Pologne occupée par les Allemands.

Voici comment il a été créé et pourquoi : Contexte historique : ● En 1939, l'Allemagne nazie envahit la Pologne, déclenchant ainsi la Seconde Guerre mondiale.

Varsovie, la capitale polonaise, est occupée par les nazis. Motivations : ● Les nazis avaient une politique d'antisémitisme radical.

Ils cherchaient à éliminer ou à marginaliser les Juifs d'Europe.

La création de ghettos était une étape vers la réalisation de cette politique. Établissement du ghetto de Varsovie : ● En octobre 1940, les nazis ordonnent la création du ghetto de Varsovie. Ils forcent les Juifs de la ville à se regrouper dans un quartier spécifique, entouré de murs et de barbelés.

Le ghetto était situé dans le quartier juif de Varsovie, et environ 400 000 Juifs y ont été enfermés dans des conditions extrêmement précaires. B.

Conditions de vie : Décrire les conditions de vie difficiles à l'intérieur du ghetto, y compris la surpopulation, la famine et le manque de soins de santé. Les conditions de vie à l'intérieur du ghetto de Varsovie étaient extrêmement difficiles et inhumaines.

Les nazis avaient délibérément créé un environnement de souffrance et de désespoir pour les Juifs emprisonnés dans le ghetto. Surpopulation : ● L'un des problèmes les plus criants à l'intérieur du ghetto de Varsovie était la surpopulation.

Environ 400 000 Juifs ont été entassés dans une zone relativement petite de la ville. Famine : ● Les résidents du ghetto souffraient de la faim de manière chronique.

Les nazis avaient imposé des rations de nourriture extrêmement limitées, insuffisantes pour maintenir une bonne santé.

La faim était omniprésente, et de nombreux habitants du ghetto étaient affamés en permanence. Manque de soins de santé : ● Les soins de santé étaient pratiquement inexistants à l'intérieur du ghetto.

Les épidémies de maladies se propagent rapidement en raison du surpeuplement, du manque d'hygiène et de la malnutrition.

Les habitants du ghetto souffraient de maladies telles que le typhus, la dysenterie et la tuberculose, et il n'y avait que des ressources médicales limitées pour les traiter. Manque d'hygiène : ● Les conditions d'hygiène étaient désastreuses.

Les égouts étaient obstrués, les ordures s'accumulaient, et l'eau potable était rare.

Le manque de sanitaires adéquats et d'installations de lavage des mains a contribué à la propagation des maladies. Violence et répression : ● Les nazis exerçaient une violence constante à l'intérieur du ghetto, y compris des passages à tabac, des exécutions sommaires et des arrestations arbitraires.

La terreur était une tactique courante pour maintenir le contrôle sur la population du ghetto, créant un climat de peur permanent. III.

Les violences subies par les Juifs Les juifs ont subi diverses discriminations et persécutions durant l’Allemagne Nazie. Depuis le début du règne d’Hitler jusqu’au commencement de la 2nde Guerre Mondiale (1933-1939), les juifs se sont vus subir plus de 400 décrets contre leur communauté, rejoignant tous les aspects de leur vie, qu’ils soient privés ou publics. Bien que la plupart de ces lois soient nationales et donc s’adressant à tous les Juifs, certains responsables régionaux prirent l’initiative d’eux aussi, ajouter des directives antisémites. La première vague de législation se fait de 1933 à 1934.

Cette grande vague constitue principalement une limitation de la participation à la vie publique allemande de la part des Juifs.

Avec par exemple la loi du 7 Avril 1933 : « Loi sur la restauration de la fonction publique » qui consiste à exclure de la vie politique tout homme d’État Juif. Les étudiants juifs furent aussi interdits d’études, les contrats de travail extrêmement limités voire inexistants pour tout travailleur Juif. En 1935, c’est lors du rassemblement annuel à Nuremberg que les idéologies raciales sont exposées.

Ces lois interdisent le mariage, la citoyenneté allemande et la procréation d’enfants d’un « sang non allemand » (ce qui veut dire deux parents ayant la citoyenneté allemande). De 1937 à 1938, les persécutions sur les Juifs s’intensifient avec des lois de plus en plus strictes, visant à exclure complètement les Juifs de l’économie allemande. Toutes ces lois se traduisent dans l’enfer que vécurent les Juifs. En particulier à travers des violences physiques.

Les rafles par exemple.

Les rafles sont des vagues d’arrestation organisées par les polices allemandes (puis françaises) pendant la Seconde Guerre Mondiale contre les Juifs.

Les personnes dites « raflées » sont ensuite soit libérées (dans de rares cas), soit (dans la plupart des cas) fusillées ou envoyées dans des camps de concentration ou d’extermination nazis.

Ces rafles sont d’une violence extrême, puisque les policiers kidnappent puis exécutent les prisonniers.

Ils sont considérés comme coupables, sans jugement. Ces brutalités physiques sont.... »