4 résultats pour "phédon"
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analyse linéaire Phédon de Jean de la Bruyère
TEXTE N°3: PHÉDON Introduction: Imitée de l'écrivain grec Théophraste, l'œuvre de Jean de la Bruyère, Les Caractères, publiée de 1688 à 1696, se place dans le sillage des Ancien.Théophraste voulait classifier les différentes natures humaines. La Bruyère, lui, s'attache comme dit le sous-titre Les Mœurs de ce siècle, à évoquer dans de petits fragments de longueur variable les vices des humains de son temps. Moraliste de l'âge classique, il observe ses contemporains et, comme il le dit dans...
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Phédon Caractères de La Bruyère
Phédon a les yeux creux, le teint échauffé, le corps sec et le visage maigre ; il dort peu, et d’un Lexique de la description physique , associée à des termes péjoratifs avec énumération, faiblesse, mauvaise santé qui apporte un registre pathétique : le lecteur a de la peine pour sa fragilité Présent de description sommeil fort léger ; il est abstrait, rêveur, et il a avec de l’esprit l’air d’un stupide : il oublie de « avec de l’esprit »/ »air stupide » : antithèse, décalage entre ce qu’...
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Phédon, Platon: la philosophie et la mort
Dans ce texte de Platon extrait de Phédon, il est question des liens entre la philosophie et la mort. Le problème auquel l’auteur entend répondre est le suivant : comment l’âme par la philosophie est nécessairement immortelle ? En d’autres termes, estce que l’humain est toujours immortel ? [Dans ce texte, Socrate cherche à démontrer que l’âme voit les choses les plus rationnelles grace a la philosophie. Dans un premier temps des lignes 1 à 9, Socrate énonce le fait qu’un ignorant va parfai...
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Platon
"SOCRATE : Mais avant tout mettons-nous en garde contre un danger. PHÉDON : Lequel ? dis-je. S. – C'est, dit-il, de devenir misologues, comme on devient misanthrope ; car il ne peut rien arriver de pire à un homme que de prendre en haine les raisonnements. Et la misologie vient de la même source que la misanthropie. Or, la misanthropie se glisse dans l'âme quand, faute de connaissance, on a mis une confiance excessive en quelqu'un que l'on croyait vrai, sain et digne de foi, et que, peu de temps...