4 résultats pour "approuve"
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Je vois le meilleur et je l'approuve, je fais le pire. Comment comprendre cette citation d'Ovide ?
Définition des termes du sujet: MEILLEUR (adj., n. et adv.) 1. — Supérieur, préférable, digne d'être choisi : pour LEIBNIZ, le meilleur repose sur une sorte de principe d'économie dans l'appropriation des moyens à la fin ; il correspond au maximum d'effets avec le minimum de dépenses ; dans le domaine moral le meilleur est le minimum de mal pour le maximum de bien. 2. — Meilleur des mondes possibles : pour LEIBNIZ, Dieu ne crée pas les essences qui tendent toutes avec un droit égal à l'existence...
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MALEBRANCHE et la véritable amitié
PRESENTATION DE L'OUVRAGE "DE LA RECHERCHE DE LA VERITE" DE MALEBRANCHE Cette première oeuvre de Malebranche (1638-1715), imposante, et qu'il ne cessera de compléter et de parfaire au point qu'on ne puisse la lire sans ses nombreux Éclaircissements, est de dix années postérieure à son ordination et à sa découverte simultanée et enflammée de la philosophie de Descartes. Sa vocation uniment religieuse et philosophique va consister à compléter et à corriger l'un par l'autre Saint Augustin et l'...
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DESCARTES: s'il est mieux d'être gai ou content, en imaginant les biens qu'on possède être plus grands et plus estimables qu'ils ne sont
Madame, je me suis quelquefois proposé un doute : savoir, s'il est mieux d'être gai ou content, en imaginant les biens qu'on possède être plus grands et plus estimables qu'ils ne sont, et ignorant ou ne s'arrêtant pas à considérer ceux qui manquent, que d'avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu'on devienne plus triste. Si je pensais que le souverain bien fût la joie, je ne douterais point qu'on ne dût tâcher de se rendre joyeux,...
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DESCARTES: Savoir, s'il est mieux d'être gai ou content, en imaginant les biens qu'on possède être plus grands et plus estimables...
Madame, je me suis quelquefois proposé un doute : savoir, s'il est mieux d'être gai ou content, en imaginant les biens qu'on possède être plus grands et plus estimables qu'ils ne sont, et ignorant ou ne s'arrêtant pas à considérer ceux qui manquent, que d'avoir plus de considération et de savoir, pour connaître la juste valeur des uns et des autres, et qu'on devienne plus triste. Si je pensais que le souverain bien fût la joie, je ne douterais point qu'on ne dût tâcher de se rendre joyeux, à que...