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l'appropriation de l'image

Publié le 04/01/2023

Extrait du document

« L’APPROPRIATION DE L’IMAGE INTRODUCTION Pour commencer ce texte, je vais commencer par introduire le but du travail.

Je vais ensuite continuer avec une définition de mon sujet.

Après je vais mettre en lien le travail de l’artiste que j’ai décidé de choisir avec 10 autres artistes et œuvres différentes.

Et pour finir je vais conclure avec les points communs de mes œuvres et de l’artiste choisie. En premier lieu je vais donc vous introduire l’énoncer du travail.

Je vais partir du travail de Rebecca Quaytman dont la thématique que j’ai reprise de ses œuvres , est l’appropriation de l’image.

Je vais mettre cette thématique en lien avec 10 œuvres, de 10 artistes contemporains différents (entre 1960 et aujourd’hui). Le sujet ou la thématique que j’ai choisie est l’appropriation de l’image.

Mais qu’est-ce que l’appropriation de l’image, comment peut-on définir ceci ? La définition du dictionnaire nous dit que l’appropriation vient du verbe s’approprier, « action d’approprier quelque chose à quelque chose d’autre ».

Mais l’appropriation ne se cantonne pas seulement à verbe.

Je le définis de plusieurs autre manières comme : détournement, réexploitation, appropriation, déconstruction, citation, allusion, satire, parodie, pastiche, adopter, emprunter, recycler, échantillonner, recontextualisation et métamorphoser...

Tous ses termes qui pour moi font références à l’appropriation. S’approprier dans l’art c’est quoi plus concrètement ? Les artistes vont venir utiliser une image existantes telles qu’elles soient auxquels une transformation va être attribuée.

C’est donc un travail qui va venir recontextualiser tout ce qu’il prend pour pouvoir donner jour à un nouveau travail.

Les artistes vont venir volontairement copier les images pour prendre une total possession de celle-ci dans leur art. Peut-on considérer l’appropriation comme un vol ? Non car l’acte de copie et son résultat doivent être compris comme de l’art sinon on appelle cette acte du plagiat .

Certains artiste vont copier l’image jusqu’au détails près, de la couleur, au formes en passant par la compostions.

En effectuant cette acte, ceux-ci s’inspire souvent d’autres œuvres ou bien encore de thématique qu’on va retrouver tout au long de leur travail Dans quels buts les artistes se réapproprie une image déjà existante ? Car il y a un certains besoins de reconnaissance des images qu’ils ont copiées et également pour apporter une nouvelle réflexion sur l’art.

L’appropriation va aussi remettre en questions les bases fondamentales de l’histoire de l’art, telles que l’auteur, la créativité, l’originalité, la signature, l’histoire l’identité,… L’approriation se fait dans tous les domaines artistiques, comme la peintures, sculpture, photogrpahie, mode,… En deuxième lieu je vais présenter le choix de mes 10 artistes et des 10 œuvres différentes en lien avec ma thématique que j’ai définie ci-dessus. Le premier artiste est : 1 - Nicolas moufarrege Fig 1, Nicolas Moufarrege, titre inconnu (I’d Rather Sink), 1984, peinture brodées, dimension inconnue, Queen Museum, New-York La première œuvre que je vais analyser est une peinture brodées réalisé par Nicolas Moufarrege. L’artiste va faire dialoguer la peinture avec son travail, en incorporent des broderies en alternance avec de la peinture le tout sur une toile tendue.

Nicolas brodait sur une toile à l’aiguille, mais sans faire de croquis avant.

Concernant ces tableaux les sujets les plus fréquents sont des corps masculin vus de dos, qui la plupart du temps regarde des couchers de soleil, avec tout un tas de forme géométrique.

Tout ceci inspirer des textiles japonais et des carreaux islamique.

Pour ces autre inspirations, il va faire référence à des mélanges de peinture baroque, de sculpture classique avec des héros de BD, du pop art et de la calligraphie arabe.

