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Vie et oeuvre de George BERKELEY

Publié le 23/03/2009

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George Berkeley est un Irlandais ; il fit ses études et professa à Dublin, et s'intéressa surtout à la philosophie, s'attachant spécialement à Descaries, Malebranche et Locke.

A 22 ans, il écrivait déjà dans son journal intime (Le « Common-place book «) : « Je tiens mon grand principe «, c'est-à-dire l'immaté-rialisme qu'il indiqua dans son « Essai sur une nouvelle théorie de la vision « (1709), qu'il développa plus explicitement dans son « Traité sur les principes de la connaissance humaine « (1710) et sous forme de dialogue dans « Dialogues entre Hylas et Philonous « (1713).

Durant les 7 ans qui suivent, Berkeley voyage en Italie et en France où il rencontre Malebranche. Il nourrit un grand projet évangélique. Nommé Doyen de la Faculté de Théologie de Dublin (il était prêtre et y professait), il fait une intense propagande pour l'évangélisation de l'Amérique. Ayant obtenu promesses de subvention, il part pour les Bermudes et là commence une série d'aventures dans lesquelles se débattent la générosité et la candeur de Berkeley. Il écrit pendant ce temps : « Alciphron « et« Siris, recherches philosophiques sur les vertus de l'eau de goudron « (1744). Il était évêque depuis 1734. Il mourut en 1752.

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« George Berkeley naît dans le comté de Kilkenny en Irlande.

Ilentre au Trinity College en 1700, reçu bachelier ès arts quatreans plus tard ; il lit Descartes, Locke, Malebranche, Newton.Chargé de cours en 1707, il est ordonné diacre en 1709, année dela publication de l'Essai pour une nouvelle théorie de la vision.

Ilpart pour Londres en 1713, fréquente Pope et Swift, puis accomplitdeux voyages en Italie (1713 ; 1716-1720), Rome, Naples,la Sicile.

De retour à Londres puis à Dublin, il rêve de devenirmissionnaire (« projet des Bermudes ») et de « convertir lessauvages d'Amérique » ; en 1724, il obtient la charge du diocèsede Derry et abandonne ses fonctions universitaires.Après avoir publié un grand nombre d'ouvrages, il se voitnommé évêque de Cloyne en Irlande, en 1734 et se consacreà l'éducation de la jeunesse ainsi qu'aux questions relativesà l'indépendance économique de l'Irlande par rapport àl'Angleterre.

Ayant entendu parler d'un remède employé parles Indiens pour guérir la petite vérole, il se passionne pour« l'eau de goudron », prétendue panacée dont il préconisel'usage dans la Siris, devenant malgré lui un médecin fortécouté.

Il meurt subitement à Oxford par une paisible soiréede l'hiver 1753.. »

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