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étude du mémorial de sainte héléne de napoélon

Publié le 16/01/2023

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« 18 Juin 1815, l’armée napoléonienne se bat une dernière fois face a la coalition angloprussienne, un combat qui met un point final au règne de l’empereur, c’est la bataille de Waterloo. Après cette défaite, l’empereur déchu sera exiler sur l’île de Saint-Hélène, jusqu’en 1821. C’est cette exil qui conduira à la naissance de l’œuvre qui nous intéresse : Le Mémorial de SainteHélène.

Le texte que nous analyserons est un extrait de ce mémorial écrit par Emmanuel de Las Cases, homme politique Français qui par l’intermédiaire d’entretiens quasi journalier avec Napoléon, a pu écrire les mémoires de ce stratège militaire égaré.

Ici l’extrait est un récit fait par Napoléon au sujet du Siège de Toulon, une insurrection royaliste ayant eu lieu de septembre à décembre 1793.

Dans cet extrait, Emmanuel de las Cases retranscrit le récit de ce conflit militaire selon le point de vu de Napoléon Bonaparte, l’ancien empereur expliqua la manière dont-il réussi à contenir la coalition ennemi tout en gardant une humanité. Comment l’auteur de cet extrait réussi-t-il à retranscire l’image d’une homme toujours aussi fort et efficace même après une défaite ? Pour tenter d’expliciter ceci, nous nous intéresseront tout d’abord à l’exploit militaire et stratégique que nous a raconter Napoléon tout en étant sur de mettre en évidence sa supériorité. Pour finalement nous attarder sur le contraste qu’affiche cet extrait au sujet d’un homme, Napoléon, qui est certes un génie militaire qui « vole comme l’éclair et frappe comme la foudre » mais qui veut tout de même garder un semblant d’humanité et ne veut en aucun cas paraître autoritaire. Comme il est citer à la première ligne du texte, « Napoléon nous parla aujourd’hui du siège de Toulon », ce siège est comme nous l’avons brièvement énoncer en introduction, une insurrection royaliste survenu à la suite de nombreuses insurrections ayant eu lieu dans divers Villes comme Nîmes, Avignon, Marseille et bien sur Toulon.

Ces insurrections débutés suite à la mise en accusation de députés girondin, se verra être reprise par les royalistes qui eux demanderons de l’aide aux flottes anglo-espagnols.

Cette écrasante coalition semble out d’abord effrayante, voir même symbole d’une défaite certaine, mais la déclaration suivante de Napoléon nous affirme d’emblée le contraire, dès la deuxième ligne, il affirma comme pour qu’on ne se méprennent pas que le général O’Hara, un officier de l’armée britannique, était tombé en son pouvoir. Pour expliciter ses propos il expliqua aux lignes 2 à 5 sa stratégie, celle-ci consistait en une fortification de son armée dans le but d’attaquer le fort malbosquet de Toulon occuper par les anglais.

Ce genre d’éclair de génie, d’analyse de situation avec une solution miracle à la clé est ce que l’on le coup d’œil de Bonaparte.

Ce même coup d’œil qui lui a permis rappelons le une ascension fulgurante sur la scène militaire international avec par exemple son système de position central qui est une tactique ans laquelle même en infériorité numérique, l’armée de Napoléon profite de la division de l’armée ennemie en plusieurs forces pour les détruites successivement. Napoléon démontre dans ce récit encore une fois sa supériorité et son génie militaire en rappelant un de ses nombreux exploit.

Le choix de cette bataille-ci n’est pas anodin, en effet après la défaite ultime de Waterloo, Napoléon profite d’Emmanuel de las Cases pour rappeler au monde sa réussite passer qui reste inchangé malgré les récentes défaites.

Ici on peut observer une similitude avec les tendances autoritaire de Napoléon qui avait pour habitude de contrôler la presse avec par exemple me « Journal de Bonaparte et des hommes vertueux », il tente encore une fois de ne montrer que les fois ou il est victorieux d’une manière impressionnante.

Même après sa destitution, il ne cesse de vouloir garder cette image. Mais Napoléon ne s’arrête pas la, le récit relate par la suite le mépris qu’a Napoléon envers les représentant de la France à cette époque : la convention national.

Il expliqua à la ligne 7 que quelques fois ces députés de la convention national donnaient des ordres, il les qualifia par la suite « d’imbéciles » ce qui démontre que les rares fois ou Napoléon ne dirige pas, cela se passe mal. Le « feu prématuré » ordonnés par les députés fut la conséquence, selon lui d’une possible attaque anglaise, car comme le précise l’extrait à la ligne 10 « toutes ces dispositions n’avaient pas encore été prise », Napoléon affirme encore une fois que la possibilité d’une défaite n’était pas de son sort, que cela dépendait en réalité d’un manque de compétence de la part des autres, et en particulier un ancien médecin du Nom de doppet qui étant conscient de son incompétence fini par démissionner. Car c’est bien connu que Napoléon, en tant que travailleur infatigable ne s’entoure que de gens compétent comme son ministre des affaires étranges Taleyrand ou encore le ministre de la police Joseph Fouché. Napoléon explique par la suite le Plan du général O’Hara qui tenta de l’attaquer, sa tentative réussie puisqu’il pris en effet sa batterie ainsi que que les lignes que Napoléon avait établi à gauche, celles de droite furent prise par les Napolitains.

Ici on pourrait croire à une situation désespérée et sans issue mais en réalité, ceci ne fut que l’introduction, il expliqua la gravité de la situation qu’il précise ne pas avoir causé pour ensuite mieux rebondir sur ses exploits.

Encore une fois le Napoléon qui « vole comme l’éclair et frappe comme la foudre » est parfaitement illustrer grâce à la suite des événements, cet extrait explicite dès la ligne 15, que le coup d’œil de Napoléon permis de profiter de l’inattention de l’ennemi qui enclouais les canons, c’est à dire saboter les canons qui doivent être laisser à l’ennemi pour qu’ils ne puissent être utilisable, c’est alors que Napoléon et ses troupes de 300 à 400 grenadiers, étant des soldats d’élite qui crée le choc et exploitent les brèches, purent s’avancer sans se faire remarquer. La didascalie illustrant napoléon décrivant la position des batteries sur une carte rappelle le fait qu’il était toujours accompagner de matériel de cartographie, ce détail permet aux lecteurs de se remémorer le travail conséquent que Napoléon fournissait constamment avant même d’être à la tête de la nation.

En effet on sait que napoléon était l’homme toujours accroupie au sol à dessiner des plans sur de gigantesques carte,preuve évidente de son implication dans la cause nationale. La finesse d’esprit de Napoléon se traduit également par sa capacité à saisir les opportunités et à dénicher les moments les plus propices à une victoire.

Il remarqua, comme le précise effectivement cet extrait à la ligne 20 que les relations au sein de la coalition, entre les anglais et les napolitains , n’étaient pas aux beaux fixes, et que les anglais ont cru que les napolitains ont fait feu sur eux hors que c’était les français.

Cette première partie de l’extrait nous permet d’observer une première facette de la personnalité de Napoléon, un personnage confiant, quoique imbus de sa personne parfois mais en tant qu’homme appréciant la popularité, il nuança rapidement ses propos en nous proposant une autre facette de lui : celle de l’homme aimable qui sais tendre la min quand il le faut. Lorsque le général O’Hara marcha.... »

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