Dans cette œuvre ci on peut voir qu’il va venir emprunter ou copier l’image célèbre de Katsushika Hokusai. Et ici plus particulièrement son œuvre international nommée « la grande vague de Kanagawa ». ses œuvres vont souvent être improvisées et sont visées à nous raconter une histoire.

Après l’installation à New-York l’artiste va complètement changer son approche de manière radical. Nicolas va désormais poser un regard critique et humoristique sur ses images, comme l’œuvre ci-dessus. Cette œuvre au titre inconnu représente l’œuvre d’Hokusai, une vague stylisée qu’il va placer dans le coin supérieur gauche de sa toile.

Dans ce même tableau il va venir à présent copier l’image d’un des tableaux de Lichtenstein, qu’il va venir positionner dans le coin inférieur droit du tableau.

Nous retrouvons cette héroïne qui en train de s’enfoncer dans les profondeurs océanique et dont une bulle de penser annonce : " Je m'en fous ! Je préfère couler plutôt que d'appeler Brad à l'aide !".

La superposition de cette image crée un dialogue très intéressant, nous avons cette vague qui est représentée , et cette femme qui est en train de se noyer.

Il a l’air de vouloir dire que la vague va sans cesse la submergé, alors qu’elle est déjà occuper de sombrer.

Monsieur Moufarrege soumet de nouvelles manière de se relier à la narration et de l’approcher.

C’est un provocateur averti, tout en l’établissant avec sourire pour nous soumettre de nouvelles manière d’aborder les situations et les images.

Ces histoires qu’ils développent s’inspirent de ses expériences personnelles, de ses voyages, et de son identité.

Mais ces histoires vont surpasse la limite du personnelles. Au niveau de l’appropriation, on eut remarqué que dans cette œuvre ci l’artiste à décider de se réapproprier 2 images , de 2 contextes totalement différents pour venir créer un dialogue entre celle-ci, ce qui va venir crée une histoire.

Je pense que pour moi le spectateur peut l’interpréter 2 comme il l’entend.

Moufarrege va venir ici choisir ces images pour leur redonner un nouveau contexte et une nouvelle âme pour donner naissance à une narration entre les 2 œuvres. - Alexander Kosolapov Fig 2, Alexander Kosolapov, Malevich Marlboro,1987 , Mixed Media on Canvas, 224 x 244 cm, localisation inconnue Alexander Kosolapov est un artsite qui va tarvaille avec ce qu’on appelle l’art Sots depuis 1972, ce qui combine des produits visuels de l'idéologie communiste avec des produits de la culture populaire occidentale.

Vers 1975 , il va plus se concentrer sur le contact entre l’art sots et le pop américain. Mais l’art Sots c’est quoi ? on pourrais définir l’art sots comme le pop art soviétique. Mouvement artistique qui est né en Russie et qui parle de l’art politique.

On retrouve dans ce mouvement de réel critique sur les dirigeants politiques et la culture de masse. Alexander va être réputer en tant qu’artiste de sots art.

l’œuvre que l’on voit ci-dessu à été produite en masse lors de sa réalisation et sous la forme de posters.

Celui dit "J'ai toujours été attiré par les produits sociaux et informatifs.

J'aime les affiches, les publicités, les bandes dessinées, les slogans politiques.

J'utilise le langage partagé de la culture de masse moderne, adressé à un spectateur anonyme...

Tous ces éléments (de la culture de masse) se reflètent dans mes œuvres de Sots-art et de pop’art." Dans l’œuvre Malevitch Marlboro, Kosolapox va venir réutiliser un logo connu par le grand public, qui est celui de Marlboro.

Il va venir remplacer le nom de produit initiale par le nom d’un artiste du début du XXe siècle, Kazimir Malevitch.

Kazimir est l’un des premiers suprématiste russe.

Le suprématisme est l’un des tout premiers mouvements abstractionnistes. En quoi consiste ce mouvement ? les suprématistes tentaient de créer des manifestations non objectives qui rejetaient les références historique et narratives.

