Biographie de Corneille

« BIO CORNEILLE Pierre Corneille est né le 6 juin 1606 à Rouen et mort le 1er octobre 1684 à Paris est un dramaturge français du XVII° siècle.

Il vient d'une famille bourgeoise normande, alors il fait des prestigieuses études pour devenir avocat en 1624.

En 1629, il écrit sa première comédie "Mélite" qui fait un léger succès mais ça lui permet de continuer à écrire.

Il enchaîne les pièces de théâtre et intègre un groupe d'auteurs.

Il écrit sa première tragédie "Médée" en 1635. En 1637, apparaît "Le Cid", premier réel grand succès de jeune dramaturge.

Pendant 2 ans, il fait un silence complet, mais reviens avec "Horace".

Premier échec de Corneille en 1646 avec "Théodore" il ne lâche pas les bras.

Il reçoit une immense nomination de la part de la Cour pour être le procureur des États de Normandie.

En 1651, est joué un nouveau grand succès grâce à "Nicomède", néanmoins le gouvernement est déplu, alors Corneille se fait retirer son nouveau poste et sa pension.

En plus de cela, l'échec de "Pertharite" le fait détacher de la scène avec une longue pause de 1652 à 1658. Grâce à Fouquet, Corneille revient avec "Œdipe", cependant l’arrestation de Fouquet l’empêche d’être en sécurité, mais Louis XIV le pensionne depuis 1663.

Une rivalité s’installe entre Corneille et Racine.

Puis de file en aiguille le grand auteur perd en succès et écrit sa dernière pièce de théâtre "Suréna" encore un énième échec.

Il abandonne le théâtre et prend sa retraite à 69 ans.

Il finit sa vie malade et meut à l’âge de 78 ans. Corneille a été une grande personne pour ses pièces et continuent d’être jouées.

Il a fasciné de grand nombre de personnes avec ses multiples thèmes qu’il a utilisé pour mettre en scènes ses œuvres.

Il reste éternel à tout jamais. 1 • Des tragédies « régulières » De 1637 à 1642, quatre grandes tragédies de Corneille sont jouées.

Elles sont considérées comme des classiques du théâtre cornélien. Le Cid : C’est la seule exception de la liste, car c’est une tragi-comédie.

Corneille a exprimé son esprit classique, atténue la violence pour préserver les bienséances et réduit l’action de l’œuvre. Horace : Après la querelle du Cid, Corneille écrit "Horace".

L’histoire se passe durant une journée à Rome, où l’on suit une famille .

La pièce se passe simplement dans une salle d’une maison.

Une nouveauté du théâtre cornélien apparut avec une progression implacable grâce à la liaison des scènes. Une deuxième querelle fait débattre pour Corneille, à cause de l’unité de l’action de la pièce où le héros avait un dilemme cornélien.

L’unité primordiale est celle d’intérêt, avec lequel le public est incertain dans les deux choix du protagoniste. Cinna et Polyeucte : Cinna est réelle perfection du point de vue de la simplicité ou de l’action et une progression des plus dramatiques.

Quant à Polyeucte, une histoire sublime avec seulement quatre personnages (le père, la fille, le mari et l’ancien amant du mari).

Néanmoins, ses techniques autour du tragiques et ses règles pour réduire à l’essentiel l’action dramatique.

La tragédie a pour but de montrer extraordinaire de l’action, en jouant des conflits passionnels ou encore les victoires héroïques. 2 • La tragédie politique Corneille remet au gout du jour la tragédie politique qui exister durant l’Antiquité.

Il est question de rendre le genre plus sérieux et permet de parler des problèmes de l’humain et du fonctionnement de la société.

Les contemporains cherchent de trouver un fait sur l’actualité dont Corneille évoque.

Que ça soit dans "Le Cid" où il dénonce l’indépendance frondeuse de l’aristocratie.

Ou dans "Cinna" où l’on recommande la clémence comme seul remède contre les troubles séditieux. Ce théâtre pointait du doigt l’idéologie politique de l’époque, lorsque le gouvernement était seulement masculin, monarchique ou encore l’idolâtre du roi.

Le moteur principal des œuvres politiques de l’époque, c’est le rapport instable entre le roi et le héros. Corneille a écrit des pièces à la fois dans le coté du roi qui doit canaliser l’héroïsme (Le Cid) et d’autres ou la force sublime du héros.... »