Dissertation SES : les facteurs travail et capital sont-ils suffisants pour expliquer la croissance ?

« Dissertation SES les facteurs travail et capital sont-ils suffisants pour expliquer la croissance ? La croissance économique est un phénomène particulièrement complexe et volatil qui est resté un sujet brûlant lors de la crise financière de 2008 et même de la récente crise sanitaire du COVID 19.

Tôt ou tard, ces événements affecteront la croissance économique d'un ou plusieurs pays.

Pour François Perroux, la croissance est "une ou plusieurs croissances soutenues à long terme, un indicateur dimensionnel, un pays, la valeur réelle d'un produit dans son ensemble".

Ceci est mesuré en produit intérieur brut (PIB).

Ainsi, de nombreux économistes comme Robert Solow ou Joseph Schumpeter tentent de comprendre les mécanismes de la croissance économique d'un pays afin de mieux comprendre sa fonction et son origine à travers certains facteurs. C'est pourquoi l'augmentation des facteurs travail et capital est rapidement devenue une source de croissance économique.

Le facteur travail est constitué des ressources en travail mobilisées par les unités de production pour la production.

Quant au second facteur, le facteur capital, il est constitué des facteurs matériels mobilisés par les unités de production. Par conséquent, le travail et le capital constituent ensemble les facteurs de production de base qui favorisent la croissance économique. Seulement, n'ont-ils pas rencontré des contraintes qui ne permettent pas d'expliquer adéquatement le phénomène de la croissance économique ? Sont-ils les seuls éléments à prendre en compte dans la croissance ? Pour cela, il faut prouver que les facteurs travail et capital expliquent bien l'origine de la croissance économique.

Mais il est également important de montrer qu'il existe d'autres sources qui pourraient expliquer l'existence de cette source.

Enfin, nous verrons que de nouveaux outils ont fait leur apparition, accentuant potentiellement davantage le phénomène de croissance. Premièrement, le facteur de production est le premier facteur de croissance économique.

Ceci met en évidence l'existence d'une croissance extensive qui s'explique d'une part par l'accumulation de facteurs travail.

Le facteur main-d'œuvre est l'une des raisons expliquant la croissance économique, en particulier la croissance extensive. En fait, l'accumulation de ce facteur est due à une augmentation de la population, qui augmente le nombre d'employés et donc le nombre d'emplois. De plus, les heures de travail ont également augmenté.

Plus le nombre de personnes dans la population active est élevé et plus elles travaillent, plus cela est susceptible de stimuler la croissance économique. La part des facteurs travail prise en compte dans le calcul du PIB peut varier d'un pays à l'autre et est donc plus ou moins importante. On peut voir que le PIB de la Grèce en 2017 était de 1,5 %, selon l'OCDE, et que le facteur travail a contribué pour 1,5 point de pourcentage, voire la totalité.

(doc 1) En revanche, le facteur travail n'est pas le seul facteur à considérer dans la croissance extensive, le facteur capital étant tout aussi important et contribuant à ce phénomène. Pour expliquer le phénomène de croissance extensive, le facteur capital représente la deuxième part la plus importante du facteur de production. L'investissement rend possible l'accumulation de cet élément.

Il s'agit d'opérations réalisées par des agents économiques qui décident d'acquérir des moyens de production.

En fait, l'investissement permet d'augmenter le capital, qui à son tour permet une plus grande productivité.

De cette manière, la demande de machines augmentera et, du côté de l'offre, la production augmentera. Selon les données de l'OCDE pour 2017, le PIB de la France était de 2,2 %.

Le facteur capital a contribué pour 0,7 point de pourcentage, bien plus que la contribution du facteur travail français au PIB en 2017 (0,1 point de pourcentage).

La même chose peut être observée en Corée du Sud, où le PIB de 2017 était de 3,1 % et le facteur capital a contribué à hauteur de 1,4 point de pourcentage.

(document 1) Par conséquent, les facteurs de production sont nécessaires, mais pas suffisants pour expliquer l'existence de la croissance économique dans son ensemble, car une augmentation de l'un des facteurs de production violerait la loi des rendements marginaux décroissants à long terme. Par conséquent, les facteurs de production sont nécessaires, mais pas suffisants pour expliquer l'existence de la croissance économique dans son ensemble, car une augmentation de l'un des facteurs de production violerait la loi des rendements marginaux décroissants à long terme. Il faut donc considérer la productivité totale des facteurs (PGF), qui mesure le progrès technologique. Le PGF, également connu sous le nom de "résidu", est réalisé par le biais d'investissements.

C'est un indicateur du mix de production et il est donc crucial pour la croissance économique. Le progrès technologique est démontré par Robert Solow, qui met l'accent sur la poursuite de la croissance puis devient intensive. De prime abord, le progrès technologique désigne toutes les innovations qui conduisent à la création de nouveaux produits (biens et services) ou au développement de nouveaux procédés (méthodes, outils, machines, etc.).

L'innovation, quant à elle, fait référence à l'introduction sur le marché d'un produit ou d'un procédé nouveau ou sensiblement amélioré par rapport à des produits ou procédés développés précédemment.

Le progrès technologique augmente la productivité des facteurs de production en augmentant leur efficacité.

Elle permet la croissance continue de la croissance économique, mais cette innovation ne s'explique pas dans l'économie dont elle est issue, rendant ainsi la croissance exogène. Plus tard, la théorie de la croissance endogène a expliqué que le progrès technologique est un facteur intrinsèque de la croissance économique, plutôt qu'une croissance extrinsèque comme mentionné précédemment.Le PIB de la Corée du Sud en 2017 était de 3,1%, selon l'OCDE.

La productivité totale des facteurs.... »