On peut également observer que les 3 couleurs présente dans le tableau sont, le blanc, le rouge et le noir qui ne représente pas seulement les couleurs originales des Marlboro, c’est bien plus que ça.

C’est 3 mêmes couleurs sont les couleurs que Malevitch utilisaient dans ses œuvres suprématistes. Pour en revenir à l’appropriation de l’image, dans ce cas-ci l’artiste à utiliser une marque connue et l’a reproduit en changeant l’écriture ce qui a signification politique.

De même pour les couleurs.

On pourrait penser qu’il a juste reprit le logo et a changer l’écriture, mais il y a une réelle réflexion derrière tout ça.

il y a une corrélation entre tout les éléments que Alexander à choisi d’utiliser. 3 - Xu Bing Fig 3, Xu Bing, The Book from the Ground, 2020, livre, dimension inconnue, localisation inconnue Le célèbre artiste chinois, Xu Bing est depuis longtemps fasciné par les mots écrits.

Xu a écrit une œuvre qui a fait un carton qui est nommée : « Book from the Sky », qui ressemble à de la calligraphie chinoise mais qui n’en n’est pas.

Il va ensuite faire une nouvelle création qu’il appellera « Book from the Gound ».

Ce livre raconte la vie d’un jeune pendant 24 heures. Il va raconter la vie de cette homme qui est plutôt banale.

Un homme qui redoute son patron , boit trop d’alcool et dépense trop d’argent.

Il passe sa vie sur les réseaux sociaux( twitter, Google, Facebook).

Il cherche l’amour sur internet via des sites de rencontres.

Ce personnage principale est homme tout à fait ordinaire et on entre dans son quotidien le temps d’une journée. Ce qui est le plus surprenant dans ce livre, c’est que celui-ci n’est écrit sans un mot.

Le texte va être composé de différents pictogrammes, icones ou encore des emoji.

Ce livre est donc accessible à tous, pas de langage requis.

C’est en quelques sorte une forme universelle de communication écrite.

Car les pictogrammes et icones sont utiliser par tout dans le monde pour qu’il n’y ai pas de barrière de langue.

Et Xu Bing, lui en a fait un livre universelle qui dépasse les contextes culturels, sociaux, éducatifs et linguistique.

Selon Xu "l'analphabète peut profiter du plaisir de la lecture tout comme l'intellectuel". Ses inspirations lui vienne durant ses voyages quand il se balade à l’aéroport et qu’il aperçoit ses nombreux pictogrammes, ou encore ses aliments avec des pictogrammes .

il décide alors de les réunir dans un carnet pour en fabriquer une histoire.

Il qualifie les pictogrammes comme "premiers exemples de textes de connaissance commune de l'humanité".

Xu parle aussi des images de marketing e de l’informatique, qui a habitué notre cerveau à « lire » des symboles visuels.

Xu était frustré ,il était gêné par le fait qu'il devait recourir à un langage écrit standard pour expliquer ses pictogrammes. Revenons-en à la thématique de l’appropriation.

L’artiste c’est donc approprier un nouveau langage grâce aux pictogrammes et aux icones.

Xu à doc prit une image qu’il à sortit de son contexte initiale pour lui donner une nouvelle fonction.

On peut même parler ici d’appropriation de la langue.

………… 4 - Jacket alain Fig 4,Alain Jacket ,Le Déjeuner sur l’herbe, 1964,Quadrichromie sérigraphiée et vernis cellulosique sur papier marouflé sur toile (diptyque), 175 x 194 cm, Adagp, Paris,Photo André Morain. Alain Jacquet a exploré la possibilité d'utiliser des techniques de reproduction mécanique pour produire des images peintes. Depuis 1963, il a transféré diverses images photographiques sur toile et résine acrylique.

Ils sont sérigraphiés en trois couleurs, imitant l'image de la publicité.

L'artiste a réinterprété le décor idyllique d'Edouard Manet, repris par Pablo Picasso en 1961, et a demandé à des amis de poser au bord de la piscine aux portes de Paris.

