4 résultats pour "notation"
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Examinez cette pensée de Valéry : « On sait bien qu'on est le même, mais on serait fort en peine de le démontrer. Le moi n'est peut-être qu'une notation commode. » ?
CONSEILS PRELIMINAIRES Paul Valéry n'écrit pas au hasard. Il faut faire attention au choix des mots qu'il emploie, bien qu'ils ne soient pas faciles à expliquer, souvent. Qu'entend-il par une notation commode ? Le plus délicat est évidemment le terme «le même». Ici, tel qu'il est employé, il garde assez de vague pour contenir aussi bien l'identité auquel on songe directement que l'unité qui s'y relie. Un candidat, qui a lu les poèmes ou les essais de' Paul Valéry, se souviendra utilement que ce...
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Dans une page demeurée célèbre du Manifeste du surréalisme, André Breton écrit à propos des romanciers et de leurs oeuvres : « Le caractère circonstanciel, inutilement particulier, de chacune de leurs notations, me donne à penser qu'ils s'amusent à mes d
Dans une page demeurée célèbre du Manifeste du surréalisme, André Breton écrit à propos des romanciers et de leurs circonstanciel, inutilement particulier, de chacune de leurs notations, me donne à penser qu'ils s'amusent à mes dépens. hésitations du personnage : sera-t-il blond ? Comment s'appellera-t-il ? Autant de questions résolues une fois pour toutes, au laissé d'autre pouvoir discrétionnaire que de fermer le livre, ce dont je ne me fais pas faute aux environs de la première page. » l'arbi...
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MARX: « Tu travailleras à la sueur de ton front ! »
Commentaire de texte : « Tu travailleras à la sueur de ton front ! » Cette malédiction, Adam la reçut de la bouche de Jéhovah, et c'est bien ainsi qu'Adam Smith entend le travail ; quant au « repos » il serait identique à la liberté et au « bonheur ». C'est le moindre souci de Smith que « dans son état normal de santé, de force, d'activité, d'habileté, de dextérité », l'individu ait également besoin d'une quantité normale de travail qui mette fin à son repos. Il est vrai que la mesure du travail...
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HEGEL: MOBILES ET VOLONTE
On dit volontiers : mon vouloir a été déterminé par ces "mobiles", circonstances, excitations et impulsions. La formule implique d'emblée que je me sois ici comporté de façon passive. Mais, en vérité, mon comportement n'a pas été seulement passif ; il a été actif aussi, et de façon essentielle, car c'est mon vouloir qui a assumé telles circonstances à titre de mobiles, qui les fait valoir comme mobiles. Il n'est ici aucune place pour la relation de causalité. Les circonstances ne jouent point le...