8 résultats pour "triste"
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Le travail est-il une nécessité triste
On dit que le travail est une nécessité triste. Qu'en pensez-vous ? I. — LE TRAVAIL EST UNE NÉCESSITÉ. Le travail est une nécessité pour l'homme. Pour subvenir à leurs besoins, le primitif devait poursuivre le gibier, capturer le poisson, cueillir les fruits des arbres. Il se bâtissait des abris, défrichait le sol pour y semer des graines. La civilisation actuelle augmente les besoins et, en apportant le désir du superflu, rend indispensable l'accroissement du travail. A mesure que l'homme se ci...
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Le travail est-il une nécessité triste ?
I. — LE TRAVAIL EST UNE NÉCESSITÉ. Le travail est une nécessité pour l'homme. Pour subvenir à leurs besoins, le primitif devait poursuivre le gibier, capturer le poisson, cueillir les fruits des arbres. Il se bâtissait des abris, défrichait le sol pour y semer des graines. La civilisation actuelle augmente les besoins et, en apportant le désir du superflu, rend indispensable l'accroissement du travail. A mesure que l'homme se civilise, il engage donc contre la nature, une lutte de plus en plus é...
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Le travail, a-t-on dit, est une nécessité triste. Qu'en pensez-vous ?
PREMIÈRE CORRECTION INTRODUCTION Le travail est une activité nécessitant une dépense d'énergie, qui se solde par la fatigue. Le résultat à atteindre est impératif :on ne peut aboutonner un travail avant de l'avoir atteint. Le travail se trouve soumis à des contraintes : des heures, un emploi du temps, des fonctions à accomplir. Le travail impose aussi une certaine structure à la hiérarchie. Le travail se présente-t-il comme une nécessité ? Une nécessite est ce à quoi l'on ne peut échapper. Le tr...
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« Il est toujours triste et toujours grave de perdre son temps; mais la pire
sottise est de perdre son temps en travaillant. » Qu'en pensez-vous ? Comment peut-on perdre son temps en travaillant ?
« Il est toujours triste et toujours grave de perdre son temps; mais la pire sottise est de perdre son temps en travaillant. » Qu'en pensez-vous ? Comment peut-on perdre son temps en travaillant ? Prenez des exemples. INTRODUCTION. — « Produire » est le mot d'ordre commandé par les destructions des guerres. De là cette réflexion qui aujourd'hui est bien de circonstance : «Il est toujours triste...; mais la pire sottise est de perdre son temps en travaillant. » I. Commentaire. — A. Il est toujou...
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« La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres ». Stéphane Mallarmé
Dissertation de Culture générale Libellé : « La chair est triste, hélas ! et j’ai lu tous les livres ». Stéphane Mallarmé Le 3 mai 1987, Dalida se donne la mort dans sa résidence parisienne de Montmartre. Quelques secondes avant, la diva signe ce message pathétique : « La vie m’est insupportable, pardonnez-moi ». Dalida n’en est point à son coup d’essai : elle est déjà passée à l’acte en 1967 avant d’être sauvée in extremis. Entre ces deux dépressions, Dalida découvre la psychanalyse e...
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Platon
"Quand on a cru, sans connaître l'art de raisonner, qu'un raisonnement est vrai, il peut se faire que peu après on le trouve faux, alors qu'il l'est parfois et parfois ne l'est pas, et l'expérience peut se renouveler sur un autre et un autre encore. Il arrive notamment, tu le sais, que ceux qui ont passé leur temps à controverser finissent par s'imaginer qu'ils sont devenus très sages et que, seuls, ils ont découvert qu'il n'y a rien de sain ni de sûr ni dans aucune chose ni dans aucun raisonnem...
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Platon
"SOCRATE : Mais avant tout mettons-nous en garde contre un danger. PHÉDON : Lequel ? dis-je. S. – C'est, dit-il, de devenir misologues, comme on devient misanthrope ; car il ne peut rien arriver de pire à un homme que de prendre en haine les raisonnements. Et la misologie vient de la même source que la misanthropie. Or, la misanthropie se glisse dans l'âme quand, faute de connaissance, on a mis une confiance excessive en quelqu'un que l'on croyait vrai, sain et digne de foi, et que, peu de temps...
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Fiche de révision Spleen IV Français Première
Texte 2 Charles Baudelaire, Spleen IV (1857) Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle Sur l'esprit gémissant en proie aux longs ennuis, Et que de l'horizon embrassant tout le cercle II nous verse un jour noir plus triste que les nuits ; Quand la terre est changée en un cachot humide, Où l'Espérance, comme une chauve-souris, S'en va battant les murs de son aile timide Et se cognant la tête à des plafonds pourris ; Quand la pluie étalant ses immenses traînées D'une vas...