Cette œuvre de déjeune r sur l’herbe tient une place très importante dans les travaux de Jackets, car celle-ci est sa première peinture mécanique version XXe siècle.

Ce déjeuner sur l’herbe est une impression photographique sur toile.

C’est-à-dire que c’est une photographique en couleurs tramé en points.

Cette trame dense va venir brouiller la vision de l’image, pour la réorganiser autrement .

Cette manière de fonctionner va devenir sa marque de fabrique . Ici au niveau de la thématique de l’appropriation , elle est assez claire.

Alain a repris ici l’œuvre incontournable du déjeuner sur l’herbe de Manet qu’il a remis au goût du jour.

Il a donc reconstituer le déjeuner sur l’herbe mais en photographie du XXe siècle.

Tout en l’adaptant à son goût et en y ajoutant sa patte d’artiste avec cet effet de floutage. - Sherrie Levine Fig 5, Sherrie Levine, Thin stripe #1, 1985, casein and wax on mahogany, 61.3 x 50.8 cm, Paulo cooper gallery, New-York 5 Sherrie Levine est une artiste conceptuelle américaine.

Elle emploie l’appropriation de façon radicale.

Ce geste artistique constitue à garder l’œuvre originale telle qu’elle ou en la modifiant légèrement.

Levine à développer un rejet de la peinture académique qu’elle pratiquait dans son école d’art.

C’est un artiste qui va beaucoup se remettre en question et remettre en question des notions comme l’originalité, l’authenticité, l’appropriation. Elle va d’abord pratiquer l’appropriation par la découpe, ensuite par la photographie et elle va après revenir sur la peinture et plus précisément sur des « stripe paintings ».

L’œuvre ci-dessus est un stripe painting.

Il est constitué de bande de couleur de peintures. Ici elle s’approprie non seulement l’image, mais elle s’approprie la fonction qu’elle donne au couleur. - Barbara KRUGER Fig 6,Barbara KRUGER,Untitled (Your body is a battleground), 1989, Sérigraphie sur vinyle, 284.48 x 284.48 cm, localisation inconnue Barbara Kruger est un artiste conceptuelle américaine conceptuelle qui emplois de l’iconographie publicitaires dans ses œuvres.

Elle fait appelle à différents moyens informatique, comme le photomontage et la typographie.

Barbara à un style très reconnaissable on retrouve souvent dans ses œuvres une palette de noir, blanc et rouges avec des illustrations tramées et des slogans évoquant.

Ce qui permet d’identifier ces œuvres du premier coup.

Politisé mais pas protesté, son travail est militant.

Son travail est reconnu comme graphique et emblématique du monde de l’art. Durant toutes sa carrière, elle s’est approprier ou bien réapproprié des images et des textes qu’elles à copier de sources existante.

Pour par la suite créer un nouveau dialogue et une nouvelle associations d’idées.

Ses œuvres n’ont pas de durée dans le temps, ils ne sont pas lier à une problématique durant l’année ou l’œuvre à été réalisée.

Au contraire, sa juxtaposition d'images et de textes a produit une nouvelle perspective sur le langage et les images, qui nous sont "vendues" chaque jour par les médias, les publicités, les entreprises et les gouvernements. Elle le dit clairement qu’elle s’approprie des images et du texte pour former de nouvelles associations d’idée qui vont fonctionner de manière intemporelle. 6 - Brian Dettmer Fig 7, Brian Dettmer, titre inconnu, date inconnu, sculpture sur livre, dimension inconnu, localisation inconnu Brian Dettmer, qui se fait également appeler sous le nom du « chirurgien du livre », il va créer des sculptures hors normes à parti de livre, de vieux journaux, dictionnaire, des cartes ou encore des encyclopédies.

On l’appelle le chirurgien car il utilise des ustensiles telles que, des outils chirurgicaux, des pinces, des couteaux.

Pour réaliser ses sculpture Dettmer va se limiter à rouler, plier,.... »

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